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International

Colombie: certificat de vaccination exigé pour entrer dans le pays

AFP

Le président colombien Ivan Duque a annoncé lundi qu’à partir du 14 décembre, les voyageurs internationaux de plus de 18 ans devraient présenter un certificat de vaccination contre le Covid-19 pour entrer dans le pays.

« Suivant les conseils du comité consultatif du @MinSaludCol (ministère de la Santé), à partir du 14 décembre, tous les voyageurs internationaux âgés de 18 ans et plus entrant en Colombie devront présenter une carnet ou un certificat de vaccination Covid-19 avec un schéma vaccinal complet », a écrit le président sur Twitter, sans ajouter de détails. 

Le gouvernement n’a pas précisé à l’AFP si cette décision implique la fermeture des frontières aux personnes non vaccinées ou si des mesures alternatives telles que des tests ou des quarantaines, entre autres, sont aussi envisagées.

Depuis juin, les décès et les cas de Covid-19 ont diminué en Colombie grâce à une campagne de vaccination massive qui protège déjà la moitié des 50 millions d’habitants du pays. 

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La Colombie se prépare désormais à l’arrivée éventuelle du nouveau variant du virus, Omicron, qui circule déjà au Mexique, au Brésil, au Chili, en Argentine et dans une quarantaine de pays dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Proportionnellement à sa population, la Colombie est le quatrième pays d’Amérique latine qui compte le plus de décès dus au virus, après le Pérou, le Brésil et l’Argentine. 

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International

Trump affirme que les États-Unis ont détruit une « grande installation » liée au narcotrafic

Le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé que son pays avait détruit, la semaine dernière, une « grande installation » dans le cadre de sa campagne contre un réseau de narcotrafic dirigé, selon Washington, par le Venezuela, sans toutefois préciser si l’opération a eu lieu sur le territoire vénézuélien.

« Nous venons de détruire (…) une grande usine ou une grande installation d’où partaient les bateaux. Il y a deux nuits, nous l’avons détruite. Nous leur avons donc porté un coup très dur », a déclaré Donald Trump vendredi lors d’un entretien dans un podcast radiophonique, des propos relayés ce lundi par les médias américains.

Le président américain n’a pas précisé la nature de l’installation visée et, jusqu’à présent, son administration n’a pas confirmé officiellement ces informations. Si elles étaient avérées, il s’agirait de la première attaque terrestre menée dans le cadre de cette campagne antidrogue, qui s’est jusqu’ici déroulée principalement dans les eaux internationales de la mer des Caraïbes.

Donald Trump a tenu ces propos lors d’une conversation avec le milliardaire républicain John Catsimatidis, propriétaire de la station de radio new-yorkaise WABC, alors qu’ils évoquaient les opérations militaires américaines contre des embarcations dans les Caraïbes. Ces actions visent à démanteler un réseau présumé de trafic de drogue dirigé par ce que Washington appelle le « Cartel des Soleils », que les États-Unis affirment être contrôlé par le gouvernement vénézuélien.

Après plusieurs jours de spéculations suscitées par une précédente interview laissant entendre une opération sur le sol vénézuélien, le chef de l’État américain aurait reconnu, en réponse aux questions de la presse lors de la visite du Premier ministre israélien, que l’attaque avait effectivement eu lieu à proximité des côtes du Venezuela, sans fournir davantage de détails.

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Depuis plusieurs semaines, Donald Trump avertit que, dans le cadre de sa stratégie de pression contre l’administration de Nicolás Maduro — laquelle a déjà conduit à la destruction d’une trentaine d’embarcations et à la mort de plus de 100 personnes à leur bord — Washington commencerait à viser des objectifs terrestres.

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International

Les États-Unis intensifient leur offensive antidrogue et la pression sur le Venezuela

Les États-Unis ont intensifié cette semaine leur campagne militaire et de pression politique dans les Caraïbes et le Pacifique oriental, combinant des frappes létales contre des embarcations présumées liées au narcotrafic avec de nouvelles menaces directes à l’encontre du gouvernement vénézuélien.

L’armée américaine a confirmé lundi une attaque mortelle contre une embarcation de faible profil en eaux internationales du Pacifique oriental, soupçonnée d’être utilisée pour le trafic de drogue. Selon le Commandement Sud, l’opération a été menée par la Joint Task Force Southern Spear sur ordre du secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, et a fait au moins un mort.

Les autorités américaines ont affirmé que les services de renseignement avaient établi que le navire empruntait des routes connues du narcotrafic et était exploité par des organisations désignées comme terroristes par Washington. Avec cette opération, le bilan s’élève à au moins 105 morts lors de 29 interventions depuis septembre, date à laquelle l’administration du président Donald Trump a lancé une offensive soutenue contre des embarcations suspectes dans les Caraïbes et le Pacifique.

Parallèlement, le président Trump a adressé lundi une nouvelle mise en garde directe au président vénézuélien Nicolás Maduro, alors que les garde-côtes américains renforcent l’interdiction des pétroliers vénézuéliens sanctionnés dans la mer des Caraïbes.

Entouré de ses principaux conseillers à la sécurité nationale, dont le secrétaire d’État Marco Rubio, Trump a affirmé être prêt à accroître encore la pression sur Caracas. « S’il joue dur, ce sera la dernière fois qu’il pourra le faire », a-t-il déclaré à propos de Maduro, réitérant son intention d’imposer un blocus aux navires sanctionnés transportant du pétrole vénézuélien.

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Washington soutient que ces pétroliers font partie d’une « flotte obscure » utilisée pour contourner les sanctions internationales. Plusieurs de ces navires ont déjà été interceptés ou saisis par les garde-côtes américains avec l’appui de la marine.

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International

Le pape Léon XIV met en garde contre les “Hérode” du monde moderne

Le pape Léon XIV a mis en garde contre les « Hérode » du monde contemporain — « les mythes de la réussite à tout prix, du pouvoir sans scrupules, du bien-être vide et superficiel » — lors de son message à l’occasion de la prière dominicale de l’angélus.

Depuis la fenêtre du palais apostolique, devant des milliers de fidèles rassemblés place Saint-Pierre, le pontife américain a centré sa réflexion sur la fuite de la Sainte Famille après l’ordre donné par Hérode de tuer les nouveau-nés.

« En contemplant avec étonnement et gratitude ce mystère, pensons à nos familles et à la lumière qu’elles peuvent aussi apporter à la société dans laquelle nous vivons. Malheureusement, le monde a toujours ses “Hérode” », a déclaré le pape.

Il a expliqué que ces “Hérode” se manifestent à travers « les mythes de la réussite à tout prix, du pouvoir sans scrupules, du bien-être vide et superficiel », qui conduisent souvent, selon lui, « à la solitude, au désespoir, aux divisions et aux conflits ».

Le souverain pontife a ainsi exhorté les familles chrétiennes à ne pas laisser « ces mirages étouffer la flamme de l’amour ». Il les a au contraire invitées à préserver les valeurs de l’Évangile, notamment « la prière, la fréquentation des sacrements — en particulier la confession et la communion —, les affections saines, le dialogue sincère, la fidélité, ainsi que le réalisme simple et beau des paroles et des gestes bons du quotidien ».

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