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International

Harcèlement sexuel: démission d’un proche de Bolsonaro d’une banque publique

AFP

Pedro Guimaraes, un proche du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, a démissionné mercredi de son poste à la tête de la Caixa economica federal, une des plus importantes banques publiques du Brésil, après des accusations de harcèlement sexuel. 

Celui dont la démission a été annoncée au journal officiel nie les accusations portées contre lui, dénonçant sur son compte Instagram une « situation cruelle, injuste ». 

Il justifie sa démission en disant ne pas vouloir « porter préjudice à l’institution ou au gouvernement en étant une cible de rancoeur politique en pleine année électorale ». 

Souvent présent au côté du chef de l’Etat lors de cérémonies ou voyages officiels, Pedro Guimaraes, 51 ans, est accusé par cinq femmes de harcèlement sexuel dans le cadre professionnel, avait révélé mardi le site d’information Metropoles. 

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Après sa démission, le président Bolsonaro a nommé à son poste Daniella Marques, jusque-là en charge de la productivité au ministère de l’Economie. 

M. Guimaraes avait accompagné à plusieurs reprises le président brésilien dans des voyages officiels, dont un à l’Assemblée générale de l’ONU en 2021. 

Jair Bolsonaro, 67 ans, au pouvoir depuis janvier 2019, briguera un deuxième mandat en octobre, mais les sondages le placent loin derrière l’ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva. 

La dernière enquête d’opinion de l’institut de référence Datafolha, publiée la semaine dernière, crédite Lula de 47% des intentions de vote au premier tour, contre 28% pour le président sortant. 

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MARN1

Amérique centrale

Guatemala : les 48 Cantons exigent la libération de deux dirigeants indigènes

L’organisation indigène guatémaltèque 48 Cantons de Totonicapán a exigé ce lundi, lors d’une marche, la libération de deux de ses dirigeants arrêtés en avril par le Ministère public (le parquet), dont les hauts responsables sont sanctionnés par les États-Unis et l’Union européenne pour des accusations de corruption.

Plus de 500 personnes ont participé à cette mobilisation pour réclamer la libération de Luis Pacheco et Héctor Chaclán, détenus le 23 avril sous l’accusation de terrorisme, après leur participation, en novembre 2023, à un sit-in visant à défendre les résultats électoraux de cette année-là.

L’organisation indigène de la province de Totonicapán (ouest) a également interpellé le président guatémaltèque Bernardo Arévalo de León, l’exhortant à défendre son propre gouvernement face au soi-disant Pacte des Corrompus, un groupe de politiciens et d’hommes d’affaires qui contestent sa légitimité.

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’utiliser l’intelligence de votre gouvernement pour démasquer le véritable ennemi : le Pacte des Corrompus, qui tente de kidnapper votre propre gouvernement », a déclaré la vice-présidente des 48 Cantons de Totonicapán, Leticia Zapeta, lors de la manifestation.

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International

Uribe nie toute subornation et affirme avoir toujours exigé la vérité

L’ancien président colombien Álvaro Uribe a affirmé ce lundi, lors de son procès, qu’il n’a jamais soudoyé de témoins et qu’il a toujours demandé « la vérité », comme il l’affirme dans les enregistrements de ses appels téléphoniques.

Uribe, qui a dirigé la Colombie de 2002 à 2010, est jugé depuis février dernier pour des faits présumés de subornation de témoins, fraude procédurale et subornation dans une procédure pénale, dans une affaire remontant à 2012.

Selon l’ex-président, les enregistrements présentés au tribunal montrent qu’il a toujours réclamé « la vérité, non seulement dans les écoutes illégales (…) mais aussi dans les déclarations de personnes disant avoir parlé avec moi : ‘il nous demandait toujours la vérité’ ».

« Je n’ai jamais demandé autre chose que la vérité. Cela apparaît dans les écoutes et dans les témoignages de ceux qui ont eu des conversations personnelles avec moi », a-t-il ajouté lors de la première journée de son interrogatoire.

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International

Maduro exige le retour d’une fillette vénézuélienne retenue aux États-Unis

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a déclaré ce lundi qu’il espère qu’un juge aux États-Unis reconnaîtra l’autorité parentale et permettra le retour au Venezuela d’une fillette de deux ans, que son gouvernement affirme avoir été séparée de sa mère avant d’embarquer sur un vol de rapatriement.

« Nous espérons que dans le cas de la petite Maikelys, la loi sera respectée et qu’un juge juste des États-Unis d’Amérique reconnaîtra l’autorité parentale de la mère et renverra immédiatement l’enfant au Venezuela », a déclaré le président, récemment investi pour un troisième mandat controversé, lors de son émission télévisée hebdomadaire Con Maduro+.

Maduro a également affirmé que le pays est prêt à aller chercher la fillette « où qu’elle se trouve ».

« Quel abus d’autorité, quel abus de pouvoir, quelle grave violation des droits d’une enfant de deux ans ! De quoi vont-ils l’accuser ? De faire partie du Tren de Aragua ? Vont-ils continuer à colporter leur récit mensonger et manipulé contre le Venezuela ? », a-t-il dénoncé.

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