Connect with us

International

Hezbollah nie avoir choisi Hashem Safi al Din comme successeur de Nasrala

Le groupe chiite libanais Hezbollah a nié que le clerc Hashem Safi al Din ait été élu secrétaire général du mouvement politique et armé de l’organisation, selon une information divulguée sur sa chaîne Telegram.

Quelques heures plus tôt, les médias arabes Al Arabiya et Al Hadath avaient rapporté que le cousin maternel et chef du Hezbollah Hassan Nasrala, décédé dans un bombardement israélien à l’extérieur de Beyrouth samedi dernier, serait son successeur.

Le Hezbollah contredit les médias

« En réponse aux nouvelles qui ont circulé dans certains médias sur les procédures organisationnelles au sein de la direction du Hezbollah (…) nous voulons préciser que les informations connexes n’ont pas d’importance et ne peuvent être considérées comme valides tant qu’un communiqué officiel n’est pas publié », a déclaré la communication du groupe chiite libanais.

Après la mort de Hassan Nasrala, lors d’une frappe aérienne israélienne sur plusieurs bâtiments à Dahye, un quartier au sud de Beyrouth, où se trouvait le quartier général du groupe chiite, l’attente quant à son successeur ne cesse de croître avec la recrudescence des bombardements au Liban et des rebelles houthis au Yémen.

Désigné comme terroriste par les États-Unis

Comme la plupart des hauts fonctionnaires du Hezbollah – une organisation qui est considérée comme terroriste par Israël et les États-Unis, mais pas par l’Union européenne, qui ne considère que sa branche armée comme terroriste -, en 2017, Safi a al Din a été désigné comme terroriste par le gouvernement américain en tant que « membre clé » du groupe, selon un communiqué du département d’État.

Environ un million de personnes ont quitté leur domicile ces derniers jours au Liban en raison de la campagne d’attaques, a annoncé dimanche le Premier ministre libanais, Najib Mikati, qui a rappelé que son gouvernement appelle à une trêve à Gaza et au Liban depuis « sept ou huit mois ».

Advertisement
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250901_vacunacion_vsr-300x250
20250901_vacunacion_tetravalente-300x250
20250701_vacunacion-influenza-300x250
20250701_vacunacion_vph-300x250
20250701_dengue_300x250_01
20250701_dengue_300x250_02
20250715_donacion_sangre_central_300x250
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Le Mexique attend le nombre de ressortissants détenus lors de la descente à l’usine Hyundai en Géorgie

Le gouvernement du Mexique, par l’intermédiaire de la Secrétariat des Relations Extérieures (SRE, Ministère des Affaires étrangères), a indiqué ce vendredi qu’il attend la confirmation du nombre de ressortissants mexicains détenus lors de la descente effectuée jeudi dans l’usine Hyundai en Géorgie.

Dans un communiqué, le SRE a précisé que le Service de l’Immigration et du Contrôle des Douanes / Investigations de la Sécurité Intérieure (ICE/HSI) avait mené une opération migratoire à Ellabell, en Géorgie, et que « les autorités ont indiqué que la détermination finale du nombre de détenus par nationalité est encore en cours ».

La descente surprise dans l’usine Hyundai a principalement affecté les communautés immigrantes sud-coréennes et hispaniques, avec 475 travailleurs arrêtés, ce qui représente la plus grande opération jusqu’à présent dans la récente campagne du gouvernement de Donald Trump contre l’immigration illégale. Vendredi, le HSI a précisé que beaucoup des détenus sont de nationalité sud-coréenne.

L’opération de contrôle migratoire à l’usine de batteries de Hyundai, située dans le comté de Bryan (Géorgie), a conduit à 475 arrestations d’immigrants en situation irrégulière.

Des vidéos sur les réseaux sociaux montrent des travailleurs pris au dépourvu, certains fuyant ou se cachant dans des conduits ou des zones boisées à proximité, après l’intervention à Hyundai Motor Group Metaplant America, près de Savannah, où sont fabriqués des véhicules électriques.

Advertisement
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Le consulat général du Mexique à Atlanta reste en contact permanent avec les autorités américaines responsablesde l’opération.

Continue Reading

International

États-Unis : Trump durcit l’examen de citoyenneté pour lutter contre la fraude migratoire

L’administration du président américain Donald Trump a annoncé jeudi de nouvelles mesures pour durcir le processus de naturalisation, en proposant d’augmenter la difficulté de l’examen de citoyenneté dans le cadre de sa stratégie visant à lutter contre la supposée fraude migratoire.

Lors d’un événement organisé à Washington par le Centre d’études sur la migration, le directeur du Service de citoyenneté et d’immigration des États-Unis (USCIS), Joseph Edlow, a déclaré que l’actuel examen est « trop facile »et qu’une révision approfondie est nécessaire afin d’évaluer plus rigoureusement les connaissances constitutionnelles et civiques des candidats.

Les changements proposés incluent l’augmentation du score minimum requis ainsi que l’introduction d’une épreuve écrite, au cours de laquelle les aspirants devront expliquer ce que signifie être citoyen américain.

Renforcement des entretiens et des enquêtes

Edlow a également indiqué que le gouvernement relancera les entretiens auprès des voisins et collègues des demandeurs — une pratique abandonnée depuis l’administration de l’ancien président George W. Bush. En parallèle, les efforts de vérification seront renforcés grâce au déploiement d’agents spéciaux pour enquêter sur les cas suspects.

«Nous abandonnons un modèle centré sur l’accompagnement des candidats pour adopter une approche axée sur l’application stricte de la loi», a affirmé Edlow, soulignant que le gouvernement mène désormais “une guerre contre la fraude” dans le processus de naturalisation.

Advertisement
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading

International

Amnesty International demande une enquête sur l’attaque américaine dans les Caraïbes

Amnesty International (AI) a exigé ce jeudi une enquête sur l’attaque menée par les États-Unis contre un bateau dans les Caraïbes, au cours de laquelle 11 personnes ont été tuées, tout en remettant en question l’usage progressif de la force dans cette opération.

« Les États-Unis doivent démontrer, pour chaque attaque, que la force létale n’a été utilisée que lorsqu’elle était strictement nécessaire pour protéger des vies, » a déclaré Daphne Eviatar, directrice de la Sécurité et des Droits humains pour AI aux États-Unis.

Elle a averti que, sans preuve de cette nécessité, l’attaque constituerait une violation claire du droit à la vie selon le droit international des droits humains, créant un « précédent dangereux », puisque l’usage de la force létale dans ce contexte serait totalement injustifié.

Selon AI, les circonstances de l’incident soulèvent de sérieuses questions sur la légalité, la responsabilité et le respect du droit international des droits humains. L’organisation a exigé une enquête rapide, exhaustive, indépendante, impartiale et transparente sur l’événement. Elle a rappelé que l’usage intentionnel de la force létale est strictement réglementé par les normes internationales applicables aux forces de l’ordre.

Le gouvernement américain a défendu l’action, qui a eu lieu mardi, en précisant que l’attaque létale avait été menée par le Commandement Sud contre une petite embarcation prétendument liée au Tren de Aragua, transportant des « narcoterroristes ».

Advertisement
20250901_vacunacion_vsr-728x90
20250901_minsal_tetra_-728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading

Trending

News Central