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International

Uruguay: la justice suspend la vaccination des enfants contre le Covid-19

AFP

Un juge a ordonné jeudi la « suspension immédiate » en Uruguay de la vaccination des enfants contre le Covid-19, dans l’attente de la publication des contrats passés entre le gouvernement et le laboratoire Pfizer, ainsi que de la « composition des substances » contenue dans le produit. 

La suspension, qui concerne les enfants de moins de 13 ans, sera en vigueur jusqu’à ce que « tous les contrats d’achat de ces vaccins » et les documents « détaillant la composition des substances à administrer » soient publiés dans leur intégralité, indique dans sa décision le juge Alejandro Recarey. 

Ce dernier, qui officie en tant que juge suppléant d’un tribunal administratif, a fait suite à un « recours en protection » déposé par un avocat, visant à suspendre l’administration du vaccin aux enfants. Cette vaccination est autorisée dans le pays sur une base volontaire à partir de l’âge de cinq ans. 

Le gouvernement du président conservateur Luis Lacalle Pou a annoncé qu’il allait faire appel de la décision. 

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Selon le juge, il faut « fournir aux responsables des mineurs qui se vaccinent » un document « qui les informe pleinement et clairement » sur le contenu des injections, leurs bénéfices, les risques qu’elles comportent « en précisant leur nature, leur probabilité, leur ampleur », et les « effets indésirables déjà détectés, dans leur intégralité ».

Le contrat passé entre le gouvernement uruguayen et le laboratoire américain Pfizer sur la fourniture de vaccins n’a pas été rendu public dans le pays sud-américain de 3,5 millions d’habitants. 

Avant la décision de jeudi, le gouvernement avait mis en cause l’impartialité du juge Recaray, soulignant qu’il avait auparavant « donné son opinion sur le thème » de la vaccination anti-Covid-19. 

Le ministère de la Santé a indiqué jeudi sur Twitter que la campagne de vaccination dans le pays s’est fondée sur « la base des preuves scientifiques disponibles ». 

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MARN1

Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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