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International

Brésil: Bolsonaro réduit son écart face à Lula, à 11 jours de la présidentielle

Photo: Nelson Almeida / AFP

| Par AFP |

Le président brésilien d’extrême droite Jair Bolsonaro, candidat à la réélection, comble légèrement son retard sur son adversaire Luiz Inacio Lula da Silva dans un sondage publié mercredi, à onze jours du second tour du scrutin présidentiel.

L’ancien président de gauche est crédité de 52% des intentions de vote exprimées, contre 48% au chef d’Etat sortant, selon ce sondage de l’institut de référence Datafolha.

Dans une précédente enquête, publiée le 14 octobre, Lula était crédité de 53% des intentions de vote, contre 47% pour Jair Bolsonaro

Dans la dernière ligne droite d’une campagne menée à couteaux tirés entre désinformation et accusations de cannibalisme ou de pédophilie, les candidats s’efforcent de convaincre les électeurs indécis et ceux qui disent qu’ils voteront blanc ou nul le 30 octobre prochain.

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Au premier tour, le 2 octobre, l’ancien président de gauche est arrivé en tête avec 48% des voix, contre 43% à Jair Bolsonaro.

Les divers instituts de sondage ont été très critiqués à cette occasion pour ne pas avoir anticipé le score élevé du président sortant, auquel ils attribuaient un maximum de 37%.

« Le sondage ne constitue pas nécessairement une prévision de résultat, mais reflète  plutôt ce que pense l’électeur au moment où il est sondé », souligne mercredi le journal Folha de S. Paulo en publiant l’enquête. 

Avec une marge d’erreur de plus ou moins deux points de pourcentage, ce sondage a été réalisé au cours des trois derniers jours dans 181 villes brésiliennes auprès de 2.912 personnes.

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  • Brazilian President and presidential candidate Jair Bolsonaro (R) speaks next to Brazilian former president (2003-2010) and presidential candidate for the leftist Workers Party (PT), Luiz Inacio Lula da Silva (L), during a televised presidential debate in Sao Paulo, Brazil, on October 16, 2022. - President Jair Bolsonaro and former President Luiz Inácio Lula da Silva face each other this Sunday night in the first face-to-face debate, in which they will try to take advantage 14 days before the second round of the presidential elections in Brazil. (Photo by NELSON ALMEIDA / AFP)

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Amérique centrale

Le Nicaragua quitte l’Unesco après un prix décerné à un journal en exil

Le Nicaragua a informé l’Unesco de son retrait de l’organisation en dénonçant ses « actions inacceptables et inadmissibles », notamment l’attribution du Prix mondial de la liberté de la presse à La Prensa, un journal critique du gouvernement qui opère depuis l’exil.

Le retrait sera effectif le 31 décembre 2026, dans un contexte marqué par de vives inquiétudes concernant la liberté de la presse dans le pays, classé 172e sur 180 par Reporters sans frontières (RSF).
« Je regrette profondément cette décision, qui privera la population nicaraguayenne des bénéfices de la coopération en matière d’éducation et de culture », a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, dans un communiqué adressé à l’AFP.

Samedi, l’Unesco a décerné le Prix Guillermo Cano de la liberté de la presse à La Prensa pour « avoir porté la vérité au peuple nicaraguayen », malgré la « répression » et « l’exil » de ses journalistes, selon les propos du jury.

Fondé en 1926, La Prensa a constamment maintenu une position critique à l’égard du gouvernement de Daniel Ortega, au pouvoir depuis 2007, aux côtés de son épouse Rosario Murillo, vice-présidente depuis 2017 et qualifiée de « coprésidente » depuis février.

Sous la pression des autorités, La Prensa a cessé son édition imprimée en 2021 et fonctionne désormais en ligne, avec une équipe en exil répartie entre le Costa Rica, les États-Unis, le Mexique, l’Espagne et l’Allemagne.

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International

Un supporter de l’Atalanta tué à Bergame après une rixe avec des fans de l’Inter

Une nouvelle tragédie secoue le football italien. Dans la nuit de samedi à dimanche, un supporter de l’Atalanta a été tué à la suite d’une violente altercation avec des fans de l’Inter à Bergame. La victime, Riccardo Claris, âgée de 26 ans, était un membre actif de la “Curva Nord” du club bergamasque. Le drame s’est produit à la sortie d’un bar situé près du stade Gewiss, provoquant une vive émotion dans le monde du football en Italie.

Selon les médias locaux, l’incident a débuté dans un établissement nocturne où se trouvaient des groupes de supporters des deux équipes. D’après les témoins, la dispute aurait éclaté après un chant provocateur lancé par des fans de l’Inter. La tension est montée rapidement, débouchant sur une bagarre de rue impliquant une dizaine de personnes, certaines armées de bâtons, de chaînes et d’armes blanches.

Riccardo Claris a été poignardé au niveau de l’omoplate gauche avec une telle force que la lame s’est brisée. Malgré l’intervention rapide des secours, il est décédé quelques minutes plus tard. L’arme a été retrouvée à proximité des lieux, et un jeune homme de 19 ans, Jacopo De Simone, supporter de l’Inter, s’est rendu à la police peu après et a été arrêté.

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International

Le cardinal Ramazzini au conclave : une voix pour les migrants et les oubliés

Le cardinal Álvaro Ramazzini apporte à son premier conclave le même esprit qui a guidé son ministère pendant plusieurs décennies aux côtés des migrants, des pauvres et des peuples autochtones dans les hauts plateaux du Guatemala, veillant à ce que l’Évangile ne soit pas prêché « de manière abstraite ».

La défense des migrants a été l’une des priorités du pape François, qui a nommé Ramazzini cardinal en 2019. Son élévation à la plus haute hiérarchie de l’Église catholique n’a pas ébranlé l’évêque de Huehuetenango, dont l’engagement constant en faveur de la justice sociale lui a valu plusieurs menaces. Son pays natal, le Guatemala, traverse une crise politique et reste un point de départ majeur de la migration vers les États-Unis.

« Je crois que c’est un devoir de conscience pour nous, les cardinaux, alors que nous allons avoir la responsabilité de nommer un nouveau pape, de ne pas perdre de vue le chemin qui a été entamé et qui doit continuer à croître, croître, croître », a déclaré Ramazzini à l’Associated Press, quatre jours avant la réunion des cardinaux pour élire le successeur de François. « Je parle ici de l’accompagnement, de l’accueil, de la protection et de la défense des droits des migrants. »

Ramazzini a souligné que l’Église doit plaider en faveur des migrants poussés à l’exil par une pauvreté extrême, et qui empruntent des routes contrôlées par les cartels, où ils sont souvent victimes d’extorsion et de traite. Il estime que l’Église doit les soutenir à travers des refuges et de l’aide humanitaire, mais aussi par une pression politique pour une réforme migratoire complète.

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