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Amérique centrale

L’ambassadrice des États-Unis auprès des Nations unies cherchera à renforcer la démocratie lors de son voyage au Costa Rica et en Équateur.

L'ambassadrice des États-Unis auprès des Nations unies cherchera à renforcer la démocratie lors de son voyage au Costa Rica et en Équateur.
Photo: Al Día News

28 mars |

L’ambassadrice des États-Unis auprès des Nations unies, Linda Thomas-Greenfield, qui se rendra au Costa Rica et en Équateur cette semaine, concentrera son discours sur la démocratie, l’un de ses principaux engagements, a déclaré aux médias un haut fonctionnaire du gouvernement américain.

Mme Thomas-Greenfield se rendra au Costa Rica, qui coorganise le deuxième sommet sur la démocratie, qui se tiendra les 29 et 30 mars 2023.

« En tant que chef de la délégation américaine au Costa Rica pour le deuxième sommet sur la démocratie, Mme Thomas-Greenfield soulignera l’importance de renforcer la résilience démocratique dans le monde et d’accroître la participation des jeunes au processus démocratique », a déclaré le haut fonctionnaire.

Le fonctionnaire, qui a demandé à ne pas être identifié, a ajouté qu’il discuterait également de la manière dont la démocratie peut être renforcée « à un moment où nous assistons à un recul de la démocratie dans la région et dans le monde ».

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En Amérique centrale, les organisations de la société civile et les analystes politiques mettent en garde contre la dérive autoritaire du président Daniel Ortega au Nicaragua, mais aussi contre les abus de pouvoir du président salvadorien Nayib Bukele et la corruption qui affecte le président guatémaltèque Alejandro Giammattei.

À cet égard, le haut fonctionnaire a déclaré que l’ambassadrice Thomas-Greenfield s’efforcera d’encourager la participation des jeunes au processus démocratique lors du sommet sur la démocratie.

« Elle appellera les jeunes à s’impliquer et les gouvernements à placer les jeunes à la tête de la table afin qu’ensemble nous puissions construire un monde plus inclusif, plus libre et plus démocratique ».

Renforcer les relations avec l’Équateur et le Costa Rica

Mme Thomas-Greenfield affirmera le partenariat étroit avec l’Équateur et le Costa Rica « pour s’attaquer aux priorités communes ».

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En ce qui concerne le Costa Rica, le haut fonctionnaire a souligné que le pays a fait preuve d’un leadership constant au sein des organisations multilatérales, afin de trouver des solutions diplomatiques pour contrer l’autoritarisme, et qu’il a fait preuve d’un leadership fort dans la promotion du respect des droits de l’homme et de la gouvernance démocratique dans l’ensemble de la région.

L’Équateur a été un partenaire « solide » en Amérique du Sud.

Enfin, le représentant américain « fera la lumière sur les défis humanitaires », notamment en ce qui concerne les besoins humanitaires et de protection des réfugiés et des demandeurs d’asile.

L’Équateur accueille plus d’un demi-million de réfugiés et de migrants, dont une importante population vénézuélienne, tandis que le Costa Rica est le principal pays d’accueil des Nicaraguayens fuyant la crise politique.

C’est pourquoi l’ambassadrice Thomas-Greenfield rencontrera des agences des Nations Unies et des ONG qui soutiennent la réinstallation des réfugiés en Équateur, et s’entretiendra avec des familles de migrants et d’autres personnes déplacées de force, notamment des Nicaraguayens qui demandent l’asile au Costa Rica.

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Amérique centrale

Panama : arrestation du leader syndical bananier après les blocages liés à la grève

La police panaméenne a arrêté dimanche 15 juin 2025 Francisco Smith, dirigeant du syndicat bananier, accusé des dommages causés par les blocages de routes près de la frontière avec le Costa Rica lors d’une grève menée pendant un mois et demi par les employés de l’entreprise américaine Chiquita Brands.

Smith a été interpellé quatre jours après avoir conclu un accord avec l’État panaméen concernant les pensions et avantages sociaux des travailleurs bananiers. Cet accord avait mis fin à une grève entamée le 28 avril, qui a généré des pertes financières estimées à plusieurs millions de dollars.

« Un mandat d’arrêt a été émis » contre Smith à la demande du ministère public, a confirmé le ministre de la Sécurité, Frank Abrego, lors d’une conférence de presse. Selon une plainte déposée par un avocat privé, le leader syndical est poursuivi pour atteintes à la sécurité collective, dommages aux moyens de transport, troubles à l’ordre public, entre autres chefs d’accusation.

Pendant la grève, Chiquita Brands avait suspendu ses opérations et licencié plus de 6 500 employés de son usine située à Changuinola, dans la province de Bocas del Toro. La compagnie a évalué ses pertes à plus de 75 millions de dollars.

