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International

« Avion mystère » vénézuélien en Argentine: les derniers membres d’équipage autorisés à quitter le pays

Photo: Sebastián Borsero / AFP

AFP

La justice argentine a autorisé la sortie du pays des cinq derniers membres d’équipage, iraniens et vénézuéliens, d’un avion cargo retenu depuis quatre mois à Buenos Aires, dans le cadre d’une enquête sur un éventuel lien avec l’organisation iranienne Al-Qods, selon une ordonnance citée dans la presse samedi.

Trois Iraniens avaient été entendus fin septembre dans le cadre de cette enquête, et avaient nié un quelconque lien avec une organisation terroriste. Deux membres vénézuéliens de l’équipage, également retenus en Argentine, avaient aussi été entendus. Tous avaient comparu libres.

Vendredi, le juge Federico Villena, qui avait été pressé par une cour d’appel de hâter une décision eu égard à la lenteur de la procédure, a estimé qu’il n’y avait en l’état pas matière à poursuivre les membres d’équipage et a levé leur interdiction de sortie du territoire, qui devrait leur être notifiée lundi.

« Lorsque les éléments de l’instruction ne permettent pas d’établir un acte d’accusation, et, en même temps, n’autorisent pas à exclure l’existence de l’acte, son caractère criminel ou la responsabilité de l’accusé (…) le juge doit ordonner le manque de mérite » des poursuites, a déclaré le juge dans son ordonnance citée par l’agence officielle Télam. 

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Quatorze autres membres d’équipage, – 12 Iraniens et deux Vénézuéliens – avaient déjà fait l’objet d’un non-lieu et avaient été autorisés à rentrer chez eux mi-septembre.

Le 747 cargo vénézuélien d’Emtrasur, filiale de la Conviasa visée par des sanctions américaines, était immobilisé depuis début juin en Argentine, où il était arrivé du Mexique, transportant des pièces automobiles.

Son équipage s’était vu interdire de quitter l’Argentine, tandis que la justice enquêtait sur leur profil, notamment un éventuel lien avec les Gardiens de la révolution islamique d’Iran et son unité Al-Qods, classée organisation terroriste par les Etats-Unis. 

Un doute portait notamment sur le pilote, Gholmareza Ghasemi, et ses liens actuels ou passés avec Al-Qods. Le ministre argentin de la Sécurité avait écarté tout lien en ce sens, mais un ministre des Renseignements du Paraguay voisin – par où l’avion avait transité – avait au contraire assuré qu’il existait un lien, citant des « agences (de renseignement) alliées ». L’avion appartenait auparavant a l’iranienne Mahan Air, que Washington accuse de soutenir Al-Qods.

Caracas et Téhéran avaient protesté et réclamé que l’équipage puisse quitter l’Argentine. L’Iran assurait que l’avion était « complètement légal » et que l’affaire relevait d’une « opération de propagande » liée aux tensions entre l’Occident et l’Iran sur le nucléaire.

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  • View of the Boeing 747-300 registrered number YV3531 of Venezuelan Emtrasur cargo airline at the international airport in Cordoba, Argentina, on June 6, 2022, before taking off for Buenos Aires. - A plane transporting automotive components, 14 Venezuelan crew members and five Iranians, is being held at the Ezeiza airport in Buenos Aires, after raising suspicion on the motifs of its flight to Argentina, official sources informed AFP on June 12, 2022. (Photo by Sebastian BORSERO / AFP)

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International

Chili : le corps du dernier mineur disparu retrouvé après l’éboulement à El Teniente

Le sauvetage des cinq mineurs portés disparus après un éboulement dans l’immense gisement d’El Teniente, appartenant à la société publique chilienne Codelco, s’est achevé dimanche avec la découverte du dernier corps, a annoncé le parquet.

L’accident, survenu jeudi, est l’un des plus graves de ces trois dernières décennies dans cette mine et a fait, le jour même, un mort et neuf blessés.

Avec 4.500 km de galeries souterraines, El Teniente est la plus grande mine de cuivre souterraine au monde. Elle appartient à Codelco, premier producteur mondial de cuivre.

« Aujourd’hui, nous avons finalement retrouvé le corps du dernier travailleur qui était porté disparu », a déclaré à la presse le procureur régional de la région d’O’Higgins, Aquiles Cubillos.

Dans la nuit de samedi à dimanche, les corps de trois autres mineurs avaient déjà été retrouvés, s’ajoutant à celui d’un premier ouvrier découvert samedi après-midi. Tous ont été localisés dans la même zone où l’éboulement, provoqué par un « événement sismique », est survenu jeudi. L’origine de cet événement – naturelle ou liée aux forages – fait toujours l’objet d’une enquête.

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Amérique centrale

Bukele défend la réélection illimitée et dénonce les “préjugés” contre le Salvador

Nayib Bukele entame sa cinquième année de mandat avec un soutien historique

Le président salvadorien Nayib Bukele a rejeté ce dimanche l’idée que l’approbation de la réélection présidentielle indéfinie au Salvador marque « la fin de la démocratie ». Selon lui, les critiques à l’égard de cette décision proviennent du fait qu’elle a été prise par un pays « petit et pauvre ».

Jeudi, le Congrès salvadorien a approuvé une réforme constitutionnelle autorisant la réélection illimitée, prolongeant le mandat présidentiel de cinq à six ans et supprimant le second tour électoral.

« 90 % des pays développés permettent la réélection illimitée de leur chef de gouvernement et personne ne s’en émeut », a réagi Bukele sur le réseau social X. « Mais lorsque un petit pays pauvre comme le Salvador tente de faire la même chose, soudain, c’est la fin de la démocratie », a-t-il expliqué.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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