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International

Plus de 150 enfants morts dans une épidémie de rougeole au Zimbabwe

AFP

Une épidémie de rougeole au Zimbabwe a tué au moins 157 enfants, avec plus de 2.000 infections signalées dans le pays, a déclaré le gouvernement mardi. 

Les cas se multiplient rapidement dans ce pays d’Afrique australe depuis l’apparition du premier, début août, les décès signalés ayant presque doublé en moins d’une semaine.

« Au 15 août, les chiffres cumulés dans le pays s’élevaient à 2.056 cas et 157 décès », a déclaré la ministre de l’Information Monica Mutsvangwa, lors d’un point presse. 

Mme Mutsvangwa a déclaré que le gouvernement allait intensifier les vaccinations et qu’il comptait puiser dans le fonds national pour les catastrophes « pour faire face à l’urgence ». 

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Le gouvernement va également demander aux chefs traditionnels et religieux leur soutien pour inciter les populations à se faire vacciner. 

Le ministère de la Santé a précédemment imputé l’épidémie à des rassemblements religieux. 

Le virus de la rougeole s’attaque principalement aux enfants. Parmi les complications les plus graves figurent la cécité, la diarrhée et les infections respiratoires graves. 

Ses symptômes sont une éruption cutanée rouge qui apparaît d’abord sur le visage et s’étend au reste du corps. Autrefois très courante, elle peut désormais être évitée grâce à un vaccin. 

En avril, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué que l’Afrique était confrontée à une hausse de maladies évitables par la vaccination. Elle est particulièrement touchée par la rougeole, avec un bond de 400% au premier trimestre 2022 par rapport à la même période de 2021, en raison du retard dans la vaccination des enfants, a souligné le bureau Afrique de l’OMS.

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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