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International

Accord pour la répartition des hauts fonctionnaires de l’UE pour Von der Leyen, Costa et Kallas

Les six dirigeants de l’Union européenne (UE) chargés de négocier les postes les plus importants des institutions européennes, dont le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, ont convenu aujourd’hui de proposer que Ursula von der Leyen, Antònio Costa et Kaja Kallas soient respectivement les présidents de la Commission et du Conseil et la chef de la diplomatie du club communautaire lors de la prochaine législature.

Selon des sources proches des négociations, l’accord a été conclu mardi lors d’une vidéoconférence.

Les premiers ministres grecs, Kyriakos Mitsotakis, et polonais, Donald Tusk (pour le Parti populaire européen) ; l’Espagnol Pedro Sánchez et le chancelier allemand, Olaf Scholz (pour les socialistes et les sociaux-démocrates), et le président français, Emmanuel Macron, et le Premier ministre néerlandais sortant, Mark Rutte (pour les libéraux).

Ce pacte entre les trois partis de la majorité parlementaire pro-européenne doit maintenant être approuvé lors du sommet des chefs d’État et de gouvernement qui se tiendra jeudi et vendredi de cette semaine à Bruxelles.

La conservatrice allemande Von der Leyen, le socialiste portugais Costa et la libérale estonienne Kallas étaient les noms avec lesquels les négociateurs se sont rendus au sommet européen du 17 juin dernier.

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Un accord n’a alors pas été possible en raison, entre autres, de la prétention du PPE (gagant des dernières élections européennes) de diviser la présidence du Conseil en deux moitiés, et de garder la deuxième partie de deux ans et demi.

Les négociateurs ont convenu de laisser en attente la répartition des deuxièmes mandats des présidences du Conseil européen et du Parlement européen au moment où la date de leur éventuel renouvellement approche pour tenir compte des circonstances politiques de l’époque, selon les sources.

Pour contourner l’éventuel malaise de la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, pour ne pas l’avoir citée pour ces négociations, l’un des six négociateurs l’a contactée pour s’assurer qu’elle aura, comme elle l’a demandé, un portefeuille important dans le prochain exécutif communautaire, selon les sources.

Le trio de noms convenu répond bien aux critères d’équilibre entre les sexes (deux femmes et un homme), d’origine géographique (une estonienne, une allemande et un portugais) et de couleur politique (une populaire, une socialiste et une libérale).

La liste serait complétée par la présidence du Parlement européen, pour laquelle les dirigeants ne donnent pas de noms mais des indications de couleur politique : le Parti populaire européen prendrait la première moitié de la législature – pour la présidente actuelle, Roberta Metsola – et il reste dans l’air ce qui se passerait avec la seconde, que les sociaux-démocrates ont traditionnellement.

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International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

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International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

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Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

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International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

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