Connect with us

International

Un contingent de 400 policiers du Kenya arrive en Haïti pour tenter de freiner la violence

Un contingent de 400 soldats kenyans est arrivé mardi à l’aéroport Toussaint Louverture de Port-au-Prince pour aider la police nationale haïtienne à arrêter la violence aux mains des gangs armés, qui a fait des milliers de victimes et de personnes déplacées.

Le vol, de la compagnie aérienne nationale Kenya Airways, a quitté l’aéroport international Jomo Kenyatta la nuit dernière locale avec la présence, au pied de la piste, du ministre de l’Intérieur, Kindiki Kithure, entre autres autorités, quelques heures après que le président du Kenya, William Ruto, ait licencié les effectifs lors d’un événement officiel à Nairobi.

Dans un message en X, le Premier ministre haïtien Garry Conille a salué la détermination du gouvernement kenyan et de son peuple à « accompagner Haïti dans la lutte contre l’insécurité qui corrode notre société ».

« Le gouvernement et le peuple d’Haïti espèrent que cette mission multinationale sera la dernière à contribuer à stabiliser le pays afin qu’il puisse renouveler son personnel politique et revenir à une démocratie efficace (…) Vive la solidarité entre les peuples », a écrit Conille, qui a souligné sa détermination à rendre la paix au pays.

Les effectifs arrivés mardi font partie du total de 1 000 policiers que le Kenya a proposés pour diriger la mission multinationale de soutien à la sécurité, autorisée par le Conseil de sécurité des Nations unies.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Les agents proviennent de diverses unités de police et ont reçu une formation dans différents domaines, y compris les langues.
Sa présence « en Haïti apportera un soulagement aux femmes, aux hommes et aux enfants dont la vie a été détruite par la violence des gangs armés (…) Nous travaillerons avec la communauté internationale pour parvenir à une stabilité durable en Haïti », a déclaré Ruto lundi via le réseau social X.

La semaine dernière, Ruto s’est entretenu avec le Conseil présidentiel de transition (CPT) haïtien, dont l’établissement, en avril dernier, était une condition nécessaire pour le Kenya avant d’envoyer les agents.

De même, l’inspecteur général du service national de police (NPS) du Kenya, Japhet Koome, a rencontré à Nairobi le 18 juin dernier une délégation de la police haïtienne, quelques semaines après le retour d’une équipe de reconnaissance kenyane du pays des Caraïbes.

Le contingent de police est arrivé mardi en Haïti, malgré les obstacles judiciaires rencontrés par le déploiement dans les tribunaux kenyans.

La Cour supérieure de Nairobi a fixé le 12 pour le 7 octobre une audience sur un nouveau recours d’un parti d’opposition kenyan contre le déploiement en Haïti des premiers agents.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Le Conseil de sécurité de l’ONU a autorisé en octobre 2023 l’envoi d’une mission de soutien à la police nationale d’Haïti, en réponse à la demande faite un an plus tôt par les autorités du pays des Caraïbes d’éradiquer la violence des gangs armés.

L’année dernière, cette violence a fait 8 000 victimes en Haïti, où les gangs criminels ont contrôlé 80 % de la capitale, Port-au-Prince, ainsi que d’autres régions du pays, selon les chiffres de l’ONU.

Continue Reading
Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

Continue Reading

International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

Continue Reading

International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading

Trending

News Central