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International

Au Chili, leaders progressistes réclament un cessez-le-feu et l’aide humanitaire pour Gaza

Les cinq dirigeants progressistes réunis ce lundi au Chili ont une nouvelle fois exigé un cessez-le-feu à Gaza, assiégée militairement par Israël depuis octobre 2023, et ont reconnu que « la mort, le meurtre qui se produisent jour après jour dans ce lieu du monde, qui est aussi le nôtre, nous déchirent ».

Par la voix de l’hôte, le président chilien Gabriel Boric, qui a clôturé la déclaration conjointe, les chefs d’État ont également appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à faciliter l’arrivée de l’aide humanitaire au peuple palestinien, en travaillant à éviter tout type de blocus.

« Je termine cette intervention, car nous en avons parlé également, et nous ne pouvons rester indifférents lors d’une réunion avec des dirigeants internationaux, en lançant un nouvel appel au cessez-le-feu à Gaza », a déclaré Boric aux côtés de ses collègues du Brésil, Inácio Lula da Silva ; d’Espagne, Pedro Sánchez ; de Colombie, Gustavo Petro ; et d’Uruguay, Yamandú Orsi.
« La mort, le meurtre quotidien dans ce lieu du monde, qui est aussi le nôtre, nous déchirent. Nous appelons au cessez-le-feu et aux Nations Unies, et en particulier à leur Conseil de sécurité, à agir rapidement », a-t-il affirmé.

« Qu’il n’y ait pas de blocus et que l’aide puisse arriver, dont des êtres humains comme nous ont tant besoin pour continuer à vivre et pour qu’il y ait de la dignité dans ce lieu qui semble éloigné, mais qui est humanité et aussi dans nos cœurs », a conclu Boric.

Sous le thème « Démocratie vivante », les cinq présidents se sont réunis au Palais de La Moneda, siège de la présidence chilienne, afin d’établir des lignes directrices pour défendre la démocratie et lutter contre la montée du fascisme sous toutes ses formes. Ce forum, a indiqué Boric, sera doublé dans les prochaines semaines et présentera ses conclusions et propositions lors de la prochaine Assemblée générale des Nations Unies en septembre.

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International

Gustavo Petro dénonce une « ingérence » des États-Unis après la décertification de la Colombie

Le président colombien demande une meilleure exécution du budget

Le président colombien Gustavo Petro a critiqué mardi la décision des États-Unis de décertifier la Colombie dans la lutte contre la drogue, une mesure prise pour la première fois en près de trois décennies. Selon lui, il s’agit d’une pression politique exercée contre son gouvernement de gauche.

« Les États-Unis s’immiscent tout simplement dans la politique intérieure de la Colombie, ils veulent un président marionnette », a déclaré Petro sur le réseau social X. « Le peuple colombien décidera s’il veut un président marionnette comme celui qui a vendu le Panama ou s’il veut une nation libre et souveraine », a-t-il ajouté.

La veille, le gouvernement de Donald Trump avait inscrit la Colombie sur la liste des pays ayant « manifestement manqué » à leurs obligations dans la lutte antidrogue au cours de l’année écoulée. Toutefois, Washington a accordé une exemption pour des raisons d’intérêt national, afin de ne pas compromettre entièrement l’aide destinée à un pays longtemps considéré comme un allié clé dans la région.

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International

Washington retire sa certification à la Colombie dans la lutte antidrogue

L’administration de Donald Trump a annoncé la décertification de la Colombie dans la lutte contre le narcotrafic, estimant que le pays sud-américain avait « manifestement manqué » à ses engagements internationaux contre la drogue, selon un communiqué du Département d’État.

« La culture de la coca et la production de cocaïne ont atteint des niveaux historiques sous la présidence de Gustavo Petro, et ses tentatives infructueuses de parvenir à des accords avec des groupes narcoterroristes n’ont fait qu’aggraver la crise », précise le communiqué.

Aux côtés de la Colombie, les États-Unis ont également retiré l’Afghanistan, la Bolivie, le Venezuela et la Birmanie de la liste des pays certifiés, invoquant les mêmes manquements dans leurs efforts antidrogue.

Washington a averti que les pays qui n’assument pas leurs responsabilités dans l’éradication de la coca et le contrôle du trafic de cocaïne « feront face à de graves conséquences ». Toutefois, il a insisté sur le fait que l’aide américaine à la Colombie, à la Bolivie, au Venezuela et à la Birmanie restait « essentielle aux intérêts nationaux des États-Unis ».

Concernant la Colombie, le Département d’État a précisé qu’il pourrait revoir sa décision si le gouvernement Petro « adopte des mesures agressives pour éradiquer la coca, réduire le trafic de cocaïne et sanctionner ceux qui en tirent profit ».

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International

Gaza : Israël affirme que 40 % des habitants ont déjà quitté la ville

L’armée israélienne a affirmé ce mardi qu’environ 40 % des habitants de la ville de Gaza avaient déjà quitté la zone, alors que commencent les premières phases de son offensive terrestre pour envahir la cité.

« Rejoignez les plus de 40 % des habitants de la ville qui ont déjà été évacués afin de protéger votre sécurité et celle de vos proches », indique un communiqué militaire.

Selon les derniers chiffres publiés lundi par l’armée, 350 000 des quelque un million de personnes vivant à Gazaavaient déjà fui, bien que d’autres sources estiment ce chiffre plus bas.

D’après les données de suivi des mouvements de population de l’agence de l’ONU OCHA, couvrant la période depuis la mi-août — date à laquelle Israël a annoncé la prise de la ville — jusqu’au dimanche dernier, 191 000 personnes auraient quitté la cité pour se diriger vers le sud.

C’est précisément vers une étroite bande du sud que l’armée demande aux habitants de se déplacer, mais beaucoup rencontrent de sérieuses difficultés : coûts financiers élevés, manque d’espace d’accueil et problèmes médicaux.

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