Connect with us

Amérique centrale

Le Costa Rica enregistre un total de 115 décès dus au covid-19

Le ministère de la Santé du Costa Rica a signalé hier le décès de 11 personnes en raison du coronavirus. Ainsi, depuis le début de la crise sanitaire due au virus, le Costa Rica comptabilise un total de 115 décès dus au virus.

Selon les autorités sanitaires du Costa Rica, les décès signalés hier s’agissent de 42 femmes et 73 hommes. L’âge des personnes décédés et compris entre 23 et 99 ans. Le ministère de la Santé a ajouté que ces personnes présentaient des facteurs de risque communs, notamment l’hypertension, le diabète et le surpoids.

Le rapport ajoute que le pays enregistre un total de 15 841 cas depuis le début de la pandémie. Ils ont également annoncé que 3 824 personnes se sont guéries. Le Dr Daniel Salas, ministre de la Santé, a expliqué qu’à ce jour, il y a plus de 11 900 cas actifs, avec 323 hospitalisations.

Continue Reading
Advertisement
20250509_dengue_300x250_01
20250509_dengue_300x250_02
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

Amérique centrale

Panama : manifestations tendues contre la réforme de la sécurité sociale à Bocas del Toro

Manifestations au Panama à propos d'un contrat transnational d'exploitation de mines de cuivre

Les protestations contre la réforme de la sécurité sociale au Panama se sont poursuivies ce mercredi dans la province caribéenne de Bocas del Toro, avec des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, alors que les opposants refusent tout dialogue et affirment être prêts à « donner leur sang » pour faire tomber cette loi désormais en vigueur.

« Nous ne partirons pas tant que cette loi ne sera pas abrogée. Nous ne voulons aucun dialogue. S’il faut verser notre sang pour l’abroger, nous le ferons », a déclaré à l’agence EFE un manifestant masqué, qui a préféré garder l’anonymat, depuis la zone d’Almirante, dans la province de Bocas del Toro.

Autour de lui, d’autres manifestants cachaient également leur visage, certains armés de sacs de pierres et de bâtons : « Voici l’arme du pauvre : la machette, les pierres et les bâtons », disait l’un d’eux.

Les autorités chargées du maintien de l’ordre dans cette région caribéenne, dans le cadre de l’« Opération Omega », ont déclaré ce mercredi que 52 personnes ont été arrêtées depuis le début des opérations policières, dont 38 par le ministère public (MP) et 14 par les juges de paix, selon le vice-ministre de la Sécurité, Luis Felipe Icaza. Parmi les interpellés, on compte quatre mineurs.

Icaza a précisé que lors des 20 interventions policières menées mercredi, sept agents ont été blessés. Il a indiqué que 20 points de blocage ont été levés, mais 20 autres restent fermés, avec trois barrages partiels.

Advertisement
20250509_dengue_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Le vice-ministre a également signalé une augmentation de l’abattage d’arbres par les manifestants pour barrer les routes, avec 153 arbres abattus à ce jour, qualifiant cela de « dommage environnemental considérable ».

D’autre part, le ministère public a ouvert une enquête sur le décès d’une personne le 17 juin, à environ 300 mètres d’un poste de contrôle de la police à Chiriquí Grande (Bocas del Toro), selon les médias locaux. L’enquête est en cours par l’autorité compétente, a précisé Icaza.

Outre les affrontements à Bocas del Toro, des incidents ont également été signalés à Arimae (Darién), près de la frontière avec la Colombie, où un groupe d’indigènes a bloqué l’axe routier principal, ainsi qu’à Panamá, où des enseignants ont manifesté.

Continue Reading

Amérique centrale

Le journaliste José Rubén Zamora reste en détention malgré une décision favorable de la justice

La plus haute cour de justice du Guatemala a validé ce mercredi 18 juin 2025 la mesure d’assignation à résidenceaccordée au journaliste José Rubén Zamora, mais celui-ci restera en détention en raison d’une autre affaire en cours, engagée par le ministère public contesté, a indiqué son fils.

Le journaliste de 68 ans est incarcéré depuis plus de 1 000 jours dans le cadre d’une affaire de blanchiment d’argent présumé, que de nombreuses organisations internationales de défense de la presse qualifient de tentative de le réduire au silence, en raison de ses enquêtes sur la corruption sous le gouvernement conservateur précédent.

