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International

Covid: le Congrès péruvien interdit son accès aux députés non-vaccinés

AFP

Le Congrès péruvien a annoncé lundi que seuls les députés et employés ayant reçu au moins deux doses de vaccin contre le Covid-19 pourront accéder au siège afin de limiter les infections face à l’arrivée des premiers cas du variant Omicron dans le pays. 

« L’entrée aux installations du Congrès de la République sera réservée aux personnes ayant reçu au moins deux doses de vaccin », a indiqué un communiqué publié sur Twitter.

Cette mesure a été adoptée conformément à une règlementation gouvernementale entrée en vigueur le 15 décembre, qui empêche les personnes dépourvues d’un schéma de vaccination d’entrer dans des bâtiments publics.

Le Congrès est composé de 130 députés parmi lesquels 16 n’ont pas été vaccinés, selon la presse péruvienne, et seuls 13 ont reçu la dose de rappel alors que le gouvernement a réduit lundi la période d’attente pour la troisième dose de cinq à trois mois face à l’augmentation du nombre de cas du variant Omicron, établi à 12.

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L’annonce du Congrès fait suite à l’infection au Covid-19 de la députée de gauche Sigrid Bazán, vaccinée avec deux doses et testée positive samedi à la fin d’une semaine marquée par des sessions au Congrès lors desquelles le masque est obligatoire. 

Le Congrès péruvien a indiqué que les députés qui ne respectent pas cette nouvelle mesure devront travailler à distance.

Au Pérou, 74% de la population de 33 millions d’habitants est vaccinée avec deux doses mais l’apparition du variant Omicron a déclenché les sonnettes d’alarme.

Le pays d’Amérique du Sud a interdit les rassemblements familiaux et les fêtes de fin d’année, et a intensifié la campagne de vaccination.

Au Pérou, le taux de mortalité dû à la pandémie est le plus élevé au monde, avec 6.122 décès par million d’habitants, selon un rapport de l’AFP basé sur des chiffres officiels. 

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International

Chili : le corps du dernier mineur disparu retrouvé après l’éboulement à El Teniente

Le sauvetage des cinq mineurs portés disparus après un éboulement dans l’immense gisement d’El Teniente, appartenant à la société publique chilienne Codelco, s’est achevé dimanche avec la découverte du dernier corps, a annoncé le parquet.

L’accident, survenu jeudi, est l’un des plus graves de ces trois dernières décennies dans cette mine et a fait, le jour même, un mort et neuf blessés.

Avec 4.500 km de galeries souterraines, El Teniente est la plus grande mine de cuivre souterraine au monde. Elle appartient à Codelco, premier producteur mondial de cuivre.

« Aujourd’hui, nous avons finalement retrouvé le corps du dernier travailleur qui était porté disparu », a déclaré à la presse le procureur régional de la région d’O’Higgins, Aquiles Cubillos.

Dans la nuit de samedi à dimanche, les corps de trois autres mineurs avaient déjà été retrouvés, s’ajoutant à celui d’un premier ouvrier découvert samedi après-midi. Tous ont été localisés dans la même zone où l’éboulement, provoqué par un « événement sismique », est survenu jeudi. L’origine de cet événement – naturelle ou liée aux forages – fait toujours l’objet d’une enquête.

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Amérique centrale

Bukele défend la réélection illimitée et dénonce les “préjugés” contre le Salvador

Nayib Bukele entame sa cinquième année de mandat avec un soutien historique

Le président salvadorien Nayib Bukele a rejeté ce dimanche l’idée que l’approbation de la réélection présidentielle indéfinie au Salvador marque « la fin de la démocratie ». Selon lui, les critiques à l’égard de cette décision proviennent du fait qu’elle a été prise par un pays « petit et pauvre ».

Jeudi, le Congrès salvadorien a approuvé une réforme constitutionnelle autorisant la réélection illimitée, prolongeant le mandat présidentiel de cinq à six ans et supprimant le second tour électoral.

« 90 % des pays développés permettent la réélection illimitée de leur chef de gouvernement et personne ne s’en émeut », a réagi Bukele sur le réseau social X. « Mais lorsque un petit pays pauvre comme le Salvador tente de faire la même chose, soudain, c’est la fin de la démocratie », a-t-il expliqué.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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