International
Ancien président du Pérou avec le feu vert pour chercher une place au Congrès
Hier, le Jury National des Élections (JNE) du Pérou a approuvé que l’ancien président Martín Vizcarra puisse se présenter au Congrès lors des élections d’avril, ceci après avoir annulé une résolution qui l’avait marginalisé de cette possibilité.
En principe, Vizcarra a été exclue le 15 janvier par le corps électoral de Lima. L’institution a affirmé que l’ex-président n’avait pas indiqué qu’il possédait des actions dans une société dans sa déclaration de patrimoine. La partie Somos Pérou a fait appel de la décision et le JNE a accepté.
Le JNE « déclare l’appel fondé (…), par conséquent [il décide] de révoquer la résolution du 15 janvier 2021 qui excluait Martín Alberto Vizcarra », indique le jugement.
A cet égard, Daniel Salaverry, ancien chef du Congrès, a déclaré qu’avec la résolution « justice était faite ».
International
Trump admet un appel avec Maduro mais refuse d’en révéler les détails
Le président américain, Donald Trump, a confirmé ce dimanche qu’il avait parlé avec le président vénézuélien, Nicolás Maduro, tout en refusant de révéler les détails de cette conversation, survenue en pleine montée des tensions dans les Caraïbes.
« La réponse est oui », a déclaré Trump lorsqu’on lui a demandé s’il avait effectivement dialogué avec Maduro, alors qu’il s’adressait à la presse à bord de l’Air Force One, de retour vers la capitale américaine. Le président a évité d’entrer dans les détails : « Je ne veux pas commenter davantage. »
Selon le journal The New York Times, qui cite des sources anonymes proches du dossier, l’échange téléphonique entre les deux dirigeants aurait eu lieu la semaine dernière, dans le but d’examiner la possibilité d’une rencontre aux États-Unis.
L’appel, auquel aurait également participé le secrétaire d’État américain Marco Rubio, n’aurait débouché sur aucun plan concret, ajoute le quotidien, qui ne fournit pas plus d’informations sur le contenu de la discussion.
Les tensions entre les États-Unis et le Venezuela se sont intensifiées ces derniers jours. Samedi, Trump a averti les pilotes et les compagnies aériennes de considérer l’espace aérien vénézuélien et ses environs comme « fermé ».
Interrogé pour savoir si cette alerte annonçait une attaque terrestre imminente contre le Venezuela, le président a refusé de commenter le message qu’il avait publié sur son réseau Truth Social.
En revanche, Trump a longuement défendu son secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, actuellement au centre d’une polémique après avoir prétendument ordonné de « tuer tout le monde » à bord d’une embarcation suspectée de transporter des narcotrafiquants, selon une enquête du Washington Post.
D’après le quotidien, citant deux sources directement informées de l’opération, après le premier tir de missile, les commandants se seraient aperçus que deux personnes restaient agrippées aux débris du bateau.
Le commandant chargé de l’opération aurait alors ordonné une seconde frappe afin de respecter les instructions de Hegseth, qui avait ordonné de « tuer tout le monde » présent sur l’embarcation.
International
Trump et Maduro auraient tenu un appel secret en vue d’une possible rencontre aux États-Unis
Le président des États-Unis, Donald Trump, a eu une conversation téléphonique avec le dirigeant vénézuélien Nicolás Maduro la semaine dernière afin d’explorer la possibilité d’une rencontre aux États-Unis. C’est ce qu’a révélé ce vendredi le New York Times, citant des sources anonymes proches du dossier.
Selon le quotidien américain, le secrétaire d’État actuel, Marco Rubio, a également participé à l’appel. Bien que la conversation n’ait débouché sur aucun accord concret concernant une rencontre, elle aurait ouvert la porte à un éventuel dialogue direct entre les deux dirigeants, malgré les fortes tensions qui marquent les relations bilatérales.
L’appel téléphonique s’est tenu quelques jours avant l’annonce du Département d’État désignant comme organisation terroriste le soi-disant Cartel de los Soles, auquel Washington associe Maduro et d’autres figures de haut rang du régime vénézuélien. Caracas a rejeté ces accusations, les qualifiant de « fabrication de Washington ».
Jusqu’à présent, ni le gouvernement américain ni le gouvernement vénézuélien n’ont confirmé ou démenti publiquement la tenue de cet échange, ce qui alimente la spéculation dans les médias internationaux sur un possible rapprochement diplomatique.
La révélation de ce contact intervient un jour seulement après que Trump a averti que les forces armées américaines commenceraient « très bientôt » à capturer des présumés narcotrafiquants vénézuéliens par voie terrestre, après une offensive maritime qui, selon des chiffres officiels, a fait plus de 80 morts et détruit 20 embarcations.
Cependant, dans des déclarations récentes, Trump a également affirmé qu’il « pourrait parler à Maduro pour sauver de nombreuses vies », une remarque interprétée comme un signe d’ouverture diplomatique. Ces propos ont été bien accueillis par le procureur général du Venezuela, Tarek William Saab, qui a déclaré qu’une conversation entre les deux dirigeants serait « la bienvenue ».
L’appel entre Trump et Maduro s’inscrit également dans un contexte de négociations non confirmées entre les deux gouvernements. En octobre, des médias tels que The Miami Herald et The New York Times ont rapporté que Caracas aurait offert des concessions stratégiques aux États-Unis, notamment l’accès à son pétrole et à son or, et même l’éventualité d’une transition politique sans Maduro à la tête du pays.
International
Hakyung Lee écope de la prison à vie pour avoir tué et caché ses enfants dans des valises
Une mère qui avait assassiné ses deux enfants avant de dissimuler leurs corps dans des valises entreposées dans un box de stockage a été condamnée mercredi à la prison à perpétuité en Nouvelle-Zélande, au terme d’un procès qui avait suscité une large attention internationale.
Hakyung Lee, citoyenne néo-zélandaise d’origine sud-coréenne, avait été reconnue coupable au début de l’année du meurtre de ses enfants. Le juge de la Haute Cour, Geoffrey Venning, l’a condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté minimale de 17 ans, estimant qu’elle avait tué des enfants « particulièrement vulnérables ».
Âgée de 45 ans, Lee est restée impassible lors de l’annonce du verdict.
Elle avait administré une dose mortelle de médicaments sur ordonnance à ses enfants, Minu Jo et Yuna Jo, âgés respectivement de six et huit ans, en 2018. Profondément affectée par la mort de son mari d’un cancer, elle avait affirmé avoir prévu de se suicider avec eux, mais s’être trompée dans les doses.
Les corps n’ont été découverts qu’en 2022, lorsqu’une famille ayant acheté le contenu d’un box de stockage lors d’une vente aux enchères près d’Auckland a ouvert les valises.
Après avoir changé d’identité et fui en Corée du Sud, Lee avait finalement été extradée vers la Nouvelle-Zélande pour y être jugée.
Ses avocats avaient plaidé l’irresponsabilité pénale pour cause de démence, en s’appuyant sur le témoignage d’un psychiatre légiste. La procureure a toutefois soutenu que les actes de Lee étaient prémédités et calculés.
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