Le Wall Street Journal rapporte de nouvelles pistes dans l’enquête sur le meurtre de Charlie Kirk, proche allié du président Donald Trump.

Selon le média, les enquêteurs ont découvert des munitions gravées avec des inscriptions faisant référence à l’idéologie transgenre et à l’anticapitalisme à l’intérieur du fusil présumé avoir été utilisé lors de la fusillade.

Sur les lieux du crime, les autorités ont retrouvé un fusil de chasse calibre .30, considéré comme l’arme utilisée. L’arme a été trouvée enveloppée dans une serviette dans une zone boisée à proximité du lieu de la fusillade.

Le FBI, qui a qualifié l’incident de « attaque ciblée », a également précisé que le suspect semblait être jeune et que « de bonnes images vidéo » étaient disponibles. Deux photos d’un homme jugé pertinent pour l’enquête ont été publiées sur X.

Les images montrent un homme portant une casquette noire, des lunettes de soleil foncées et un T-shirt noir avec un motif ressemblant au drapeau américain.

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Des tireurs vêtus d’uniformes de police ont ouvert le feu mercredi soir contre des clients d’un hôtel de la ville de Manta (ouest), l’un des foyers de violence liés au narcotrafic en Équateur, a indiqué la police dans un communiqué.

Les tirs ont également fait deux blessés.

L’Équateur est l’un des pays les plus violents de la région en raison de la guerre entre bandes criminelles qui exploitent ses ports stratégiques, son économie dollarisée et la corruption.

Parmi les victimes figure Maicol Valencia, un joueur de 23 ans de l’équipe Exapromo Costa, qui devait jouer ce samedi contre Deportivo Quito. Selon les médias locaux, le footballeur venait juste d’être présenté dans l’équipe le jour même du massacre.

Valencia « a été une victime collatérale de l’attaque visant d’autres personnes étrangères à notre club », a précisé le club Exapromo dans un communiqué.

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Le communiqué ajoute que l’un des blessés est également joueur de l’équipe et se trouve hospitalisé.

Pour le moment, les raisons de l’attaque restent inconnues.

Selon la police, les assaillants sont arrivés dans une camionnette blanche qui a ensuite été incendiée dans un autre secteur de la ville.

Une femme américaine accusée d’avoir inscrit son chien pour voter s’est présentée au tribunal ce mardi pour répondre à des accusations qui pourraient lui valoir jusqu’à six ans de prison.

Laura Yourex avait publié sur ses réseaux sociaux une photo montrant sa chienne, Maya Jean, avec un autocollant « J’ai voté » après une élection locale en Californie en 2021.

Une autre publication d’octobre 2024 montrait le collier de Maya et le bulletin de vote avec la légende « Maya reçoit toujours son bulletin », bien que l’animal soit déjà décédé.

Yourex, 62 ans, résidant à Costa Mesa, près de Los Angeles, s’était dénoncée elle-même pour cette prétendue fraude électorale l’année dernière.

Le procureur du district a enquêté sur l’affaire, et Yourex a été inculpée pour parjure, falsification ou usage de document falsifié, deux chefs d’accusation pour vote non autorisé, et un chef pour inscription d’une personne inexistante pour voter.

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Après une brève comparution au tribunal mardi, l’avocat de Yourex a déclaré aux journalistes que sa cliente cherchait à démontrer ce qu’elle considérait comme une faille du système électoral américain.

« Laura Yourex regrette sincèrement sa maladroite tentative de mettre en évidence les irrégularités de notre système de vote, en essayant de montrer, par une démonstration, que même un chien peut s’inscrire pour voter », a déclaré Jaime Coulter aux médias.