Connect with us

International

Baisse de 86,5 % des arrestations d’Américains centraux aux frontières des États-Unis et du Mexique en 2025

Le nombre d’arrestations de Salvadoriens, Honduriens et Guatémaltèques — citoyens du soi-disant Triangle Nord de l’Amérique centrale — aux États-Unis et au Mexique a atteint 39 292 durant les cinq premiers mois de 2025, soit une baisse de 86,5 % par rapport à la même période en 2024, selon des données obtenues par l’agence EFE ce lundi.

Les chiffres officiels recueillis par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) montrent que ces arrestations sont bien inférieures aux 291 580 enregistrées entre janvier et mai 2024.

Parmi les personnes arrêtées, 10 675 (27,16 %) viennent du Salvador, 14 315 (36,43 %) du Honduras et 14 302 (36,39 %) du Guatemala, avec une diminution marquée dès le mois de janvier, quand Donald Trump a entamé son second mandat aux États-Unis.

En janvier, les arrestations dans les deux pays s’élevaient à 21 387 cas, avant de chuter à 6 673 en février, et à 3 224 en avril, mois où le nombre d’arrestations fut le plus faible.

Sur ces cinq mois, les arrestations à la frontière américaine totalisent 17 568, tandis qu’au Mexique elles atteignent 21 724.

Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Le pays ayant connu la plus forte baisse est le Guatemala, avec une diminution de 90 % aux États-Unis et de 88,5 % au Mexique, suivi par le Honduras (-86,9 % aux États-Unis et -85 % au Mexique).

Pour le Salvador, la réduction est de 87,6 % aux États-Unis et de 75,6 % au Mexique.

Ces données de l’OIM proviennent de la U.S. Customs and Border Protection (CBP) et du gouvernement mexicain.

Chaque année, plus de 500 000 personnes originaires de ces trois pays tentent d’émigrer irrégulièrement vers les États-Unis à la recherche de meilleures conditions de vie.

Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_300x250
20250701_vacunacion-influenza-300x250
20250701_vacunacion_vph-300x250
20250701_dengue_300x250_01
20250701_dengue_300x250_02
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

José Adolfo Macías, alias « Fito », se déclare non coupable lors de sa première comparution à New York

Le narcotrafiquant équatorien José Adolfo Macías, alias « Fito », chef du groupe Los Choneros, s’est déclaré ce lundi 21 juillet 2025 non coupable des sept chefs d’accusation retenus contre lui par la justice américaine lors de sa première comparution devant un tribunal de New York, après avoir été extradé aux États-Unis.

Parmi les chefs d’accusation figurent le trafic de drogue et le trafic d’armes, passibles de peines allant de 20 ans de prison à la réclusion à perpétuité. Détendu et souriant aux côtés de ses avocats, Macías est apparu dans la salle d’audience de Brooklyn sans menottes et vêtu de l’uniforme de prisonnier.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a déclaré sur le réseau social X que le chef de cartel « fera bientôt face à la justice aux États-Unis pour avoir dirigé une organisation criminelle transnationale impitoyable ».
« L’administration Trump maintient son engagement à éradiquer le fléau du narcotrafic et à collaborer avec des partenaires régionaux, comme le président Daniel Noboa, afin de rendre notre région plus sûre et plus forte », a-t-il ajouté.

Le procureur de New York accuse le chef équatorien d’avoir « inondé » les États-Unis et d’autres pays de drogue, et d’avoir recouru à des « mesures extrêmes de violence dans sa quête de pouvoir et de contrôle ».

Sous sa direction, « Los Choneros ont commis des actes de violence contre les forces de l’ordre équatoriennes, des politiciens, des avocats, des procureurs et des civils », précise le parquet.

Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Il est également accusé d’avoir « engagé spécifiquement des personnes qui achetaient des armes à feu, des composants d’armes à feu et des munitions aux États-Unis pour ensuite les introduire illégalement en Équateur » au profit du groupe.
Pour l’instant, « Fito » restera détenu en raison de sa « dangerosité » et du « risque élevé de fuite », a indiqué le parquet.

Continue Reading

International

Au Chili, leaders progressistes réclament un cessez-le-feu et l’aide humanitaire pour Gaza

Les cinq dirigeants progressistes réunis ce lundi au Chili ont une nouvelle fois exigé un cessez-le-feu à Gaza, assiégée militairement par Israël depuis octobre 2023, et ont reconnu que « la mort, le meurtre qui se produisent jour après jour dans ce lieu du monde, qui est aussi le nôtre, nous déchirent ».

Par la voix de l’hôte, le président chilien Gabriel Boric, qui a clôturé la déclaration conjointe, les chefs d’État ont également appelé le Conseil de sécurité de l’ONU à faciliter l’arrivée de l’aide humanitaire au peuple palestinien, en travaillant à éviter tout type de blocus.

« Je termine cette intervention, car nous en avons parlé également, et nous ne pouvons rester indifférents lors d’une réunion avec des dirigeants internationaux, en lançant un nouvel appel au cessez-le-feu à Gaza », a déclaré Boric aux côtés de ses collègues du Brésil, Inácio Lula da Silva ; d’Espagne, Pedro Sánchez ; de Colombie, Gustavo Petro ; et d’Uruguay, Yamandú Orsi.
« La mort, le meurtre quotidien dans ce lieu du monde, qui est aussi le nôtre, nous déchirent. Nous appelons au cessez-le-feu et aux Nations Unies, et en particulier à leur Conseil de sécurité, à agir rapidement », a-t-il affirmé.

« Qu’il n’y ait pas de blocus et que l’aide puisse arriver, dont des êtres humains comme nous ont tant besoin pour continuer à vivre et pour qu’il y ait de la dignité dans ce lieu qui semble éloigné, mais qui est humanité et aussi dans nos cœurs », a conclu Boric.

Sous le thème « Démocratie vivante », les cinq présidents se sont réunis au Palais de La Moneda, siège de la présidence chilienne, afin d’établir des lignes directrices pour défendre la démocratie et lutter contre la montée du fascisme sous toutes ses formes. Ce forum, a indiqué Boric, sera doublé dans les prochaines semaines et présentera ses conclusions et propositions lors de la prochaine Assemblée générale des Nations Unies en septembre.

Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading

Amérique centrale

Féministes et gouvernement panaméen unis pour préserver les droits des femmes malgré la réforme de l’État

Un petit groupe de militantes féministes s’est réuni ce lundi avec le président du Panama, José Raúl Mulino, dans une tentative de « garantir » les droits des femmes face à la future suppression du ministère de la Femme, dans le cadre d’un plan de restructuration de l’État visant à réduire les dépenses publiques.

« Nous sommes satisfaites et prêtes à collaborer avec le président de la République, comme avec tout autre groupe au sein du gouvernement qui souhaite que nous analysions, à partir de notre expérience accumulée, ce qui peut être fait, ce qui est possible et ce qui est nécessaire », a déclaré ‘Teresita’ Yániz de Arias, une figure historique du féminisme et femme politique panaméenne, selon un communiqué officiel.

Le groupe de militantes comprenait Yániz de Arias, Liriola Leoteau, Eyda Harvard, Lorena González et Alicia Franco, toutes défenseures des droits des femmes, particulièrement actives dans les années 1990, ainsi que la vice-ministre de la Présidence, Virna Luque, souligne la note.

Continue Reading

Trending

News Central