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International

Un Américain ayant foncé en voiture dans une foule reconnu coupable d’homicides volontaires

Photo: CRN Noticias

| Par AFP |

Un homme ayant tué six personnes après avoir foncé en voiture sur une foule lors d’une parade de Noël aux Etats-Unis en 2021 a été reconnu coupable d’homicides volontaires mercredi par un jury, à l’issue d’un procès dont il a régulièrement perturbé les audiences.

La juge Jennifer Dorow a lu les 76 chefs d’inculpation retenus contre Darrell Brooks, 40 ans, qui a longuement gardé la tête baissée.

Le jury l’a reconnu coupable de l’ensemble des accusations: homicides volontaires, mise en danger de la sécurité publique et délit de fuite notamment. Dans l’Etat du Wisconsin, où s’est tenu le procès, les homicides volontaires sont obligatoirement sanctionnés par la prison à vie.

Darrell Brooks n’a pas voulu d’avocat et s’est représenté lui-même.

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A plusieurs reprises, il a interrompu le procès et eu des différends avec la juge, qui l’a alors transféré dans une autre salle.

L’an dernier, il avait projeté son véhicule sur la foule à Waukesha, dans le Wisconsin, où se tenait une parade annuelle de Noël, peu après avoir été impliqué dans une dispute conjugale à proximité.

Dans sa course folle, Darrell Brooks avait aussi fait des dizaines de blessés.

Six personnes ont été tuées, dont un enfant.

« Brûle en enfer, gros con », a crié quelqu’un dans la salle mercredi avant d’être expulsé.

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Darrell Brooks a un lourd passé judiciaire. Il avait notamment été inculpé en 2020 pour mise en danger d’autrui après avoir tiré sur son neveu lors d’une altercation.

L’année suivante, il avait de nouveau été poursuivi pour avoir frappé et tenté d’écraser la mère de son enfant. Il avait été libéré quelques jours plus tard en payant une caution de 1 000 dollars.

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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