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International

Les principaux scandales de corruption autour du Covid

AFP

Comme le Brésil où le parquet a décidé vendredi d’ouvrir une enquête sur des accusations de « prévarication » portées contre le président Jair Bolsonaro, plusieurs pays ont vu éclater des scandales autour du coronavirus.

– Brésil : accusations contre Bolsonaro –

Le président brésilien d’extrême droite Jair Bolsonaro est soupçonné d’avoir omis de signaler une tentative de corruption au sein du ministère de la Santé au moment d’achats de vaccins contre le Covid-19.

Un responsable des importations dans le domaine médical du ministère l’avait informé d’une facture suspecte de 45 millions de dollars pour trois millions de doses du vaccin Covaxin du laboratoire indien Bharat Biotech. Or aucun vaccin n’avait été livré et le Covaxin n’avait pas reçu l’homologation des autorités sanitaires.

Témoignant devant une Commission du Sénat, le fonctionnaire et son frère député ont affirmé que M. Bolsonaro leur avait assuré qu’il transmettrait l’affaire à la police fédérale. Ce qu’il n’a apparemment jamais fait et qui a amené le parquet a ouvrir cette enquête sur des accusations de prévarication.

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– Afrique du Sud : contrats publics –

En Afrique du Sud, près de 820 millions d’euros de contrats liés à la lutte contre le Covid font à ce jour l’objet d’enquêtes pour corruption. Les cas de 63 fonctionnaires ont été transmis au procureur national et 87 entreprises ont été inscrites sur une liste noire et ne pourront plus décrocher de contrats publics.

L’une des enquêtes vise deux proches du ministre de la Santé, Zweli Mkhize, qui a été mis en « congé spécial » par le président Cyril Ramaphosa le 8 juin.

– Pérou : « vacunagate » –

En février 2021, le Pérou a été secoué par le scandale du « vacunagate » lié à la vaccination contre le Covid-19, qui a entraîné la démission des ministres de la Santé et des Affaires étrangères.

Pas moins de 487 personnes ont été indûment vaccinées avant même le début de la campagne nationale, laquelle a commencé le 9 février en ciblant le personnel de santé.

Parmi elles, l’ex-président Martin Vizcarra, immunisé dès octobre 2020 à sa demande, selon le médecin qui a dirigé en l’essai clinique du vaccin chinois Sinopharm au Pérou. M. Vizcarra a néanmoins été testé positif en avril. 

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– « Vaccinations VIP » en Argentine et en Equateur –

En février 2021 a éclaté en Argentine le scandale des « vaccinations VIP », qui a contraint à la démission le ministre de la Santé, Ginés González García, après des révélations selon lesquelles il proposait à ses amis de se faire vacciner au ministère sans prendre rendez-vous à l’hôpital.

Les autorités ont diffusé une liste de 70 personnes ayant indûment reçu le vaccin alors même qu’elles n’entraient pas à cette époque dans la catégorie prioritaire. Y figuraient notamment le ministre de l’Economie ainsi que l’ancien président Eduardo Duhalde, son épouse et leurs enfants. 

En Equateur, le ministre de la Santé Juan Carlos Zevallos a démissionné, également en février, impliqué dans un scandale lié à la vaccination de personnes non prioritaires, dont des membres de sa famille. 

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International

Péninsule ibérique : l’Espagne et le Portugal créent un groupe conjoint après la panne géante

L’Espagne et le Portugal ont créé un groupe de suivi conjoint pour identifier les causes de la gigantesque panne d’électricité qui a frappé la péninsule ibérique lundi, selon un accord entre la ministre espagnole de la Transition écologique et la ministre portugaise de l’Environnement et de l’Énergie.

Lors d’une réunion en visioconférence, la ministre espagnole Sara Aagesen et la portugaise Maria da Graça Carvalho ont convenu vendredi de mettre en place ce groupe de suivi pour « analyser les circonstances de l’incident », a indiqué le ministère espagnol de la Transition écologique dans un communiqué.
« Nous avons pu mettre en place une coopération qui a commencé dès le premier jour », a déclaré Aagesen, citée dans la note. Cette collaboration, a-t-elle souligné, inclut non seulement l’échange de données, mais aussi la volonté partagée « d’identifier l’incident, sa cause, et surtout de prendre les mesures nécessaires pour qu’il ne se reproduise pas ».

