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International

Trump dit qu’il ne s’endort pas pendant son procès pénal, mais qu’il ferme simplement les yeux

L’ancien président Donald Trump a déclaré jeudi sur son réseau social qu’il ne s’endort pas pendant les longues sessions du procès pénal contre lui qui se déroule à New York, mais qu’il « ferme simplement » les yeux pour écouter « intensément ».

« Contrairement à ce que disent les FAKE NEWS MEDIA, je ne m’endors pas pendant la chasse aux sorcières du procureur corrompu, surtout aujourd’hui. Je ferme simplement mes beaux yeux bleus, parfois, j’écoute intensément et j’assimile TOUT ! !! », a écrit le politicien, âgé de 77 ans, dans Truth Social.

C’est la troisième semaine du procès pénal, le premier contre un ancien président de l’histoire des États-Unis et au cours de laquelle le magnat fait face à 34 chefs d’accusation de crimes graves de falsification de dossiers commerciaux au premier degré pour dissimuler une prétendue liaison avec l’actrice porno Stormy Daniels.

Aujourd’hui, l’ancien avocat de Daniels, Keith Davidson, est monté sur le gradins, qui s’est montré hostile lorsqu’il a dû répondre à des questions sur sa carrière professionnelle à la défense de l’ancien président.

Au cours de la première partie de l’interrogatoire de ses avocats, Trump a entendu les réponses avec un visage attentif.
Néanmoins, après une pause pour manger – un repos dans lequel il a écrit le message sur ses réseaux – on a pu voir le magnat allongé sur sa chaise les yeux fermés, ce qu’il a fait à plusieurs reprises au cours du processus.

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Le parquet a demandé jeudi que l’ancien président Donald Trump, qui fait face à un procès pénal à New York, soit à nouveau condamné à une amende d’au moins 4 000 dollars pour outrage à l’ »ordre de bâillon » qui lui interdit de parler publiquement contre des témoins, des procureurs et des membres du jury.

Cette amende s’ajouterait à celle de 9 000 dollars qu’il a reçue mardi lorsque le juge, Juan M. Merchán, chargé de la procédure pénale, a déterminé que Trump avait violé l’ordre du bâillon’ en faisant plusieurs déclarations publiques sur son réseau social, Truth Social, et sur le site Web de sa campagne où il a attaqué les témoins participant au procès.

Les procureurs ont présenté aujourd’hui au juge quatre preuves, une pour chacune des violations présumées de l’ »ordre de bâillon » et ont déclaré qu’ils cherchaient une amende maximale de 1 000 dollars, mais qu’ils ne cherchaient pas à peine d’emprisonnement pour le moment.

La plupart des preuves du parquet étaient des déclarations que Trump, qui fait campagne pour l’élection présidentielle de cette année, a faites à la presse.

Dans l’une de ces déclarations, Trump a noté que le jury avait été sélectionné trop rapidement – cela a pris une semaine – et que la ville de New York était majoritairement démocrate, laissant entendre que le jury pourrait ne pas être impartial dans ce procès, le premier dans l’histoire des États-Unis à un ancien président.

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International

Hakyung Lee écope de la prison à vie pour avoir tué et caché ses enfants dans des valises

Une mère qui avait assassiné ses deux enfants avant de dissimuler leurs corps dans des valises entreposées dans un box de stockage a été condamnée mercredi à la prison à perpétuité en Nouvelle-Zélande, au terme d’un procès qui avait suscité une large attention internationale.

Hakyung Lee, citoyenne néo-zélandaise d’origine sud-coréenne, avait été reconnue coupable au début de l’année du meurtre de ses enfants. Le juge de la Haute Cour, Geoffrey Venning, l’a condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté minimale de 17 ans, estimant qu’elle avait tué des enfants « particulièrement vulnérables ».

Âgée de 45 ans, Lee est restée impassible lors de l’annonce du verdict.

Elle avait administré une dose mortelle de médicaments sur ordonnance à ses enfants, Minu Jo et Yuna Jo, âgés respectivement de six et huit ans, en 2018. Profondément affectée par la mort de son mari d’un cancer, elle avait affirmé avoir prévu de se suicider avec eux, mais s’être trompée dans les doses.

Les corps n’ont été découverts qu’en 2022, lorsqu’une famille ayant acheté le contenu d’un box de stockage lors d’une vente aux enchères près d’Auckland a ouvert les valises.

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Après avoir changé d’identité et fui en Corée du Sud, Lee avait finalement été extradée vers la Nouvelle-Zélande pour y être jugée.

Ses avocats avaient plaidé l’irresponsabilité pénale pour cause de démence, en s’appuyant sur le témoignage d’un psychiatre légiste. La procureure a toutefois soutenu que les actes de Lee étaient prémédités et calculés.

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International

Paul Doyle admet sa culpabilité pour les blessures infligées lors du défilé du Liverpool FC

La voix brisée et les larmes aux yeux, Paul Doyle, 54 ans, qui avait nié les faits en septembre, a finalement reconnu ce mercredi, lors de son procès, sa culpabilité pour avoir blessé intentionnellement 12 personnes et tenté d’en blesser 17 autres, ainsi que pour des faits de violence et de conduite dangereuse.

L’accusé devra comparaître de nouveau devant la justice pendant deux jours à partir du 15 décembre, afin que sa peine soit fixée. Le juge Andrew Menary l’a averti de se préparer à « une peine d’emprisonnement d’une durée significative ».

En admettant sa culpabilité, Doyle met fin à une procédure ouverte mardi à Liverpool, dans le nord-ouest de l’Angleterre, et qui devait initialement durer trois à quatre semaines.

En détention provisoire depuis les faits, il avait pourtant réaffirmé son innocence la veille, lorsque le tribunal lui avait demandé de se prononcer une nouvelle fois sur quatre des chefs de mise en accusation.

Selon l’enquête, le 26 mai, alors que des milliers de supporters du Liverpool FC participaient au défilé célébrant la victoire du club en Premier League, la voiture de Doyle s’était engagée dans une rue récemment rouverte pour permettre le passage d’une ambulance. À ce moment-là, le véhicule du prévenu — père de trois enfants et ancien membre de la Royal Navy — a été entouré par une foule de supporters, dont certains se montraient agressifs.

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International

L’ex-président péruvien Martín Vizcarra condamné à 14 ans de prison pour corruption

L’ancien président péruvien Martín Vizcarra, figure de centre-gauche et symbole de la lutte anticorruption durant son mandat entre 2018 et 2020, a été reconnu coupable d’avoir reçu 640 000 dollars en pots-de-vin de plusieurs entreprises de construction lorsqu’il était gouverneur de la région méridionale de Moquegua, entre 2011 et 2014.

« La peine prononcée est de 14 ans de privation de liberté », a déclaré la juge Fernanda Ayasta, présidente de la Quatrième Chambre pénale collégiale nationale, lors de la lecture du verdict.

« Cette instance constate que Martín Vizcarra a commis des actes illicites en abusant de sa fonction de président régional de Moquegua, en conditionnant l’attribution des contrats publics en échange d’argent », a-t-elle ajouté.

Âgé de 62 ans, l’ex-chef d’État a assisté à la lecture du jugement au tribunal de Lima et est resté impassible à l’annonce de la sentence, ont observé des journalistes de l’AFP.

Le parquet avait requis une peine pouvant aller jusqu’à 15 ans de prison.

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