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International

Le vaccin contre la variole du singe très efficace, montrent des données américaines

Image d’illustration

AFP

Le vaccin contre la variole du singe est très efficace, et ce dès deux semaines après la première dose, selon de premières données en conditions réelles communiquées mercredi par les autorités sanitaires américaines.

Les personnes non vaccinées ont 14 fois plus de chances d’être infectées par la variole du singe que celles vaccinées, selon les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), principale agence sanitaire fédérale du pays.

Cette analyse a été menée en comparant le nombre de cas confirmés chez les personnes vaccinées et celles non vaccinées, au sein de la population éligible (personnes à risque, notamment des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes). L’analyse comporte les données d’une trentaine d’Etats américains, entre juillet et septembre 2022.

Le vaccin du laboratoire Bavarian Nordic, commercialisé sous le nom de Jynneos aux Etats-Unis, est le seul approuvé spécifiquement contre la variole du singe. 

Il est administré en deux doses, à 28 jours d’écart l’une de l’autre. Mais les données des CDC ont pris en compte les cas de personnes n’ayant pour le moment reçu qu’une seule dose (au minimum deux semaines auparavant). Elles suggèrent donc que le vaccin offre déjà une certaine protection dès la première dose.

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Les autorités prévoient de récolter des données d’efficacité après la seconde dose également, et continuent de recommander ces deux doses pour une protection maximale.

« Nous n’avions jusqu’ici que des données limitées sur les performances du vaccin contre la variole du singe en conditions réelles », a souligné lors d’une conférence de presse Rochelle Walensky, la directrice des CDC. « Ces nouvelles données nous permettent d’être prudemment optimistes en disant que le vaccin marche comme espéré. » 

Le vaccin Jynneos avait été approuvé sur la base d’études sur des animaux et d’autres sur des humains évaluant la réaction immunitaire provoquée par son injection, mais pas sur des mesures de son efficacité.

Près de 700.000 doses de ce vaccin ont été administrées aux Etats-Unis, qui ont enregistré plus de 25.000 cas de variole du singe depuis mai. Après un pic d’infections quotidiennes à la mi-août, le rythme des nouvelles infections s’est ralenti.

Plus de 66.000 cas ont été recensés dans le monde en 2022, en vaste majorité hors des pays d’Afrique où la maladie est endémique.

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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