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International

Argentine: naissance de deux jaguars sauvages dans une zone humide du nord

AFP

Une femelle jaguar libérée en 2021 dans le Parc national Ibera a donné naissance à deux petits nés à l’état sauvage, une première depuis 70 ans dans cette zone humide du nord de l’Argentine, a annoncé jeudi une organisation de défense des animaux. 

« La reproduction de jaguar à l’état sauvage et la naissance d’une nouvelles générations en liberté sont un excellent signal pour le projet qui cherche à stopper l’extinction de cette espèce et nourrit l’espérance de régénérer une population saine de jaguars dans l’Esteros de Ibera », une zone humide d’environ 12.000 km2 dans la province de Corrientes (nord-est), s’est félicitée la Fundación Rewilding Argentina dans un communiqué. 

Au cours des dernières semaines, l’équipe technique avait détecté que la femelle jaguar (Panthera onca) restait dans le même lieux, vraisemblablement pour prendre soin de nouveau-nés. 

Une caméra a par la suite permis de confirmer les deux naissances, a expliqué Magali Longo, coordinatrice du Centre de réintroduction du jaguar (CRY) situé dans le Parc. 

Les deux petits sont les fruits de l’union d’Arami, née au sein du CRY, et de Jatobazinho, un jaguar brésilien, donné au projet argentin en 2019 et libéré fin décembre. L’union s’est fait à l’état sauvage. 

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Jatobazinho était le huitième jaguar libéré l’an dernier par le CRY, après trois femelles et quatre petits. Tous présentent des comportements typiques d’animaux sauvages, avec l’établissement de territoires et la chasse pour se nourrir. 

« Si les deux nouveau-nés survivent, ce que nous saurons dans les prochaines semaines, la population d’Ibera comptera dix jaguars à l’état sauvage », a précisé Sebastian Di Martino, le directeur de la conservation au sein de la Fondation. 

Le CRY fonctionne depuis 2012 dans la province de Corrientes, où l’espèce avait disparu depuis 70 ans. 

On estime qu’il reste entre 200 et 300 jaguars en Argentine. Selon l’Union internationale de conservation de la nature (IUCN), le jaguar, félin typique de l’Amérique latine, est une espèce « quasi menacée ». 

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MARN1

International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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Amérique centrale

Le Nicaragua quitte l’Unesco après un prix décerné à un journal en exil

Le Nicaragua a informé l’Unesco de son retrait de l’organisation en dénonçant ses « actions inacceptables et inadmissibles », notamment l’attribution du Prix mondial de la liberté de la presse à La Prensa, un journal critique du gouvernement qui opère depuis l’exil.

Le retrait sera effectif le 31 décembre 2026, dans un contexte marqué par de vives inquiétudes concernant la liberté de la presse dans le pays, classé 172e sur 180 par Reporters sans frontières (RSF).
« Je regrette profondément cette décision, qui privera la population nicaraguayenne des bénéfices de la coopération en matière d’éducation et de culture », a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, dans un communiqué adressé à l’AFP.

Samedi, l’Unesco a décerné le Prix Guillermo Cano de la liberté de la presse à La Prensa pour « avoir porté la vérité au peuple nicaraguayen », malgré la « répression » et « l’exil » de ses journalistes, selon les propos du jury.

Fondé en 1926, La Prensa a constamment maintenu une position critique à l’égard du gouvernement de Daniel Ortega, au pouvoir depuis 2007, aux côtés de son épouse Rosario Murillo, vice-présidente depuis 2017 et qualifiée de « coprésidente » depuis février.

Sous la pression des autorités, La Prensa a cessé son édition imprimée en 2021 et fonctionne désormais en ligne, avec une équipe en exil répartie entre le Costa Rica, les États-Unis, le Mexique, l’Espagne et l’Allemagne.

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