Connect with us

International

Jordanie: six morts, recherches en cours dans les décombres d’un immeuble

Photo: Khalil MAZRAAWI / AFP

AFP

Le bilan de l’effondrement d’un immeuble résidentiel à Amman est monté mercredi à six morts alors que les services de secours sont engagés dans une course contre-la-montre pour tenter d’extraire des personnes coincées sous les décombres depuis le drame survenu la veille.

« Les équipes de secours sont parvenues à retirer un cadavre des décombres, portant le bilan à six morts », a déclaré à l’AFP une source de sécurité.

Elles ont en revanche pu extraire deux survivants, 24H après le drame: un bébé de 4 mois et un homme de 45 ans, selon la même source.

En raison de l’étroitesse des rues, les véhicules lourds n’ont pas pu accéder au site et le déblaiement s’effectue manuellement sous le regard anxieux des proches des personnes ensevelies. 

« Selon nos informations, dix personnes sont toujours sous les décombres du bâtiment effondré, certaines parmi elles sont encore en vie », avait auparavant déclaré le porte-parole du gouvernement, Faïsal Chboul, à la chaîne de télévision officielle Al Mamlaka.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

« Les opérations de recherche se poursuivent sur le site, le terrain est accidenté, les bâtiments sont proches les uns des autres (…), ce qui rend les recherches difficiles », avait-il précisé.

Trois arrestations

Un bilan précédent de l’effondrement de l’immeuble de quatre étages dans le quartier de Jabal Al-Weibdeh, parmi les plus anciens de la capitale jordanienne, faisait état de cinq morts. 

Plus de 350 cadres de la défense civile participent aux recherches, a pour sa part déclaré aux journalistes le directeur de la défense civile, Hatem Jaber.

Le parquet a ordonné trois arrestations dans le cadre de l’enquête, dont celle du responsable de l’immeuble ainsi que deux autres personnes impliquées dans des travaux de rénovation qui auraient été effectués sur le bâtiment, selon l’agence de presse officielle Petra.

L’immeuble est « vieux et délabré », avait affirmé mardi le vice-Premier ministre et ministre de l’Administration locale, Taoufik Krichane.

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Jabal al-Weibdeh est un quartier connu pour sa vie culturelle animée.

Le roi Abdallah II de Jordanie, en visite à Paris, a appelé à « continuer à déployer tous les efforts possibles pour secourir les personnes piégées sous les décombres », selon un communiqué de la Cour. 

Le site de l’effondrement a été bouclé mercredi matin et les policiers empêchaient les habitants du quartier de s’approcher pour ne pas entraver les opérations de recherche, a constaté un correspondant de l’AFP.

Continue Reading
Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

Continue Reading

International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

Continue Reading

International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

Continue Reading

Trending

News Central