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International

Le conseiller spécial de Biden discute du climat au Brésil

Le conseiller spécial de Biden discute du climat au Brésil
Photo: PL

27 février |

Le conseiller spécial pour le climat de l’administration du président américain Joe Biden, John Kerry, discutera aujourd’hui dans la capitale d’une série de questions environnementales avec des responsables brésiliens.

Des sources diplomatiques ont indiqué que la visite de Kerry vise à discuter de deux questions centrales : les problèmes climatiques et la lutte contre la déforestation.

Le site web du G1 a assuré, avec des membres des gouvernements brésilien et américain, que l’ordre du jour sera divisé en deux domaines de discussion.

Le premier comprendra des débats sur des questions telles que la préservation de l’environnement, les énergies renouvelables, l’agriculture, l’industrie et le commerce.

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Le second, davantage consacré à l’aspect diplomatique de la question environnementale, devrait inclure la convocation d’une réunion du groupe de travail de haut niveau Brésil-États-Unis sur le changement climatique.

L’intention de la nation nord-américaine de fournir des ressources pour les programmes de conservation et de préservation en Amazonie, y compris la contribution de ressources au Fonds pour l’Amazonie, sera également sur la table.

Enfin, la coopération entre le Brésil et les États-Unis dans le cadre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques sera discutée, ainsi que la mise en œuvre de l’Accord de Paris.

G1 précise que le conseiller en visite devrait s’entretenir avec des hommes d’affaires, des parlementaires et diverses autorités du gouvernement fédéral.

Sont mentionnés Geraldo Alckmin, vice-président et ministre de l’Industrie et du Commerce, Marina Silva, ministre de l’Environnement, Sonia Guajajara, ministre des Peuples indigènes, et Aloizio Mercadante, président de la Banque nationale pour le développement économique et social.

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Selon l’agenda, le conseiller américain restera au Brésil jusqu’à demain et devrait également être reçu par le président Luiz Inácio Lula da Silva.

Lula s’est entretenu avec Biden le 10 février à Washington et, entre autres, les deux hommes ont cherché à trouver des moyens communs de défendre la démocratie et des actions concrètes pour contenir le changement climatique et préserver l’environnement.

Le voyage de Kerry au Brésil intervient une semaine après que le palais du Planalto, siège du pouvoir exécutif, a annoncé que le diplomate et ancien ministre des affaires étrangères Luiz Alberto Figueiredo était le nouvel ambassadeur itinérant pour le climat.

Selon le ministère des affaires étrangères, M. Figueiredo représentera le pays lors d’événements climatiques internationaux et participera à des discussions à l’étranger sur la lutte contre le changement climatique.

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Honduras : tensions électorales entre accusations de fraude et conspirations

Le Honduras se dirige vers la phase finale des élections générales du 30 novembre dans un climat de polarisation politique élevée, marqué par des accusations de fraude, la diffusion d’audios suggérant une possible manipulation des résultats et une défiance croissante envers les institutions électorales.

Le procureur général, Johel Zelaya, a publié la semaine dernière des enregistrements qui impliqueraient prétendument la conseillère du CNE, Cossette López, le député Tomás Zambrano et un militaire en activité, et a annoncé une enquête pour possible « association illicite » liée à une tentative de manipulation du processus.

López et Zambrano ont nié l’authenticité des audios, évoquant une manipulation numérique, et ont accusé le conseiller du CNE Marlon Ochoa, du parti au pouvoir Libre, d’avoir remis les enregistrements au bureau du procureur, qui les a rendus publics le 29 octobre.

L’ancien candidat présidentiel pour PINU-SD, Olban Valladares, a qualifié les accusations d’« infondées et en grande partie absurdes et maladroites ». Valladares a averti que la situation est « sombre » en raison de l’anxiété sociale, de ses répercussions économiques possibles et du « degré d’agitation et de violence » généré par des secteurs proches du gouvernement cherchant à « conserver le pouvoir à tout prix », constituant selon lui la « plus grande menace pour la démocratie » dans le pays.

Pour sa part, la présidente Xiomara Castro a qualifié les événements de « conspiration criminelle » visant à provoquer un coup électoral, ordonnant aux forces armées d’enquêter sur la possible implication de militaires et à son ministre des Affaires étrangères, Javier Bu, de dénoncer l’affaire auprès de la communauté internationale. Castro a assuré que les mêmes groupes qui ont « violé la Constitution lors du coup d’État de 2009 contre son mari Manuel Zelaya et commis les fraudes électorales de 2013 et 2017 » tenteraient à nouveau de « supplanter la volonté du peuple ».

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International

Le Mexique accueillerà le sommet de l’APEC en 2028

Le Mexique sera le pays hôte du sommet de l’APEC en 2028, ont annoncé à l’unanimité les dirigeants des 21 économies membres de ce forum.

« Nous avons obtenu le siège de 2028. Le Mexique accueillera l’APEC après de nombreuses années. Cela nous permettra de servir de pont entre les Amériques et l’Asie. L’ensemble du bassin Pacifique sera, en 2028, au Mexique », a déclaré le Secrétaire à l’Économie, Marcelo Ebrard, à l’issue de sa participation au forum de la Coopération Économique Asie-Pacifique (APEC) à Gyeongju, en République de Corée.

L’APEC rassemble 21 économies de cette région, représentant à elles seules plus de 60 % du PIB mondial et près de la moitié du commerce international. La présidence et l’organisation du sommet de 2028 par le Mexique figurent parmi les accords adoptés dans la Déclaration de Gyeongju, où Ebrard représentait la présidente Claudia Sheinbaum.

« Le fait que les membres aient voté pour que le Mexique accueille le sommet en 2028 démontre l’importance qu’ils accordent à notre pays », a ajouté Ebrard, selon un communiqué diffusé dimanche.

Par ailleurs, Ebrard a rencontré des hauts responsables américains, dont le Secrétaire au Commerce Howard Lutnick, le Secrétaire au Trésor Scott Bessent, ainsi que le représentant commercial Jamieson Greer.

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« Nous avons fait avancer certaines discussions avec les États-Unis. Chaque semaine, nous progressons et nous avons franchi de nouvelles étapes », a commenté Ebrard.

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Les États-Unis renforcent leur présence militaire dans les Caraïbes face au Venezuela

Les États-Unis ont renforcé leur déploiement militaire dans les eaux des Caraïbes et pourraient déjà planifier des frappes contre des objectifs au Venezuela, ce qui accroît les craintes d’une offensive de Washington contre le gouvernement de Nicolás Maduro, bien que Donald Trump ait nié cette possibilité aujourd’hui.

Selon des journalistes spécialisés dans la défense, les forces armées américaines ont déjà déployé le croiseur lance-missiles USS Gettysburg dans les Caraïbes, arrivé vendredi depuis Norfolk, en Virginie. Il s’ajouterait au croiseur lance-missiles USS Lake Erie, selon Dan Lamothe du Washington Post et le média spécialisé The War Zone, citant des sources de la Marine américaine.

De plus, dans quelques jours, le porte-avions USS Gerald Ford, le plus moderne et le plus important de la flotte américaine, devrait arriver dans les Caraïbes pour rejoindre le reste des forces navales stationnées au large du Venezuela.

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