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International

La fin de la pandémie en vue mais encore loin, nuance le chef de l’OMS

Photo: Jack Guez / AFP

AFP

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé a affirmé jeudi que la fin de la pandémie de Covid-19 était certes en vue mais encore loin, modérant ainsi ses propos tenus la semaine dernière.

« Nous avons passé deux ans et demi dans un long et sombre tunnel, et nous commençons tout juste à entrevoir la lumière au bout de ce tunnel », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’une conférence de presse depuis New York, où il assiste à la réunion de l’Assemblée générale des Nations unies.

« Mais on en est encore loin, et le tunnel est encore sombre, avec de nombreux obstacles qui pourraient nous faire trébucher si nous ne faisons pas attention », a-t-il ajouté.

Les propos du Dr Tedros tranchent avec ceux du président américain Joe Biden, qui, lors d’une interview diffusée dimanche, a affirmé que la pandémie était « terminée » aux Etats-Unis.

Mais le Dr Tedros avait lui aussi adopté un ton plus optimiste la semaine dernière.

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Il a tenté de s’en expliquer jeudi: « Lors des points de presse des deux dernières semaines, j’ai dit que la pandémie n’était pas terminée, mais que la fin était en vue » et « les deux sont vrais ». 

« Etre capable de voir la fin ne signifie pas que nous sommes au bout du chemin », a-t-il dit.

Interrogé sur les propos tenus par le président américain, la Dr Maria Van Kerkhove, responsable technique de la gestion de l’épidémie de Covid-19 à l’OMS, a souligné que l’objectif de l’organisation était de « mettre fin à cette urgence partout » tout en reconnaissant que la situation épidémiologique pouvait être différente selon les pays.

Selon le Dr Tedros, le nombre de décès signalés chaque semaine dans le monde continue de baisser et ne représente plus que 10% de ce qu’il était au pic de janvier 2021. En outre, dans la plupart des pays, les restrictions ont pris fin et les deux tiers de la population mondiale sont vaccinés, dont les trois quarts des agents de santé et des personnes âgées.

« Mais 10.000 décès par semaine, c’est 10.000 de trop », a-t-il dit.

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« Nous avons tous besoin d’espérer que nous pouvons – et que nous allons – arriver au bout du tunnel et laisser la pandémie derrière nous. Mais nous n’y sommes pas encore », a-t-il assuré.

Selon les statistiques en ligne de l’OMS, la pandémie de Covid-19 a fait plus de 6,5 millions de morts dans le monde.

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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