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International

Le Real Madrid prend la tête de la ligue espagnole

Dans un duel chargé de controverses, et dans lequel le Real Madrid a dû souffrir plus que prévu, les Blancs ont réussi à vaincre la Real Sociedad et à atteindre le haut du tableau du championnat espagnol de football, lors de leur visite à Saint-Sébastien.

Les buts de l’équipe menée par Zinedine Zidane ont été marqués par l’espagnol Sergio Ramos sur penalty, et par le français Karim Benzema. Mikel Merino à reduit le score en faveur de la Rea Sociedad. Les polémiques du duel, très disputées entre les deux équipes, se sont produites après les deux annotations de Madrid.

L’action du penalty a été assez remise en cause, tandis que le but de Benzema, de grande classe individuelle, a dû être revu par le VAR. Un autre point souligné était le but annulé à la Real Sociedad, pour un supposé hors-jeu. Après le but de l’équipe locale, le Real Madrid a reculé pour défendre le score.

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International

Capriles soutient la médiation de Lula dans la crise entre le Venezuela et les États-Unis

L’opposant vénézuélien Henrique Capriles a exprimé mercredi son soutien à la médiation du président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, qui s’est proposé en octobre dernier comme interlocuteur entre le Venezuela et les États-Unis, dans un contexte de tensions croissantes liées au déploiement militaire américain dans la mer des Caraïbes, que Caracas considère comme une menace.

« Je serais tout à fait favorable à la médiation d’un président d’un pays démocratiquement élu. Au Brésil, il y a une démocratie ; en Colombie, il y a une démocratie. Au Venezuela, il n’y a pas de démocratie », a déclaré Capriles dans une intervention sur son compte X.

Dans ce climat tendu entre Caracas et Washington, l’ancien candidat à la présidence a plaidé pour une négociation politique, une responsabilité qui incombe selon lui à ceux qui « détiennent le pouvoir ». Il a également critiqué l’appel lancé par le gouvernement aux citoyens pour qu’ils prennent les armes en défense du territoire national.
« Pourquoi le peuple vénézuélien devrait-il prendre les armes pour défendre qui ? Maduro ? Le gouvernement ? Les Vénézuéliens veulent la paix et une solution. Et c’est à ceux qui sont au pouvoir de la rechercher, de s’asseoir à la table des négociations », a-t-il affirmé.

En octobre, Lula avait déclaré que « si les États-Unis ont besoin du soutien du Brésil pour traiter la question vénézuélienne », il était prêt à aider, affirmant vouloir préserver « la paix en Amérique du Sud ».

La proposition du président brésilien avait été révélée par le ministre des Affaires étrangères, Mauro Vieira, après une rencontre entre Lula et le président américain, Donald Trump, à Kuala Lumpur, en marge du sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN).

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Caracas accuse Washington de vouloir utiliser sa présence militaire, que les États-Unis justifient par la lutte contre le narcotrafic, pour provoquer un « changement de régime » et installer une autorité « marionnette » qui lui permettrait de « s’approprier » les ressources naturelles du pays, en particulier le pétrole.

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International

Mexique : vers une harmonisation nationale du délit de harcèlement sexuel

Le harcèlement sexuel au Mexique n’est pas sanctionné de la même manière sur l’ensemble du territoire. Face à cette situation, le gouvernement a annoncé mercredi qu’il prépare une réforme visant à harmoniser ce délit dans les 32 États du pays, après l’agression dont a été victime mardi la présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum.

Bien que le Code pénal fédéral prévoie des peines pouvant aller jusqu’à trois ans de prison pour quiconque commet un acte de harcèlement sexuel, celui-ci relève du droit commun et dépend donc des législations de chaque État.

Cependant, il existe d’importantes divergences entre les Codes pénaux locaux, notamment concernant la définition du délit, les peines prévues et les circonstances aggravantes, telles que la commission des faits dans des lieux publics ou l’âge de la victime. Par exemple, à Mexico, le harcèlement sexuel est puni d’un à trois ans d’emprisonnement, assorti d’amendes et de la destitution du poste si l’agresseur est un fonctionnaire. En revanche, dans des États comme Nuevo León, la sanction va de six mois à deux ans de prison.

Une autre différence majeure réside dans la façon de définir le harcèlement : plus de vingt États le qualifient d’« acte d’obsession à des fins sexuelles » ou « lascives », tandis que d’autres le décrivent comme une « demande de faveurs sexuelles », comme c’est le cas au Coahuila.

Face à ce panorama, Sheinbaum a annoncé que son gouvernement prépare une initiative législative qu’il « partagera avec l’ensemble des gouverneurs », afin que le harcèlement soit défini et sanctionné de manière uniforme dans tout le pays.

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La présidente a également souligné la nécessité de faciliter les démarches de plainte. À cette fin, le secrétariat aux Droits des femmes prépare une campagne pour encourager les signalements.

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International

L’Équateur décrète un nouvel état d’exception face à la montée de la violence

Le président de l’Équateur, Daniel Noboa, a décrété un nouvel état d’exception dans cinq provinces et trois cantons en raison de la recrudescence de la violence dans ces zones. La mesure restera en vigueur pendant au moins 60 jours.

Les provinces concernées sont Manabí, Guayas, Santa Elena, Los Ríos et El Oro, ainsi que les cantons de La Maná (province de Cotopaxi), Las Naves et Echeandía (province de Bolívar), selon le décret présidentiel.

Le texte précise que cette décision est nécessaire face aux niveaux élevés de « violence, délits et activités illicites menés par des groupes criminels » dans ces régions. Durant cette période, le droit à l’inviolabilité du domicile sera suspendu dans ces territoires. Les forces de sécurité et l’armée pourront ainsi effectuer des inspections, des opérations de perquisition et des saisies sans mandat judiciaire préalable.

L’état d’exception suspend également le droit à l’inviolabilité de la correspondance, afin de permettre « l’identification, l’analyse et la collecte de messages, communications, lettres et/ou courriers physiques ou électroniques visant à dissimuler des membres de groupes criminels ou des activités illicites à l’origine de cette déclaration », indique le décret.

Fin octobre, le président avait levé l’état d’exception dans une dizaine de provinces, après une vaste vague de manifestations déclenchée par la suppression de la subvention au diesel, très critiquée par les populations indigènes.

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Bien que l’arrêt de la mobilisation ait été annoncé le 22 octobre, après un mois de troubles, de marches et de centaines d’arrestations, la mesure restait en vigueur. Les autorités ont fait état de trois morts et de dizaines de blessés lors des manifestations.

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