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International

Poutine n’a pas l’intention d’appeler Trump après l’attaque, selon le Kremlin

Le président russe, Vladimir Poutine, n’a pas appelé le candidat républicain à la Maison Blanche, Donald Trump, après l’attaque dont il a été victime lors d’un rassemblement samedi dernier en Pennsylvanie (États-Unis).

« Non, (Poutine) ne l’a pas contacté et il n’a pas l’intention de le faire », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de sa conférence de presse quotidienne. 

Interrogé sur la sécurité de Poutine, Peskov a répondu qu’elle était garantie « au niveau approprié » et qu’elle avait été renforcée il y a quelque temps.

« Tout ce qui doit être fait est fait, en tenant bien entendu compte de l’escalade des tensions dans le monde », a-t-il souligné.

Le Kremlin a condamné dimanche l’attaque contre Trump et a souligné qu’il rejetait « toute manifestation de violence au cours de la lutte politique ».

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Dans le même temps, il a ajouté qu’« après les multiples tentatives visant à retirer la candidature de Trump de la course électorale par des moyens légaux tels que les tribunaux, les procureurs, les tentatives de le discréditer politiquement et de le compromettre, il était évident pour tout le monde que sa vie était en danger ». « .

Trump, 78 ans, participait à un rassemblement dans la ville de Butler (Pennsylvanie, États-Unis) au moment de l’attaque. Il n’était sur scène que depuis 10 minutes lorsqu’il a été touché par une balle à l’oreille droite et évacué des lieux par des agents des services secrets.

Poutine a assuré il y a quelques semaines qu’il ne doutait pas de la sincérité de l’ancien président lorsqu’il évoquait la volonté de mettre fin à la guerre en Ukraine. 

«Je ne connais pas (leurs) propositions. (…) Mais je ne doute pas qu’il parle sincèrement et nous le soutenons», a déclaré le chef du Kremlin lors d’une conférence de presse avec les médias russes à Astana.

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International

Cuba accueille 89 migrants expulsés par les États-Unis

Cuba a accueilli ce mercredi 89 migrants irréguliers expulsés par les États-Unis, dans le cadre de la sixième opération de ce type depuis le début du second mandat du président américain Donald Trump, entamé le 20 janvier dernier.

Le groupe – composé de 76 hommes, 12 femmes et un mineur – est arrivé par voie aérienne à La Havane. Cette opération s’inscrit « dans le cadre des accords migratoires bilatéraux » signés entre les gouvernements de La Havane et de Washington, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur (Minint) diffusé dans les médias officiels cubains.

L’une des personnes rapatriées a été remise aux autorités judiciaires, car elle se trouvait en liberté conditionnelle au moment de sa sortie illégale du pays, précise la note.

Avec cette nouvelle opération, ce sont désormais 20 rapatriements collectifs qui ont été effectués depuis différents pays de la région en 2025, pour un total de 676 personnes renvoyées à Cuba.

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International

Colombie : la justice suspend le décret de Petro sur une consultation populaire

Le Conseil d’État de Colombie a suspendu mercredi un décret du président Gustavo Petro qui visait à convoquer une consultation populaire pour réformer la législation du travail, arguant que cette mesure n’avait pas reçu l’autorisation préalable du Sénat.

Surnommée le « décrétazo » par l’opposition, cette initiative présidentielle a suscité de vives tensions politiques avec le Congrès. Plusieurs parlementaires l’ont qualifiée de tentative de coup d’État et de remise en cause directe de la séparation des pouvoirs.

« L’avis favorable du Sénat de la République est requis, ce qui, en l’espèce, fait défaut », a indiqué la décision du Conseil d’État, instance judiciaire compétente pour résoudre les conflits entre les citoyens et l’État.

Ironie du calendrier, le Sénat avait approuvé mardi une réforme du travail visant à améliorer les conditions des travailleurs, alors même que le président Petro s’apprêtait à consulter la population par voie de référendum pour faire adopter son projet.

Petro a déclaré qu’il pourrait retirer sa convocation à la consultation populaire si le texte adopté par le Sénat, après un processus de conciliation avec la Chambre des représentants, répondait effectivement aux attentes des travailleurs.

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International

Une taxe américaine sur les remises pourrait priver le Mexique de 2,25 milliards de dollars, selon l’IMCP

L’Institut mexicain des comptables publics (IMCP) a déclaré ce mercredi que l’impôt de 3,5 % sur les envois de fonds proposé par les États-Unis pourrait entraîner une baisse de jusqu’à 2,25 milliards de dollars des transferts vers le Mexique, en plus de favoriser l’émergence d’un « marché noir ».

« Nous estimons que l’impact total de cette taxe pourrait représenter 2,25 milliards de dollars qui ne parviendraient plus au Mexique », a expliqué Ernesto O’Farrill, président de la Commission d’analyse économique de l’IMCP, une estimation proche de celle de BBVA, qui prévoit une diminution pouvant aller jusqu’à 2 milliards de dollars d’ici 2025.

Lors de la réunion mensuelle de l’institut, le vice-président fiscal de l’IMCP, Rolando Silva Briceño, a souligné que « sur la base des données macroéconomiques, le déficit budgétaire pourrait même augmenter d’un point si aucune mesure adéquate n’est prise ».

Outre la baisse des envois — qui mettrait fin au record atteint en 2024 de 64,745 milliards de dollars — l’IMCP alerte également sur une probable migration vers des circuits informels de transfert d’argent, similaires à ceux utilisés par le passé, afin d’éviter la taxe.

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