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International

L’ancien président Correa dit que le bureau du procureur de l’Équateur analysera les appareils mobiles de Glas

L’ancien président Rafael Correa a affirmé dimanche que le parquet va analyser les appareils mobiles saisis lors de la perquisition de l’ambassade du Mexique à Quito, lorsque la police a arrêté l’ancien vice-président Jorge Glas, maintenant enfermé dans la prison de sécurité maximale de l’Équateur.

« Le procureur a ordonné l’exploitation experte des téléphones portables et des tablettes de Jorge Glas, bien qu’ils aient été obtenus illégalement », a écrit Correa sur son compte de réseau social X.

L’ancien gouvernant, dont Glas était son vice-président, remet en question la hâte d’analyser les dispositifs.

« Pourquoi la hâte ? Facile : ils cherchent à créer un nouveau ‘scandale’ avant la consultation du 21 avril », a-t-il déclaré en référence au jour de la consultation populaire demandée par le chef de l’État, Daniel Noboa, sur les questions de sécurité, de justice et d’emploi.

« D’être prêt et de ne pas oublier les « scandales » qu’ils ont inventés lors des élections précédentes ! » a conclu l’ancien président.

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L’agence EFE n’a pas encore de réponse de la part des porte-parole du département de la communication du parquet qu’elle a consultés tôt ce dimanche concernant la procédure sur laquelle Correa alerte.

Vendredi dernier, un tribunal équatorien a déclaré « illégal » et « arbitraire » l’arrestation de Glas à l’ambassade du Mexique, qui a été agressée par la police, mais l’a maintenu en prison car il était encore en attente de finir de purger une peine de huit ans de prison pour deux condamnations en vigueur émises au cours des années passées.

Le tribunal a estimé que les droits de Glas ont été violés en ne respectant pas l’État de l’Équateur la procédure prévue par la réglementation nationale pour l’intrusion de missions diplomatiques.

De cette façon, le tribunal a refusé la demande d’un recours d’habeas corpus avec lequel Glas cherchait à ce que sa détention soit annulée et qu’il soit remis au Mexique ou à un autre pays qui lui donne l’asile, comme l’avait donné le gouvernement d’Andrés Manuel López Obrador quelques heures avant son arrestation, le considérant comme un persécuté politique.

Glas était sorti de prison en 2022 sans avoir fini de purger les peines en attente, grâce à une décision judiciaire de mesures conservatoires.

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L’ancien vice-président a été condamné en 2017 à six ans de prison pour association illicite dans l’affaire Odebrecht, et en 2020 à huit ans de prison pour corruption dans l’affaire Sobornos, sur le financement irrégulier du mouvement politique correísta, dans lequel l’ancien président Correa est également condamné.

Glas avait réussi à regrouper les deux peines pour ne purger que la peine de huit ans et cherchait le bénéfice pénitentiaire de la ‘prélibérité’ pour ne pas avoir à retourner en prison après avoir purgé la majeure partie de la peine, après avoir été emprisonné pendant près de cinq ans entre 2017 et 2022, mais celui-ci l’a refusé.

Néanmoins, Glas a été capturé pour avoir eu un mandat de détention provisoire dans le cas des travaux de reconstruction après le fort tremblement de terre de 2016, où il est accusé de détournement présumé (détournement de fonds publics), un crime qui, dans le code pénal équatorien, est puni de 10 à 13 ans de prison.

Le tribunal qui a traité l’appel d’habeas corpus n’a pas vu de responsabilité dans ce qui a été fait par le président Daniel Noboa ou la ministre du gouvernement et de l’Intérieur, Mónica Palencia, et s’est déclaré incompétent pour régler l’asile que lui a donné le Mexique, pays qui, après l’assaut de son ambassade, a suspendu les relations avec l’Équateur.

Pour le gouvernement de l’Équateur, l’asile qui a été fourni à Glas est illégal et va à l’encontre de la Convention d’asile diplomatique, qui indique que les personnes poursuivies en justice ordinaire pour des crimes communs ne peuvent pas bénéficier de cet avantage.

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International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

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International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

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Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

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International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

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