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International

González Urrutia : les États-Unis prêts à examiner une demande d’aide pour son retour au Venezuela

Les États-Unis ont affirmé ce mercredi que le leader de l’opposition vénézuélienne, Edmundo González Urrutia, actuellement en exil en Espagne, ne leur a pas demandé d’aide pour retourner dans son pays. Toutefois, ils ont précisé qu’ils « considéreraient » cette demande si elle leur était adressée.

« Le gouvernement des États-Unis n’a reçu aucune demande d’assistance pour son transport ; nous n’avons pas non plus participé à sa sortie du Venezuela, et personne ne nous a sollicités à cet égard », a déclaré un haut fonctionnaire de l’administration de Joe Biden lors d’un appel avec des journalistes.

Ce même responsable a ajouté : « Si nous recevions une telle demande de sa part, nous l’examinerions ».

Le fonctionnaire a également rappelé que les États-Unis ne reconnaissent pas l’autorité du président vénézuélien Nicolás Maduro et, par conséquent, ne sont « pas en contact » avec son gouvernement pour « ce type de questions ».

Les États-Unis considèrent González Urrutia comme le « président élu » du Venezuela. Ce dernier, actuellement en Espagne, a déclaré son intention de retourner dans son pays pour prendre ses fonctions le 10 janvier, date prévue de l’investiture de Maduro.

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Le Conseil National Électoral (CNE) a proclamé la réélection de Nicolás Maduro lors des élections du 28 juillet, mais n’a pas publié les procès-verbaux détaillant les résultats des scrutins.

La Plateforme Unitaire Démocratique (PUD), principale coalition d’opposition au Venezuela, a de son côté présenté des procès-verbaux qui attribuent la victoire à son candidat, González Urrutia. Depuis septembre, ce dernier est exilé en Espagne, dénonçant une persécution de la part des autorités vénézuéliennes.

Dans une interview accordée lundi à EFE à Madrid, González Urrutia a confirmé son intention de se rendre à Caracas pour prendre ses fonctions le 10 janvier. Il a également affirmé être « moralement prêt » à une éventuelle détention au Venezuela.

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International

Chili : le corps du dernier mineur disparu retrouvé après l’éboulement à El Teniente

Le sauvetage des cinq mineurs portés disparus après un éboulement dans l’immense gisement d’El Teniente, appartenant à la société publique chilienne Codelco, s’est achevé dimanche avec la découverte du dernier corps, a annoncé le parquet.

L’accident, survenu jeudi, est l’un des plus graves de ces trois dernières décennies dans cette mine et a fait, le jour même, un mort et neuf blessés.

Avec 4.500 km de galeries souterraines, El Teniente est la plus grande mine de cuivre souterraine au monde. Elle appartient à Codelco, premier producteur mondial de cuivre.

« Aujourd’hui, nous avons finalement retrouvé le corps du dernier travailleur qui était porté disparu », a déclaré à la presse le procureur régional de la région d’O’Higgins, Aquiles Cubillos.

Dans la nuit de samedi à dimanche, les corps de trois autres mineurs avaient déjà été retrouvés, s’ajoutant à celui d’un premier ouvrier découvert samedi après-midi. Tous ont été localisés dans la même zone où l’éboulement, provoqué par un « événement sismique », est survenu jeudi. L’origine de cet événement – naturelle ou liée aux forages – fait toujours l’objet d’une enquête.

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Amérique centrale

Bukele défend la réélection illimitée et dénonce les “préjugés” contre le Salvador

Nayib Bukele entame sa cinquième année de mandat avec un soutien historique

Le président salvadorien Nayib Bukele a rejeté ce dimanche l’idée que l’approbation de la réélection présidentielle indéfinie au Salvador marque « la fin de la démocratie ». Selon lui, les critiques à l’égard de cette décision proviennent du fait qu’elle a été prise par un pays « petit et pauvre ».

Jeudi, le Congrès salvadorien a approuvé une réforme constitutionnelle autorisant la réélection illimitée, prolongeant le mandat présidentiel de cinq à six ans et supprimant le second tour électoral.

« 90 % des pays développés permettent la réélection illimitée de leur chef de gouvernement et personne ne s’en émeut », a réagi Bukele sur le réseau social X. « Mais lorsque un petit pays pauvre comme le Salvador tente de faire la même chose, soudain, c’est la fin de la démocratie », a-t-il expliqué.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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