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International

Biden invite le président des Emirats arabes unis aux Etats-Unis

AFP

Le président américain Joe Biden a « solennellement » invité samedi le nouveau chef de l’Etat des Emirats arabes unis, Mohammed ben Zayed, à se rendre aux Etats-Unis, après une période marquée par des désaccords entre les deux partenaires.

Parmi les principaux exportateurs de pétrole au monde, ce pays du Golfe est depuis longtemps proche des Etats-Unis mais les relations se sont récemment tendues, sur fond de guerre en Ukraine, de crise de pétrole et de crainte d’un désengagement américain du Moyen-Orient.

« Les défis auxquels nous faisons face aujourd’hui font qu’il est encore plus important que nous passions du temps ensemble », a dit Joe Biden lors d’une rencontre bilatérale avec Mohammed ben Zayed à Jeddah, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, où il conclut sa première tournée au Moyen-Orient.

« Je veux vous inviter solennellement aux Etats-Unis », a déclaré le président américain, précisant qu’il souhaitait recevoir son homologue à Washington au Bureau ovale « avant la fin de cette année ».

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Les relations entre Washington et Abou Dhabi ont connu un froid ces derniers mois, les Américains étant accusés par certains observateurs de se désintéresser du Moyen-Orient au profit de l’Asie.

Mais devant plusieurs dirigeants arabes réunis samedi en Arabie saoudite, Joe Biden a promis que les Etats-Unis « ne se détourneront pas » du Moyen-Orient en laissant « un vide que pourraient remplir la Chine, la Russie ou l’Iran ».

L’administration américaine est de son côté échaudée par le refus des pays du Golfe d’augmenter la production de pétrole pour calmer l’envolée des prix sur les marchés mondiaux en raison de la guerre en Ukraine menée depuis février par la Russie. 

Présidant alors le Conseil de sécurité de l’ONU, les Emirats arabes unis avaient refusé dans un premier temps de condamner l’invasion russe de l’Ukraine.

Par ailleurs, les Emirats arabes unis, comme l’Arabie saoudite, ont longtemps espéré plus de soutien des Etats-Unis dans leur guerre contre les Houthis au Yémen, ces rebelles étant soutenus par l’Iran. Une trêve est actuellement en vigueur.

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Début mars, l’ambassadeur des Emirats aux Etats-Unis, Youssef Al Otaïba, avait estimé que la relation entre Washington et Abou Dhabi était « à l’épreuve » tout en insistant sur la volonté de la relancer sur le long terme.

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Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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