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International

La République dominicaine maintient la fermeture de sa frontière avec Haïti

La République dominicaine maintient la fermeture de sa frontière avec Haïti
Photo: Listin Diario

3 octobre |

Le président de la République dominicaine, Luis Abinader, a déclaré lors d’une rencontre avec la presse que, bien que le Conseil de sécurité des Nations unies ait approuvé l’envoi d’une force multisectorielle en Haïti pour contrôler la situation d’extrême violence, la frontière entre les deux pays sur l’île d’Hispaniola restera fermée.

Dans « La Semanal con la Prensa », l’espace de conversation du président avec les journalistes, Abinader a déclaré :

« Il n’y aura aucune modification de la frontière », bien que le président ait également déclaré que les dépenses annuelles pour la sécurité de la frontière avaient augmenté de 15 %, suite à l’achat de nouveaux équipements militaires destinés à cette zone.

M. Abinander a déclaré à propos de l’envoi de troupes de police internationales en Haïti : « Cela change la donne, cela change la situation.

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« La frontière, comme je l’ai déjà dit, ne sera pas la même, je ne vois pas d’ouverture de la migration dans un avenir prévisible », a déclaré le président, qui n’a pas exclu la possibilité d’une réouverture économique dans les semaines à venir.

Le président a toutefois indiqué que la seule façon de rouvrir la frontière était que les autorités haïtiennes arrêtent la construction du canal sur la rivière Masacre, canal qui vise à détourner le cours naturel de la rivière, qui est également la frontière entre les deux nations.

La décision du Conseil de sécurité des Nations unies d’envoyer une mission multinationale de sécurité d’un an en Haïti a été approuvée lundi, autorisant le Kenya (chef de file de l’opération) à envoyer des forces de police dans le pays caribéen.

« Le président kenyan a le pouvoir d’envoyer des troupes à l’étranger sans l’approbation du parlement (kenyan) pendant 60 jours, mais il dispose d’une large majorité au parlement kenyan. Les troupes arriveront donc immédiatement », a déclaré le ministre dominicain des affaires étrangères, Roberto Álvarez.

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International

Les États-Unis suspendent la loterie des visas après une affaire de triple meurtre

Les États-Unis ont annoncé vendredi la suspension de l’un de leurs programmes de visas pour migrants, par lequel était entré sur le territoire un ressortissant portugais soupçonné du meurtre de deux étudiants de l’université Brown et d’un professeur du MIT.

« Claudio Manuel Neves-Valente est entré aux États-Unis en 2017 par le biais du programme de loterie des visas de diversité (DV1) et a obtenu une carte de résident permanent (“green card”) », a indiqué sur les réseaux sociaux la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem.

« Conformément aux instructions du président Trump, j’ordonne immédiatement à l’USCIS [Service de la citoyenneté et de l’immigration] de suspendre le programme DV1 afin de garantir qu’aucun autre Américain ne soit lésé par ce programme désastreux », a-t-elle ajouté.

Ce système de loterie migratoire, officiellement appelé Programme de visas de diversité, a été instauré en 1990 et permet chaque année l’octroi d’environ 50 000 permis de résidence à des personnes remplissant les critères d’éligibilité.

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International

Attaque de tueurs à gages au Pérou : une élue locale morte et sept mineurs blessés

Une conseillère municipale a été tuée et sept mineurs ont été blessés jeudi lors d’une attaque menée par des tueurs à gages liés au crime organisé dans le nord du Pérou, pendant une célébration de Noël, ont indiqué les autorités.

« Ces regrettables faits de violence armée ont fait sept mineurs blessés et ont coûté la vie à la conseillère municipale Elena Rojas », a indiqué le Centre régional des opérations d’urgence de La Libertad dans un communiqué.

« Nous condamnons de manière ferme et catégorique ces actes criminels qui endeuillent notre région et portent atteinte à la coexistence pacifique et à la sécurité de la population », a ajouté l’organisme.

De son côté, le ministère de l’Intérieur a affirmé dans un communiqué avoir « déployé l’ensemble de ses capacités opérationnelles et de renseignement afin de localiser et d’arrêter les criminels armés responsables de la fusillade au cours de laquelle la conseillère a perdu la vie ».

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International

Trump affirme que le Venezuela a retiré illégalement les droits pétroliers des États-Unis

Le président des États-Unis, Donald Trump, a affirmé ce mercredi que le Venezuela avait retiré illégalement aux entreprises américaines leurs droits pétroliers et qu’il entendait les récupérer.

« Rappelez-vous qu’ils nous ont retiré tous nos droits énergétiques. Ils nous ont pris tout notre pétrole il n’y a pas si longtemps. Nous le voulons de retour. Ils nous l’ont pris illégalement », a déclaré le président à la presse depuis la base aérienne d’Andrews, près de Washington.

« Nous le voulons de retour. Ils nous ont retiré nos droits pétroliers. Pourtant, comme vous le savez, il y a énormément de pétrole là-bas. Ils ont expulsé nos entreprises et nous voulons récupérer ces droits », a-t-il insisté.

Ces déclarations interviennent au lendemain de l’annonce par Donald Trump d’un blocage total de l’entrée et de la sortie du Venezuela pour les navires pétroliers sanctionnés par le gouvernement américain.

Le président a ainsi renforcé la pression sur le Venezuela, un pays fortement dépendant du secteur pétrolier, après la saisie, la semaine dernière, d’un navire ayant quitté le pays sud-américain et la confiscation de la cargaison de brut qu’il transportait.

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L’industrie pétrolière vénézuélienne a été nationalisée le 1er janvier 1976, sous la première présidence de Carlos Andrés Pérez, réservant les droits d’exploration et d’exploitation des gisements à l’entreprise publique Petróleos de Venezuela (PDVSA).

En 2007, le président de l’époque, Hugo Chávez, a modifié le cadre juridique du secteur afin de contraindre les multinationales à devenir des partenaires minoritaires de PDVSA ou à quitter le pays.

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