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International

Procès Maradona : une juge récusée pour sa participation à un documentaire sur l’affaire

La juge Julieta Makintach, accusée d’avoir participé à la réalisation d’un documentaire sur le procès lié à la mort de Diego Armando Maradona, a été écartée de l’affaire ce mardi après avoir accepté sa récusation, tout comme les autres membres du tribunal. Cette décision met en péril la continuité du procès.

La récusation de la juge a été appuyée lors de l’audience de ce mardi par toutes les parties de la défense ainsi que par les parties civiles, après la révélation de preuves impliquant sa participation à la production du documentaire.

« L’écartement de la docteure Makintach est consigné dans le procès-verbal, et les parties sont convoquées dans deux heures », a déclaré le président du tribunal, Maximiliano Savarino, qui devra désormais décider, en concertation avec les avocats de la défense et des parties civiles, de la suite à donner au procès.

Selon des sources judiciaires consultées par EFE, le procès pourrait être annulé, renvoyé aux étapes initiales ou poursuivi avec un nouveau juge. « Cette preuve est plus que déterminante et extrêmement grave », a souligné Savarino avant de suspendre l’audience, au cours de laquelle ont été présentés, entre autres éléments, le scénario et la bande-annonce de la minisérie documentaire à laquelle la magistrate participait.

Dans la bande-annonce, projetée par le ministère public, on voit des images de Diego Maradona entrecoupées de séquences montrant la juge Makintach arpentant les couloirs du tribunal, le tout accompagné de musique électronique.

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International

Cuba dénonce l’attitude « inamicale » du diplomate américain Mike Hammer

Le ministère cubain des Relations extérieures (Minrex) a convoqué ce vendredi Mike Hammer, chef de mission par intérim des États-Unis à La Havane, pour protester contre ce qu’il qualifie de « conduite irrespectueuse », selon un communiqué officiel.

Alejandro García del Toro, directeur des Affaires bilatérales au sein de la direction générale des États-Unis au ministère, a remis une note verbale de protestation, dénonçant une attitude « ingérente et inamicale », jugée incompatible avec le rôle d’un diplomate et irrespectueuse envers le peuple cubain.

La chancellerie cubaine a qualifié le comportement de Hammer de « provocateur et irresponsable », l’accusant d’avoir incité des citoyens cubains à commettre des actes criminels graves, de s’attaquer à l’ordre constitutionnel et de soutenir des intérêts étrangers hostiles à Cuba.

Le communiqué précise qu’il ne s’agit pas de la première mise en garde adressée à Hammer, arrivé sur l’île fin 2024. Depuis son arrivée, le diplomate américain a rencontré des dissidents, des entrepreneurs cubains et des activistes dans différentes régions du pays.

Le Minrex rappelle que l’immunité diplomatique ne saurait servir de couverture à des actions contraires à la souveraineté nationale et à l’ordre interne du pays hôte.

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Ces derniers jours, plusieurs médias officiels cubains ont publié des articles critiquant les agissements de Hammer, en particulier ses rencontres avec des membres de la société civile.

Âgé de 60 ans, Mike Hammer a grandi en Amérique latine — au Honduras, au Salvador, en Colombie et au Venezuela — et maîtrise couramment l’espagnol, ainsi que le français et l’islandais. Il a déjà représenté les États-Unis au Chili, en République Démocratique du Congo et dans d’autres pays.

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International

Guatemala : découverte d’une cité maya de 3 000 ans aux pyramides monumentales

Un groupe d’archéologues a mis au jour les ruines d’une cité maya vieille de 3 000 ans au Guatemala, révélant une architecture impressionnante comprenant des pyramides, des monuments et une planification urbaine avancée. Cette découverte offre de nouvelles perspectives sur la civilisation maya antique.

Baptisée Los Abuelos, la cité est située à environ 21 kilomètres du site archéologique d’Uaxactún, dans le département du Petén, au nord du pays, selon un communiqué du ministère de la Culture.

D’après les experts, l’agencement du site témoigne d’une organisation architecturale remarquable. Il aurait servi comme l’un des centres cérémoniels les plus anciens et influents de la civilisation maya.

Les monuments découverts datent de la période Préclassique moyenne (800–500 av. J.-C.), avec une iconographie jugée unique. Certaines des figures, datées entre 500 et 300 av. J.-C., pourraient avoir été utilisées lors de rituels en hommage aux ancêtres.

En plus de ce site principal, deux autres sites voisins ont été explorés :

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  • Petnal, où une pyramide imposante de 33 mètres conserve encore des fresques de l’époque préclassique ;

  • Cambrayal, qui révèle un système complexe de canaux et des signes d’une ingénierie hydraulique très avancée pour l’époque.

Ces trois sites — Los Abuelos, Petnal et Cambrayal — font partie du Projet Archéologique Régional d’Uaxactún, mené par des chercheurs guatémaltèques et internationaux, avec le soutien de l’Université Comenius de Bratislava (Slovaquie).

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International

La Cour suprême américaine ouvre la voie à la fin du statut humanitaire pour 500 000 immigrés

Des défenseurs des droits des immigrés ont fermement condamné ce vendredi la décision de la Cour suprême des États-Unis, qui autorise temporairement l’administration Trump à mettre fin à la protection humanitaire accordée à plus d’un demi-million de ressortissants de pays comme le Venezuela, Cuba, le Nicaragua et Haïti. Cette décision a été qualifiée de « plus grande dé-légalisation » migratoire de l’ère moderne du pays.

La plus haute instance judiciaire américaine a annulé une ordonnance d’une juge fédérale qui empêchait la suppression du programme de « parole humanitaire », mis en place sous l’administration Biden (2021-2025), permettant à environ 532 000 personnes de vivre et de travailler temporairement aux États-Unis.

Toutefois, la décision de la Cour suprême est temporaire. Le contentieux se poursuivra devant un tribunal fédéral du Massachusetts.

En février dernier, les organisations Justice Action Center et Human Rights First, accompagnées de Haitian Bridge Alliance, ont porté plainte au nom des bénéficiaires du programme CHNV et de leurs parrains, pour bloquer la décision de l’administration Trump.

« La Cour suprême a ouvert la voie à un chaos généralisé, non seulement pour nos clients et les membres du recours collectif, mais aussi pour leurs familles, leurs lieux de travail et leurs communautés », a déclaré Karen Tumlin, directrice du Justice Action Center.

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