Connect with us

International

Le ministre équatorien de la Défense démissionne face au fléau du trafic de drogue

AFP

Le ministre équatorien de la Défense, Luis Hernandez, a annoncé mardi sa démission en pleine lutte contre le trafic de drogue, qui a conduit à des niveaux élevés de criminalité et aux pires massacres dans les prisons du pays.

« Cet après-midi j’ai présenté ma démission » au président Guillermo Lasso, a annoncé le général à la retraite sur Twitter, sans toutefois en préciser la raison.

Dans une lettre adressée au président, dévoilée par ce même réseau social, M. Hernandez a déclaré que durant son mandat, il a mis en oeuvre la politique du gouvernement conservateur qui a déclaré la guerre au trafic de drogue.

Hernandez était présent mardi dans le port de Guayaquil (sud-ouest) lors de la destruction de 2.100 armes à feu saisies par les forces armées lors d’opérations contre les milieux criminels.

Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Installé il y a onze mois, le gouvernement Lasso a déclaré la guerre contre le trafic de drogue. Cela s’est traduit par une croissance de la criminalité dans les rues et des affrontements dans les prisons entre détenus membres de gangs qui ont fait 350 morts depuis février 2021.

Le ministre de l’Intérieur Patricio Carrillo a admis il y a une semaine que l’Equateur traversait une « crise d’insécurité » liée à la criminalité, qui a causé la mort de 1.180 personnes cette année.

En 2021, le pays a saisi un record annuel de 210 tonnes de drogue, principalement de la cocaïne. Au cours des quatre premiers mois de 2022, plus de 75 tonnes y ont été saisies, a déclaré M. Lasso mardi dans un entretien avec la presse.

Face à la crise du système carcéral surpeuplé et à la violence liée à la drogue, Lasso a mobilisé les militaires dans la rue pour soutenir la police.Les militaires sont également chargés du contrôle extérieur des prisons.

Quelques jours après la prise de fonctions de Luis Hernandez au ministère de la Défense, le 18 octobre, un radar militaire que l’Equateur venait de mettre en service pour lutter contre le trafic de drogue a été endommagé par une explosion. Les autorités ont dénoncé une attaque « terroriste ».

Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow
Continue Reading
Advertisement
20250715_donacion_sangre_central_300x250
20250701_vacunacion-influenza-300x250
20250701_vacunacion_vph-300x250
20250701_dengue_300x250_01
20250701_dengue_300x250_02
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Mexique : la SIP alerte sur un regain de censure judiciaire et législative

La Société interaméricaine de presse (SIP) a exprimé ce mardi sa « vive inquiétude » face à ce qu’elle considère comme une recrudescence de mécanismes de censure dans plusieurs États du Mexique, via des décisions judiciaires, des initiatives législatives et des pressions exercées sur les médias.

Cette organisation, qui regroupe plus de 1 300 médias, entreprises et associations de journalistes, a indiqué dans un communiqué que plusieurs cas récents au Mexique illustrent une tendance alarmante à l’installation de nouvelles formes de censure judiciaire et législative.

Parmi les cas recensés par la SIP, figure celui d’un journaliste du Campeche contraint par une décision de justice à ne plus faire référence à la gouverneure, et dont le média est soumis à une relecture préalable des contenus par un intervenant judiciaire.
La SIP évoque également une réforme du code pénal de l’État de Puebla, qui introduit un nouveau chef de « violence numérique » : toute personne publiant des contenus pouvant « porter atteinte à la dignité » pourrait être punie de prison. La formulation vague et large de cette disposition, selon la SIP, risque de servir à réprimer journalistes, activistes ou usagers des réseaux sociaux qui critiquent des fonctionnaires.

Elle mentionne aussi le cas du média La Silla Rota à Mexico, à qui l’Institut National Électoral (INE) exige la remise de documents et la révélation de ses sources dans une enquête sur d’éventuelles irrégularités lors des élections judiciaires de juin.

« Ces cas ne sont pas des incidents isolés, mais des signes d’un environnement institutionnel de plus en plus hostile au journalisme », a déclaré José Roberto Dutriz, président de la SIP, cité dans le communiqué.

Advertisement

20250715_donacion_sangre_central_728x90
20250701_vacunacion-influenza-728x90
20250701_vacunacion_vph-728x90
20250701_dengue_728x90
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

« Il est préoccupant que, dans un pays démocratique disposant de solides cadres constitutionnels, des outils judiciaires, législatifs ou administratifs soient utilisés pour inhiber la critique et la surveillance du pouvoir », a-t-il ajouté.

Continue Reading

International

Mexique : saisie d’une tonne de méthamphétamine dans un camion à La Paz

Les autorités mexicaines ont annoncé ce mardi l’arrestation du conducteur d’un semi-remorque à La Paz, dans l’État de Basse-Californie du Sud (nord-ouest du pays), contenant des cartons renfermant 1 020 kilos de chlorhydrate de méthamphétamine, qui ont été saisis.

Dans un communiqué, la Fiscalía General de la República (FGR), par l’intermédiaire du Parquet spécialisé en contrôle régional (FECOR) de Basse-Californie du Sud, a indiqué que le suspect a été identifié comme Óscar « L ».

Le juge a ordonné l’ouverture d’un procès contre le prévenu, le placement en détention préventive obligatoire, et a fixé un délai de deux mois pour l’enquête complémentaire.

Selon les chiffres officiels, depuis le début du gouvernement de la présidente Claudia Sheinbaum, les autorités mexicaines ont arrêté plus de 26 000 personnes pour des crimes à fort impact, et saisi 204,5 tonnes de drogues, dont 1,5 tonne de fentanyl et plus de 3,5 millions de comprimés de ce narcotique.

Continue Reading

International

L’eau, une cause vitale : le Mexique lance une campagne pour sensibiliser la génération Z

Le Conseil Consultatif de l’Eau du Mexique, en collaboration avec la Commission Nationale de l’Eau (Conagua), a lancé ce mardi une campagne sur les réseaux sociaux visant à « créer un mouvement de sensibilisation autour de l’eau » dans le pays. Intitulée « Un battement dans chaque goutte », l’initiative invite les internautes à reproduire le geste d’un cœur formé avec leurs doigts.

La campagne cible principalement la génération Z (nés entre 1997 et 2012), qui représente 30 % de la population mexicaine, soit environ quarante millions de personnes.

L’objectif est de susciter un impact réel en soulignant l’importance d’une gestion responsable de cette ressource vitale.
« Nous avons choisi de nous concentrer sur les jeunes, car ils ont déjà une conscience écologique. Ils transforment les modes de comportement, ils n’ont pas besoin d’une prise de conscience comme cela a été notre cas », a déclaré Gilberto Alcaraz, représentant de l’alliance Hoy por el Agua.

Même s’il regrette que cette génération soit parfois silencieuse, Alcaraz espère que, grâce à l’usage de symboles, d’émojis ou de stickers, les jeunes s’impliqueront dans cette cause globale pour faire face à « l’un des défis les plus importants de l’humanité ».

Continue Reading

Trending

News Central