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Amérique centrale

Les Guatémaltèques descendent dans la rue pour défendre la démocratie

Les Guatémaltèques descendent dans la rue pour défendre la démocratie
Photo: @crfger

14 août |

Les citoyens guatémaltèques ont à nouveau défilé ce dimanche dans les rues de la capitale, pour exprimer leur rejet des attaques du ministère public et de la septième cour contre le processus électoral.

La première étape de la marche s’est déroulée à la Chambre de l’industrie, où les manifestants ont exigé que le secteur privé guatémaltèque respecte le vote des citoyens exprimé le 25 juin et celui qui sera exprimé le 20 août suivant.

Le deuxième arrêt a eu lieu à la Cour suprême de justice, où les manifestants ont également demandé aux autorités judiciaires de l’État de ne pas persécuter illégalement le processus électoral, ni au Tribunal suprême électoral.

Avec les visages d’Arévalo, Arbenz, Oliverio, Fito Mijangos et d’autres martyrs, la Marche pour la Démocratie et la Marche des Fleurs ont avancé dans les principales rues de Guatemala City.

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La Marche pour la Démocratie/Las Flores s’est terminée devant le parc central de la capitale du Guatemala.

Le groupe d’organisations sociales Convergencia Nacional en Resistencia et Periodistas por la Democracia ont également appelé à la défense de la souveraineté populaire.

Le ministère public a perquisitionné à plusieurs reprises le siège du Tribunal suprême électoral et le siège du mouvement Semilla, et des enquêtes, qualifiées de dangereuses, sont toujours en cours.

Face à l’offensive des autorités judiciaires et électorales sur le processus présidentiel au Guatemala, le second tour aura lieu dimanche prochain, 20 août, entre le candidat du mouvement Semilla, Bernardo Árevalo, et Sandra Torres de l’Unité Nationale de l’Espoir (Unidad Nacional de la Esperanza).

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Amérique centrale

Bukele défend la réélection illimitée et dénonce les “préjugés” contre le Salvador

Nayib Bukele entame sa cinquième année de mandat avec un soutien historique

Le président salvadorien Nayib Bukele a rejeté ce dimanche l’idée que l’approbation de la réélection présidentielle indéfinie au Salvador marque « la fin de la démocratie ». Selon lui, les critiques à l’égard de cette décision proviennent du fait qu’elle a été prise par un pays « petit et pauvre ».

Jeudi, le Congrès salvadorien a approuvé une réforme constitutionnelle autorisant la réélection illimitée, prolongeant le mandat présidentiel de cinq à six ans et supprimant le second tour électoral.

« 90 % des pays développés permettent la réélection illimitée de leur chef de gouvernement et personne ne s’en émeut », a réagi Bukele sur le réseau social X. « Mais lorsque un petit pays pauvre comme le Salvador tente de faire la même chose, soudain, c’est la fin de la démocratie », a-t-il expliqué.

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Amérique centrale

Le Honduras reconnaît une “erreur involontaire” sur l’origine d’un conteneur saisi

Le Secrétariat d’État aux Affaires étrangères et à la Coopération internationale de la République du Honduras, par le biais de la note verbale n° 054ASE/SRECI-2025, a présenté ses excuses au gouvernement du Salvador pour une information erronée concernant un chargement de produits chimiques sensibles saisis le 9 juillet dernier, dont la provenance avait été attribuée à tort au Salvador.

Dans cette note, le Secrétariat d’État a indiqué qu’après enquête de ses services opérationnels, il a été conclu qu’« une erreur involontaire a été commise par le service de relations publiques de la Direction nationale des services de police frontaliers ».

« En conséquence, le Secrétariat d’État demande au distingué gouvernement de la République du Salvador d’accepter les excuses du gouvernement de la République du Honduras pour la perception erronée générée par l’information diffusée, en réitérant que la mention du Salvador comme supposé pays d’origine du chargement en question était une erreur involontaire, sans aucune intention malveillante, politique ou diplomatique », précise le document.

La saisie avait eu lieu dans le département frontalier d’Ocotepeque, à l’ouest du Honduras.

Le chargement contenait environ 6 000 gallons de substances chimiques destinées au secteur agricole et était transporté dans un conteneur sans documents d’importation ni licence pour la manipulation de matériaux dangereux.

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Amérique centrale

Guatemala : hausse des meurtres en juin après une tendance à la baisse

Guatemala a connu une recrudescence des homicides au cours du sixième mois de l’année, avec un taux annuel de 17,3 meurtres pour 100 000 habitants. Bien que ce taux soit inférieur à celui de 2016, qui était de 28,1, il est néanmoins supérieur à celui de 2024, qui s’élevait à 16 homicides pour 100 000 habitants, selon le Rapport sur la violence homicide publié par l’organisation Diálogos.

Les projections de l’organisation ont été dépassées à la clôture du mois de juin, ce qui démontre une augmentation des homicides sur le territoire. Le modèle de prévision de Diálogos estimait que les meurtres se maintiendraient entre 160 et 230 cas ; toutefois, les registres officiels de la Police nationale civile (PNC) ont rapporté un total de 254, soit 24 morts de plus que prévu.

Dans 213 cas, les criminels ont utilisé une arme à feu, dans 13 une arme blanche, 11 fois des objets contondants, 15 attaques par strangulation, et il y a eu deux homicides par lynchage.

« Cette augmentation représente un changement dans la tendance à la baisse observée depuis 2009. Cette situation exige une attention urgente et la mise en œuvre de mesures intégrales de prévention pour contenir la violence et renforcer la sécurité citoyenne », a partagé l’organisation.

Bien que juin montre une hausse, mai est devenu le mois du premier semestre 2025 avec le plus d’assassinats, avec 303 victimes, suivi de mars avec 275 et avril avec 260.

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