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International

Marche blanche de 800 personnes à Angers en mémoire d’une victime du triple homicide

AFP

Environ 800 personnes ont participé samedi à une marche blanche organisée en mémoire d’Ismaël, l’une des victimes du triple homicide d’Angers, a-t-on appris auprès de la préfecture.

Selon la préfecture, la cérémonie qui était organisée en hommage à Ismaël 16 ans, s’est déroulée sans incident, « dans le calme et le recueillement », en présence de la famille.

Partie d’un parking proche de la gare, la marche s’est terminée sur l’esplanade du Maine où les trois jeunes avaient été mortellement poignardés il y a une semaine.

Les trois jeunes gens, âgés de 16, 18 et 20 ans, ont été tués à coups de couteau dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 juillet à Angers par un réfugié politique soudanais de 32 ans qui a été mis en examen pour meurtres aggravés, tentatives de meurtres et agressions sexuelles. Il a été écroué le 17 juillet au soir.

Les faits s’étaient produits « à la suite de l’agression à caractère sexuel de deux jeunes filles par le mis en cause », avait précisé le procureur d’Angers Eric Bouillard dans un communiqué.

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« Éloigné dans un premier temps, il est revenu armé d’un couteau vers 02H50 (samedi matin, ndlr) pour porter des coups mortels » à trois jeunes gens, avait rappelé M. Bouillard, précisant que « trois autres personnes (avaient) été plus légèrement blessées par la même arme blanche ».

La mort tragique des trois jeunes gens a suscité une vive émotion à Angers, d’autant que deux de ces garçons, Atama et Manolito, avaient pratiqué le rugby depuis leur enfance et jusqu’à l’an dernier au SCO Rugby.

Ce drame a aussi donné lieu à des dizaines de milliers de commentaires sur les réseaux sociaux.

Lundi, les avocats des familles des victimes, avaient dénoncé « la récupération politique » de ce « terrible drame » alors qu’un hommage leur était rendu lundi après-midi à Angers.

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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