Connect with us

International

Biden dit ne pas pouvoir garantir « l’issue finale » de l’opération d’évacuation à Kaboul

AFP

Joe Biden a affirmé vendredi qu’il ne pouvait pas garantir « l’issue finale » de l’opération d’évacuation à Kaboul, l’une des « plus difficiles de l’histoire » au terme d’une guerre longue de vingt ans en Afghanistan. 

« Cette mission d’évacuation est dangereuse. Elle implique des risques pour nos forces armées et est menée dans des conditions difficiles », a déclaré le président américain lors d’un discours à la Maison Blanche.

« Je ne peux pas promettre ce qu’en sera l’issue finale »‘, a-t-il reconnu, entouré par sa vice-présidente Kamala Harris, son chef de la diplomatie Antony Blinken, le chef du Pentagone Lloyd Austin, et son haut conseiller à la sécurité Jake Sullivan. 

« Mais en tant que commandant en chef, je peux vous assurer que je mobiliserai tous les moyens possibles », a-t-il promis. 

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Seuls les Etats-Unis sont « capables » de mener une telle opération, parmi les « plus difficiles de l’histoire », « à l’autre bout du monde avec une telle précision », a affirmé le président américain. 

Il a dit que les Etats-Unis avaient évacué 13.000 personnes d’Afghanistan depuis le 14 août, et 18.000 depuis juillet, avec des milliers en plus évacués sur des vols privés « mis en oeuvre par le gouvernement américain ».

Le président a assuré que son pays était engagé à évacuer tous les Afghans ayant aidé les Etats-Unis dans leurs opérations en Afghanistan pendant la guerre.

Joe Biden est sous le feu des critiques face aux scènes d’évacuations chaotiques à Kaboul et aux récits de candidats au départ afghans empêchés de parvenir jusqu’à l’aéroport par les contrôles des talibans. 

Nous « sommes en contact permanent avec les talibans, et nous oeuvrons pour nous assurer que les civils aient un accès sûr à l’aéroport », a affirmé le président américain. 

Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL
previous arrow
next arrow

Il a également assuré que ce retrait chaotique n’affectait pas la crédibilité des Etats-Unis sur la scène internationale.

Nos alliés dans le monde « ne remettent pas en question notre crédibilité », a assuré le président américain. « J’ai parlé à nos alliés de l’Otan », a-t-il ajouté. « En fait c’est le contraire ».

Continue Reading
Advertisement
20250501_mh_noexigencia_dui_300x250
20250501_vacunacion-influenza-300x250
20250501_vacunacion_vph-300x250
20231124_etesal_300x250_1
20230601_agenda_primera_infancia_300X250
MARN1

International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

Continue Reading

International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

Advertisement

20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

Continue Reading

International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

Advertisement

20250501_mh_noexigencia_dui_728x90
20250501_vacunacion-influenza-728x90
20250501_vacunacion_vph-728x90
20231124_etesal_728x90_1
20230601_agenda_primera_infancia_728X90
domfuturo_netview-728x90
20240604_dom_728x90
CEL

previous arrow
next arrow

Continue Reading

Trending

News Central