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International

Les préparatifs du 50e anniversaire du coup d’État au Chili avancent

Les préparatifs du 50e anniversaire du coup d'État au Chili avancent
Photo: @PiensaPrensa

5 septembre |

Le ministère chilien des Affaires étrangères a annoncé lundi que les présidents de l’Argentine, de la Colombie, du Mexique et de l’Uruguay ont confirmé leur participation à la commémoration du 50e anniversaire du coup d’État de 1973, qui aura lieu lundi prochain.

Les dirigeants qui accompagneront le président chilien Gabriel Bóric lors des événements prévus le 11 septembre sont l’Argentin Alberto Fernández, le Colombien Gustavo Petro, le Mexicain Andrés Manuel López Obrador et l’Uruguayen Luis Lacalle.

Le ministère local des affaires étrangères a indiqué dans un communiqué que le premier ministre du Portugal, António Costa, et le président du Conseil fédéral d’Allemagne, Peter Tschentscher, ont également confirmé leur présence.

En outre, les anciens présidents de Colombie, Ernesto Samper et Juan Manuel Santos, du Costa Rica, Laura Chinchilla, de l’Uruguay, José Mujica, et de l’Espagne, Felipe González, seront également présents.

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Ce lundi 11 septembre marquera les 50 ans du coup d’État perpétré par le général Augusto Pinochet contre le gouvernement du président Salvador Allende (1970-1973), à la suite duquel il a imposé une dictature militaire de 17 ans qui a fait plus de 40 000 victimes, dont quelque 3 200 opposants assassinés.

Parmi les activités officielles, M. Boric et les chefs d’État et de gouvernement invités effectueront une visite du palais présidentiel de La Moneda à Santiago, la capitale, qui sera suivie d’une grande manifestation publique sur une place située à proximité du palais présidentiel.

Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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