Connect with us

International

Biden défend un projet de loi contre « l’argent occulte » des campagnes électorales

Photo: Saul Loeb / AFP

AFP

Le président américain Joe Biden a défendu mardi un projet de loi cher aux démocrates qui apporterait plus de transparence dans ce qu’il a appelé « l’argent occulte » irriguant les campagnes électorales, mais que l’opposition républicaine rejette.

« Il y a beaucoup trop d’argent qui circule dans l’ombre pour influencer nos élections. On appelle cela l’+argent occulte+ », et son existence « érode la confiance » des citoyens, a-t-il dit dans un court discours à la Maison Blanche.

Le démocrate de 79 ans fait référence à la possibilité aux Etats-Unis pour certains groupes de pression et associations de lever d’énormes sommes d’argent sans devoir révéler sa provenance, pour ensuite le dépenser en faveur d’un candidat, d’un parti ou d’une idée. 

La presse américaine a donné l’exemple cet été d’un gigantesque don de 1,6 milliard de dollars fait à une association de ce type, le très conservateur Marble Freedom Trust, qui mobilise entre autres contre le droit à l’avortement.

Des médias ont toutefois identifié l’auteur de ce don, un riche industriel de Chicago.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Le projet de loi « Disclose » prévoit d’obliger tout groupe de pression ou association agissant ainsi à déclarer leurs donateurs dès que la somme donnée excède 10.000 dollars pendant un cycle électoral.

Le texte imposerait la même contrainte aux groupes de pression qui agissent au niveau des nominations de magistrats aux Etats-Unis.

Joe Biden a reconnu que l’accès à ces ressources occultes concernait aussi bien son parti, les démocrates, que les républicains de l’opposition.

« La différence fondamentale, c’est que les démocrates sont pour davantage de transparence et de responsabilité. Les républicains, jusqu’ici, non. J’espère qu’ils changeront d’avis », a encore dit Joe Biden.

Le projet de loi a déjà été adopté par la Chambre des représentants, que les démocrates dominent largement. Ce n’est pas le cas du Sénat, qui doit voter sur le texte dans la semaine.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

Continue Reading

International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

Continue Reading

International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

Continue Reading

Trending

News Central