Fondateur de l’ancien quotidien El Periódico, Zamora est également accusé d’entrave à une enquête le visant. Bien que dans les deux affaires, il ait obtenu une assignation à résidence, des cours d’appel ont annulé ces décisions.

La Cour constitutionnelle a confirmé la mesure d’assignation à résidence en rejetant un recours du parquet, a déclaré à l’AFP José Zamora, fils du journaliste.

« La Cour confirme la liberté conditionnelle de mon père », a-t-il précisé.

Advertisement
20250509_dengue_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

« Mais il reste en prison à cause de l’accusation d’entrave à la justice », a ajouté Zamora, récemment nommé directeur régional pour les Amériques du Comité pour la protection des journalistes (CPJ).

Zamora avait été libéré en octobre, avant d’être réincarcéré en mars. Malgré la résolution favorable, il reste en détention dans l’attente d’une décision de la Cour suprême concernant un recours présenté en mars dans la deuxième affaire.

Son fils a dénoncé l’« inaction » de la Cour suprême, qui selon lui prolonge une détention arbitraire fondée sur un procès fallacieux, entaché d’irrégularités, contre un prisonnier d’opinion, selon Amnesty International.

À la fin du mois de mai, un groupe d’écrivains et de journalistes, conduit par le nicaraguayen Sergio Ramírez, a rendu visite à Zamora à la prison Mariscal Zavala à Guatemala Ciudad, pour lui témoigner leur solidarité.

En 2023, un tribunal l’avait condamné à six ans de prison pour blanchiment d’argent, mais le jugement a été annuléet le procès devra être rejoué.

Advertisement
20250509_dengue_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading

Amérique centrale

Costa Rica attire un tourisme respectueux de la nature et de la diversité

Avec un modèle de durabilité semblable à celui des pays nordiques, le Costa Rica cherche à attirer un tourisme qui valorise son caractère unique et respecte son environnement naturel et sa diversité, en fuyant la massification.
« Nous ne recherchons pas n’importe quel touriste. Nous voulons un tourisme qui respecte cette destination singulière et unique à tous les niveaux », souligne Adriana Bolaños, ambassadrice de ce petit pays de plus de cinq millions d’habitants en Espagne.

Grâce à une connexion permanente avec l’Europe, avec des vols quotidiens depuis les principales capitales européennes, le Costa Rica se positionne comme une destination idéale pour le tourisme de nature ou d’aventure. Il suscite un intérêt croissant auprès des voyageurs européens, notamment allemands, français et espagnols. Justement, pour renforcer les relations commerciales entre l’Espagne et le Costa Rica, le pays ouvrira ce mois de juin son premier bureau commercial espagnol à San José, la capitale.

« Nous savons que nous ne sommes pas une destination bon marché et que nous avons certaines particularités », ajoute l’ambassadrice. « Nos hôtels ne sont pas de grands complexes comme ailleurs ; ce sont de petits établissements nichés dans la jungle ou la forêt », précise-t-elle. En effet, 94 % des hébergements disposent de moins de 40 chambres, et 87 % des entreprises touristiques sont des microentreprises.
Aujourd’hui, le tourisme représente 8 % du PIB du pays. Chaque année, 2,9 millions de visiteurs découvrent le Costa Rica, avec les États-Unis comme principal marché émetteur, en raison de leur proximité.

30 % de la surface terrestre du pays est protégée, tout comme une proportion similaire de son territoire maritime. Il abrite 6 % de la biodiversité mondiale, un chiffre impressionnant pour un territoire aussi restreint. Avec 29 parcs nationaux et huit réserves naturelles, le Costa Rica s’offre comme un paradis vert entre deux océans. « Ici, on peut prendre le petit-déjeuner dans l’Atlantique et dîner dans le Pacifique », souligne l’ambassadrice Adriana Bolaños.

Au-delà du tourisme, le Costa Rica se distingue par sa stabilité démocratique — la plus ancienne d’Amérique latine —, son haut niveau d’éducation et son engagement envers l’innovation. Le pays accueille 20 des 100 plus grandes entreprises technologiques mondiales et compte plus de 800 multinationales installées sur son territoire. Ses principales exportations proviennent du secteur des services, notamment des technologies médicales, qui représentent 45 % du total.

Advertisement
20250509_dengue_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading

Trending

News Central