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Des incendies criminels dévastent des réserves écologiques en Bolivie

AFP

Près de 600.000 hectares de terres ont brûlé dans le département bolivien de Santa Cruz (est) et 64% de ses aires protégées ont été rasées par des incendies, pour la plupart d’origine criminelle, ont indiqué les autorités.

Lundi soir, il y avait 20 incendies actifs et sept zones protégées touchées. En seulement deux jours 200.000 hectares ont brûlé, a rapporté le gouvernement.

La plupart des incendies sont concentrés dans les forêts de la Chiquitanía, une région entre l’Amazonie au nord, les plaines du Chaco au sud et le Pantanal – la plus grande zone humide du monde – au sud-est.

D’une superficie similaire à celle de la Belgique, la région du parc national est l’une des plus endommagés.

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Des pompiers volontaires et les gardes forestiers disposant de peu de moyens tentent désespérément de contenir l’avancée des flammes en creusant des tranchées.

Le gouvernement a déployé environ 1.800 militaires et dépêché deux hélicoptères.

Le vice-ministre de la Défense civile, Juan Carlos Calvimontes — qui supervise la lutte contre les incendies dans la région –, a affirmé qu’une loi empêche l’exécutif de demander de l’aide aux pays voisins si les collectivités territoriales ne se sont pas déclarées en situation de « catastrophe ».

Un tel appel à l’aide n’est possible que lorsque le gouvernement épuise l’ensemble du budget pour la lutte contre les incendies, ce qui, selon les autorités, ne s’est pas encore produit.

Cette loi « devrait être modifiée », a-t-il dit.

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Les autorités s’accordent pour dire que la plupart des incendies ont été délibérément provoqués.

En Bolivie et dans d’autres pays d’Amérique du Sud, il est de tradition de brûler les terres pour transformer les forêts en zones agricoles.

La pratique est légale en Bolivie pour une superficie limitée à 20 hectares, grâce à une autorisation entre mai et juillet, une fois la saison des pluies terminée.

En cas d’incendie criminel, une amende de 1 dollar par hectare brûlé est infligée. En cas d’incendie de grande ampleur, la peine peut aller jusqu’à trois ans de prison.

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Hakyung Lee écope de la prison à vie pour avoir tué et caché ses enfants dans des valises

Une mère qui avait assassiné ses deux enfants avant de dissimuler leurs corps dans des valises entreposées dans un box de stockage a été condamnée mercredi à la prison à perpétuité en Nouvelle-Zélande, au terme d’un procès qui avait suscité une large attention internationale.

Hakyung Lee, citoyenne néo-zélandaise d’origine sud-coréenne, avait été reconnue coupable au début de l’année du meurtre de ses enfants. Le juge de la Haute Cour, Geoffrey Venning, l’a condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté minimale de 17 ans, estimant qu’elle avait tué des enfants « particulièrement vulnérables ».

Âgée de 45 ans, Lee est restée impassible lors de l’annonce du verdict.

Elle avait administré une dose mortelle de médicaments sur ordonnance à ses enfants, Minu Jo et Yuna Jo, âgés respectivement de six et huit ans, en 2018. Profondément affectée par la mort de son mari d’un cancer, elle avait affirmé avoir prévu de se suicider avec eux, mais s’être trompée dans les doses.

Les corps n’ont été découverts qu’en 2022, lorsqu’une famille ayant acheté le contenu d’un box de stockage lors d’une vente aux enchères près d’Auckland a ouvert les valises.

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Après avoir changé d’identité et fui en Corée du Sud, Lee avait finalement été extradée vers la Nouvelle-Zélande pour y être jugée.

Ses avocats avaient plaidé l’irresponsabilité pénale pour cause de démence, en s’appuyant sur le témoignage d’un psychiatre légiste. La procureure a toutefois soutenu que les actes de Lee étaient prémédités et calculés.

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International

Paul Doyle admet sa culpabilité pour les blessures infligées lors du défilé du Liverpool FC

La voix brisée et les larmes aux yeux, Paul Doyle, 54 ans, qui avait nié les faits en septembre, a finalement reconnu ce mercredi, lors de son procès, sa culpabilité pour avoir blessé intentionnellement 12 personnes et tenté d’en blesser 17 autres, ainsi que pour des faits de violence et de conduite dangereuse.

L’accusé devra comparaître de nouveau devant la justice pendant deux jours à partir du 15 décembre, afin que sa peine soit fixée. Le juge Andrew Menary l’a averti de se préparer à « une peine d’emprisonnement d’une durée significative ».

En admettant sa culpabilité, Doyle met fin à une procédure ouverte mardi à Liverpool, dans le nord-ouest de l’Angleterre, et qui devait initialement durer trois à quatre semaines.

En détention provisoire depuis les faits, il avait pourtant réaffirmé son innocence la veille, lorsque le tribunal lui avait demandé de se prononcer une nouvelle fois sur quatre des chefs de mise en accusation.

Selon l’enquête, le 26 mai, alors que des milliers de supporters du Liverpool FC participaient au défilé célébrant la victoire du club en Premier League, la voiture de Doyle s’était engagée dans une rue récemment rouverte pour permettre le passage d’une ambulance. À ce moment-là, le véhicule du prévenu — père de trois enfants et ancien membre de la Royal Navy — a été entouré par une foule de supporters, dont certains se montraient agressifs.

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L’ex-président péruvien Martín Vizcarra condamné à 14 ans de prison pour corruption

L’ancien président péruvien Martín Vizcarra, figure de centre-gauche et symbole de la lutte anticorruption durant son mandat entre 2018 et 2020, a été reconnu coupable d’avoir reçu 640 000 dollars en pots-de-vin de plusieurs entreprises de construction lorsqu’il était gouverneur de la région méridionale de Moquegua, entre 2011 et 2014.

« La peine prononcée est de 14 ans de privation de liberté », a déclaré la juge Fernanda Ayasta, présidente de la Quatrième Chambre pénale collégiale nationale, lors de la lecture du verdict.

« Cette instance constate que Martín Vizcarra a commis des actes illicites en abusant de sa fonction de président régional de Moquegua, en conditionnant l’attribution des contrats publics en échange d’argent », a-t-elle ajouté.

Âgé de 62 ans, l’ex-chef d’État a assisté à la lecture du jugement au tribunal de Lima et est resté impassible à l’annonce de la sentence, ont observé des journalistes de l’AFP.

Le parquet avait requis une peine pouvant aller jusqu’à 15 ans de prison.

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