Bien que la grève ait été levée après l’adoption par le parlement d’un nouveau régime du travail rétablissant certains avantages, des manifestations persistent dans la région, notamment de la part d’enseignants et de communautés indigènes opposés à la réforme des retraites.

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Samedi, des affrontements ont eu lieu entre les forces antiémeutes et des manifestants cagoulés, qui se sont échangés gaz lacrymogènes et jets de pierres.

Selon le ministre, environ 28 personnes ont été arrêtées lors des opérations menées par la police pour débloquer les routes de cette province caribéenne frontalière avec le Costa Rica.

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Amérique centrale

Guatemala : flambée d’extorsions pousse le gouvernement à resserrer l’étau sécuritaire

La Police nationale civile du Guatemala (PNC) a enregistré 9 085 plaintes pour extorsion entre janvier et avril 2025, un chiffre qui a poussé le gouvernement à revoir sa stratégie de sécurité, notamment en reprenant le contrôle des prisons dominées par les gangs.

Selon l’Indice des Dénonciations de Délits (IDD) publié par le Centre de recherches économiques nationales (CIEN), ce total représente une hausse par rapport à la même période en 2024, où 7 457 plaintes avaient été recensées. Chaque mois de 2025 a dépassé les 2 000 signalements, avec un pic en janvier (2 457 cas), un mois historiquement élevé en matière d’extorsions, selon le CIEN.

Pour avril 2025, l’institut a compté en moyenne 69 plaintes par jour, pour un total mensuel de 2 076. Wálter Menchú, analyste en sécurité du CIEN, a précisé que les chiffres réels pourraient être encore plus élevés, car toutes les victimes ne signalent pas les faits.

Avant la publication du rapport, le président Bernardo Arévalo a reconnu lors d’une interview à La Red 106.1 que l’extorsion constitue l’un des principaux problèmes du pays, lié « aux maras, à leurs imitateurs et à l’absence de contrôle historique dans les prisons ».

« Nous ne nions pas le problème. Nous procédons à une réorganisation des forces et des unités au sein du ministère de l’Intérieur pour y répondre efficacement », a affirmé le président. Il a souligné que ce phénomène touche les petits commerçants et les citoyens ordinaires.

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Le ministère public (MP) a également alerté sur une nouvelle modalité d’extorsion, où des criminels se font passer pour des clients et attirent leurs victimes dans des lieux isolés pour leur extorquer de l’argent. En cas de refus, la victime est retenue contre son gré.

Toutefois, le président Arévalo a relativisé l’importance des maras dans le panorama sécuritaire actuel, affirmant que le principal problème reste le narcotrafic. Il lie la recrudescence de la criminalité aux opérations répressives menées dans les prisons et les zones à risque par la PNC et les Forces armées.

« Les structures criminelles sentent qu’elles perdent du terrain et réagissent face à la pression », a-t-il ajouté, citant des arrestations, des extraditions vers les États-Unis, des saisies de drogue et la destruction de plantations de marijuana.

« L’appareil sécuritaire progresse », a conclu le chef de l’État.

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Amérique centrale

Chiapas : Quatre présumés membres du crime organisé tués près de la frontière guatémaltèque

Des policiers de l’État mexicain du Chiapas (sud) et des forces fédérales ont abattu dimanche quatre présumés criminels lors d’une poursuite près de la frontière avec le Guatemala, a annoncé le gouvernement local.

Dans un communiqué, le secrétariat à la Sécurité du Chiapas a précisé que les faits se sont produits dans la commune de Frontera Comalapa, après que les forces de sécurité ont été attaquées lors d’une patrouille de routine.

« Les autorités ont riposté (…) et ont réussi à neutraliser quatre présumés membres du crime organisé », indique la note officielle.

Selon des médias locaux, la poursuite aurait conduit les forces de sécurité mexicaines à entrer brièvement en territoire guatémaltèque.

Face à ces informations, la vice-présidente du Guatemala, Karin Herrera, a assuré sur le réseau X que « la frontière est sous contrôle » et que l’armée guatémaltèque maintient une présence active dans la zone afin de garantir la sécurité des habitants.

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Le secrétariat à la Sécurité de l’État de Chiapas affirme de son côté que l’opération est restée à tout moment sur le territoire mexicain.

Une source anonyme au sein de l’administration a confié à l’AFP que les individus tués appartiendraient au puissant cartel Jalisco Nouvelle Génération (CJNG), qui se dispute le contrôle de cette région stratégique avec le cartel de Sinaloa, notamment pour le trafic de stupéfiants.

Le Mexique a enregistré plus de 480 000 morts violentes depuis décembre 2006, date à laquelle a été lancée une stratégie controversée de lutte antidrogue impliquant l’armée.

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