Les deux ministres ont également convenu de maintenir « une action coordonnée » concernant les informations à transmettre aux organismes européens, et elles se réuniront à nouveau en visioconférence la semaine prochaine.
Quatre jours après la journée chaotique de lundi, où une panne massive a plongé l’Espagne et le Portugal dans le noir pendant plusieurs heures, les autorités et les experts n’ont toujours pas fourni d’explication officielle sur les causes de l’événement.

« Il est très important de rassembler toutes les informations pour comprendre l’origine de l’incident, qui, comme vous le savez, a eu lieu sur le réseau espagnol », a déclaré Maria da Graça Carvalho aux journalistes après la réunion, réaffirmant la position du gouvernement portugais selon laquelle l’origine de la panne se trouverait en Espagne.

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International

Vatican : le prochain pape face à une crise financière persistante

La septième congrégation générale des cardinaux, réunions préparatoires au conclave, s’est tenue hier matin avec la participation de 181 cardinaux, dont 124 électeurs. L’un des sujets principaux abordés fut la délicate situation économique et financière du Saint-Siège, l’un des défis majeurs pour le futur pape.

Le porte-parole du Vatican, Matteo Bruni, a expliqué que le débat s’est concentré sur les « problèmes » et « défis » des finances vaticanes. Parmi les intervenants figuraient le cardinal Reinhard Marx, coordinateur du Conseil pour l’économie ; le cardinal Kevin Joseph Farrell, responsable du Comité des investissements ; et le cardinal Christoph Schönborn, président de la Commission de surveillance de l’IOR (la banque du Vatican).

Sont également intervenus Fernando Vergez Alzaga, président émérite du Gouvernement de la Cité du Vatican, et Konrad Krajewski, préfet du Dicastère pour la Charité. En seconde partie de matinée, 14 interventions ont porté sur des thèmes tels que « l’ecclésiologie du peuple de Dieu » et « la polarisation dans l’Église et la division de la société », considérée comme une blessure.

Parmi les réformes entreprises par le pape François figure celle des finances du Vatican, avec un effort de transparence, en particulier au sein de l’IOR. Toutefois, le futur pontife devra s’attaquer à une réelle révision des dépenses, car les dons à l’Église ont considérablement diminué.

Le 20 septembre dernier, François a adressé une lettre aux membres du Collège des cardinaux pour les inviter à soutenir les réformes de la Curie romaine et, surtout, les démarches visant à réduire le déficit chronique du Saint-Siège.

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Dans cette lettre, le pape soulignait qu’il est désormais plus clair que les ressources économiques au service de l’Église « sont limitées et doivent être gérées avec rigueur et sérieux afin de ne pas gaspiller les efforts de ceux qui ont contribué au patrimoine du Saint-Siège ».

Selon un aperçu du bilan de 2023 publié par le journal La Repubblica — le Vatican n’ayant pas diffusé ses comptes depuis 2022 —, le déficit opérationnel s’élevait à 83 millions d’euros, soit 5 millions de plus que l’année précédente, et il pourrait encore croître dans les années à venir, les dons des fidèles étant en baisse. En 2023, l’Obole de Saint-Pierre a rapporté 48,4 millions d’euros.

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International

Le prince Enrique perd son recours contre la réduction de sa sécurité au Royaume-Uni

Depuis son déménagement aux États-Unis il y a cinq ans, Enrique et sa famille ont perdu la protection policière systématique accordée aux membres actifs de la royauté, financée par les contribuables britanniques.

En prononçant le jugement, le juge Geoffrey Vos a estimé que la décision du gouvernement britannique de réduire les mesures de sécurité était « compréhensible », étant donné que « le duc de Sussex a quitté ses fonctions royales et le Royaume-Uni pour vivre principalement à l’étranger ».

Enrique, âgé de 40 ans, qui s’était rendu aux audiences devant la Cour d’appel les 8 et 9 avril, n’était pas présent vendredi pour entendre le verdict.

Le juge a déclaré qu’il comprenait les « arguments puissants et émouvants » du prince, mais a jugé que les griefs soulevés ne constituaient pas « une base juridique pour contester » la décision du gouvernement.

« Une conséquence non souhaitée de sa décision de renoncer à ses obligations royales et de passer la majeure partie de son temps à l’étranger est qu’il bénéficie désormais d’un niveau de protection (…) inférieur à celui dont il jouissait lorsqu’il résidait au Royaume-Uni », a conclu Vos.

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