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International

Climat: Biden annonce « doubler » l’aide américaine aux pays en développement

AF´P

Joe Biden a promis mardi à la tribune des Nations unies de « doubler » le montant de l’aide internationale accordée par les Etats-Unis aux pays en développement pour faire face au changement climatique, une promesse saluée par les associations environnementales.

Le président américain a promis de travailler avec le Congrès américain pour atteindre cet objectif, dans un discours devant l’Assemblée générale de l’ONU.

Selon les experts, cela signifie un engagement d’environ 11 milliards de dollars par an.

« Avec notre aide, ainsi qu’un capital accru du privé et d’autres donateurs, nous serons capables d’atteindre le but de mobiliser 100 milliards de dollars pour soutenir l’action climatique dans les pays en développement », a ajouté M. Biden. 

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Les pays développés se sont en effet engagés en 2009 à Copenhague à mobiliser 100 milliards de dollars par an entre 2020 et 2025 pour cette assistance. Mais le plan de financement, qui sera sans aucun doute un des points de contentieux lors de la conférence climat COP26 à Glasgow en novembre, a pris du retard.

Le président de la COP26, Alok Sharma, a déclaré mardi sur Twitter « se féliciter » de la promesse de Joe Biden. « Nous devons poursuivre cet élan », a-t-il ajouté.

Ce sujet suscite régulièrement la colère des pays pauvres, premières victimes des effets du dérèglement climatique, qui dénoncent le manque de solidarité des pays riches, principalement responsables de ce réchauffement.

L’OCDE a annoncé la semaine dernière que cette aide Nord-Sud a atteint 79,6 milliards de dollars en 2019, soit une augmentation de seulement 2% par rapport à 2018.

L’annonce du président américain « est la bienvenue et un signe nécessaire que les Etats-Unis sont enfin en train de prendre leur responsabilité climatique au sérieux », a réagi mardi Rachel Cleetus, de l’ »Union des scientifiques préoccupés ».

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« Nous applaudissons la promesse du président Biden », a abondé dans un communiqué Thanu Yakupitiyage, de l’organisation militante 350.org. « Les Etats-Unis sont responsables de la plus grande partie des émissions historiques induisant le changement climatique », a-t-elle rappelé. 

Joe Biden va cependant « devoir travailler avec le Congrès américain pour s’assurer que ces fonds peuvent être délivrés », a prévenu Helen Mountford, du World Resources Institute.

– Dons de vaccins –

Washington va par ailleurs « annoncer des engagements supplémentaires » pour doper la vaccination dans les pays les moins avancés, lors d’un sommet virtuel qu’il organise mercredi, a indiqué Joe Biden. 

La semaine dernière, le Washington Post avait affirmé que le gouvernement américain prévoyait d’acheter des centaines de millions de doses supplémentaires du vaccin de Pfizer/BioNTech pour les donner aux pays dans le besoin. 

Joe Biden avait déjà annoncé en juin, en marge du G7, l’achat par Washington de 500 millions de doses de vaccins de Pfizer destinées à être distribuées à quelque 100 pays à travers le dispositif Covax. Une partie de celles-ci a commencé à être envoyée fin août.

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Les Etats-Unis avaient par ailleurs déjà préalablement fourni des dizaines de millions d’autres de doses de vaccins.

« Nous avons envoyé plus de 160 millions de doses de vaccins à d’autres pays, dont 130 millions de notre propre stock », a souligné Joe Biden mardi. 

Le président américain a également promis mardi que les Etats-Unis s’engageaient à investir « 10 milliards de dollars pour faire cesser la faim et investir dans le système alimentaire » aux Etats-Unis et à l’étranger. 

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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International

La radiodiffusion publique américaine amorce sa fermeture après les coupes de Trump

La Corporation for Public Broadcasting (CPB) des États-Unis a annoncé ce vendredi le début d’une fermeture progressive de ses activités, conséquence des coupes budgétaires mises en œuvre par l’administration de Donald Trump, qui a supprimé pour la première fois en près de soixante ans le financement destiné à cet organisme.

La CPB, qui soutient directement ou indirectement la radio publique NPR et la télévision publique PBS, a souligné dans un communiqué que, depuis près de 60 ans, elle remplit sa mission auprès du Congrès en « construisant et maintenant un système de médias publics fiable, qui informe, éduque et sert les communautés à travers tout le pays ».

« Malgré les efforts extraordinaires de millions d’Américains qui ont appelé, écrit et demandé au Congrès de préserver le financement fédéral de la CPB, nous faisons face à la dure réalité de devoir fermer nos opérations », a déclaré dans la note la présidente-directrice générale Patricia Harrison.

L’organisme a également informé vendredi ses employés que la majorité de leurs postes seront supprimés dans le cadre de ce démantèlement.

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International

“Procès du siècle” : Álvaro Uribe, premier ancien président colombien reconnu coupable

L’ancien président colombien Álvaro Uribe (2002-2010) a été condamné à 12 ans de prison à purger en résidence surveillée pour les délits de fraude procédurale et de subornation de témoins dans une procédure pénale, selon une décision rendue publique ce vendredi de manière anticipée.

Le document précise que la juge du 44e tribunal pénal du circuit de Bogotá, Sandra Heredia, qui lira officiellement le verdict à partir de 14 h (heure locale), a décidé d’imposer à Uribe une peine de 12 ans de prison, une amende de plus de 3,4 milliards de pesos colombiens (environ 822 000 USD) et l’interdit pendant plus de huit ans d’exercer des droits et fonctions publics.

La magistrate a également mandaté le Centre des services judiciaires de Rionegro, la commune du département d’Antioquia où réside l’ancien président, pour émettre “le mandat d’incarcération correspondant” et “procéder à son transfert immédiat à son domicile, où il purgera sa peine de résidence surveillée et sera soumis aux contrôles requis.”

Âgé de 73 ans et fondateur du parti de droite Centro Democrático, Uribe est devenu lundi le premier ancien président colombien à être condamné pénalement dans ce que l’on appelle en Colombie le « procès du siècle », même si sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel de la décision devant la Cour supérieure de Bogotá.

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