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International

En cas de santé défaillante, le pape François a déjà signé une lettre de démission

Photo: Alberto Pizzoli / AFP

| Par AFP |

Le pape François a révélé, dans une interview publiée dimanche, avoir signé, il y a près de dix ans, une lettre de démission pour le cas où des problèmes de santé l’empêcheraient de remplir ses fonctions.

Le souverain pontife, qui a eu 86 ans samedi, a déjà dit dans le passé qu’il renoncerait à la papauté an cas de problèmes de santé.

Dans une déclaration au quotidien espagnol ABC, le pape dit avoir déjà signé une lettre de démission et l’avoir remise au secrétaire d’Etat du Vatican, Mgr Tarcisio Bertone, avant que ce dernier ne prenne sa retraite en 2013.

« J’ai signé la démission et lui ai dit: +en cas d’empêchement médical ou autre, voici ma démission. Vous l’avez+ », a déclaré le souverain pontife.

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A la question du journaliste lui demandant s’il souhaitait que cette information soit connue, François a répondu: « c’est pour cela que je vous le dis », précisant ne pas savoir ce que Bertone avait fait par la suite de cette lettre.

Le pape souffre d’une affection inopérable du genou qui l’a contraint ces derniers mois à se déplacer en fauteuil roulant.

Il a dû annuler ou réduire ses activités à plusieurs reprises au cours de l’année écoulée en raison de la douleur, et avait reconnu, dans une interview en juillet, qu’il devait ralentir ses activités.

« Je pense qu’à mon âge et avec cette contrainte, je dois me préserver un peu pour pouvoir servir l’Église. Ou, au contraire, réfléchir à la possibilité de me retirer », avait-il déclaré.

Le prédécesseur de François, Benoît XVI, a démissionné en 2013 en raison d’une santé défaillante, et vit désormais au Vatican. 

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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