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International

Brésil: Bolsonaro retourne sur les lieux de l’attentat contre lui

AFP

Le président brésilien Jair Bolsonaro est retourné vendredi pour la première fois dans la ville de Juiz de Fora (sud-est) où un attentat à l’arme blanche avait failli lui coûter la vie en pleine campagne électorale, il y a près de quatre ans.

Alors qu’il était porté en triomphe au milieu d’une foule de sympathisants le 6 septembre 2018 dans les rues de la ville de l’Etat du Minas Gerais, Jair Bolsonaro avait reçu un violent coup de couteau à l’abdomen. Il s’était vidé de son sang et n’avait dû sa survie qu’à la proximité d’un hôpital. 

« Après bientôt quatre ans, je suis de retour à Juiz de Fora », a déclaré le président. « La majorité des médecins qui m’ont vu dans cet état disait que seulement 1% des gens ayant reçu un tel coup de couteau pouvait survivre ». 

« Certains pensent que j’ai eu de la chance, moi je crois que c’est la main de Dieu », a-t-il dit lors d’un culte évangélique.

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Grièvement blessé, Bolsonaro avait subi plusieurs opérations. Après sa confortable élection, le président d’extrême droite a eu diverses alertes abdominales ayant nécessité de nouvelles opérations chirurgicales et souffre toujours de séquelles de cet attentat.

Son agresseur, Adélio Bispo de Oliveira, a été déclaré irresponsable en raison de ses troubles mentaux.

La visite dans ce lieu symbolique de Bolsonaro intervient alors que les craintes augmentent au Brésil après plusieurs actes de violence — dont l’assassinat d’un responsable local de gauche — concernant la sécurité des candidats à la présidentielle du 2 et 30 octobre.

Ces craintes se portent surtout sur Jair Bolsonaro et l’ex-chef d’Etat Luiz Inacio Lula da Silva, largement favori dans les sondages.

Jair Bolsonaro a pris la tête vendredi d’un cortège de motos avec des partisans de Juiz de Fora et s’est rendu dans l’hôpital de Santa Casa de Misericordia, où il avait reçu les premiers soins.

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« Votez pour qui vous voulez, mais votez avec votre raison », a déclaré le président, dont la sécurité a été renforcée, mais qui n’a pas hésité à prendre encore un bain de foule à l’aéroport de la ville.

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MARN1

Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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