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International

La vaccination des 12-15 ans contre le Covid a commencé aux Etats-Unis

AFP/Salle de presse

Les adolescents âgés de 12 à 15 ans ont pu commencer à se faire vacciner contre le Covid-19 partout aux Etats-Unis jeudi, après l’extension plus tôt cette semaine de l’autorisation du vaccin de Pfizer/BioNTech pour cette tranche d’âge, qui représente 17 millions de personnes dans le pays.

« C’est un nouveau pas de géant dans notre lutte contre la pandémie », a déclaré mercredi le président américain Joe Biden, en encourageant les parents à faire vacciner leur progéniture.

Washington, Etats-Unis | AFP | jeudi 13/05/2021 – 08:26 UTC-6 | 386 mots

Les adolescents âgés de 12 à 15 ans ont pu commencer à se faire vacciner contre le Covid-19 partout aux Etats-Unis jeudi, après l’extension plus tôt cette semaine de l’autorisation du vaccin de Pfizer/BioNTech pour cette tranche d’âge, qui représente 17 millions de personnes dans le pays.

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« C’est un nouveau pas de géant dans notre lutte contre la pandémie », a déclaré mercredi le président américain Joe Biden, en encourageant les parents à faire vacciner leur progéniture.

« Le vaccin pour les enfants entre 12 et 15 ans est sûr, efficace, pratique, rapide et gratuit », a-t-il martelé, ajoutant que 15.000 pharmacies à travers le pays devaient être prêtes dès jeudi à réaliser les piqures.

L’Agence américaine des médicaments (FDA) avait donné son autorisation lundi après avoir étudié les données d’essais cliniques sur environ 2.000 jeunes. 

Certaines localités avaient commencé dès mardi à vacciner les adolescents, mais la grande majorité du pays a attendu l’ultime feu vert des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), principale agence fédérale de santé publique du pays, délivré mercredi soir. 

Le vaccin administré aux 12-15 ans est le même que celui pour les adultes, y compris le dosage, et beaucoup pourront donc se faire vacciner dans les mêmes lieux que ceux déjà mis en place.

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Le défi reste désormais de convaincre: parmi les parents ayant des enfants de cet âge, près d’un quart ont déclaré qu’ils ne les feront pas vacciner, et seuls trois sur dix ont dit vouloir le faire dès que possible, selon un sondage réalisé mi-avril par la Kaiser Family Foundation.

Pour les encourager, les autorités cherchent à ce que la vaccination soit aussi proposée ailleurs, dans des endroits plus pratiques encore ou chez les pédiatres, connus des familles et ayant leur confiance.

« Nous travaillons à ce que les enfants puissent être vaccinés dans leurs écoles également », a déclaré jeudi Rochelle Walensky, directrice des CDC. 

Les adolescents développent en général des formes moins graves du Covid-19 que les adultes, et leur vaccination n’était donc pas une priorité jusqu’à présent. Toutefois, ils ne sont pas à l’abri d’une infection, et peuvent alors participer à la transmission du virus au sein de la population. Leur immunisation permettra donc de contribuer à freiner l’épidémie.

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International

Trump déploie deux sous-marins nucléaires après les menaces de Medvedev

Le président des États-Unis, Donald Trump, a ordonné ce vendredi le déploiement de deux sous-marins nucléaires en réponse aux « déclarations provocatrices » de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, qui a averti d’un possible conflit entre les deux pays.

« Face aux déclarations provocatrices de l’ancien président russe Dmitri Medvedev, actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, j’ai ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires dans les régions concernées, au cas où ces propos insensés et incendiaires iraient plus loin », a déclaré Trump sur la plateforme Truth Social.

Le président républicain a ajouté dans son message : « Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences imprévues ; j’espère que ce ne sera pas l’un de ces cas. »

Trump réagissait ainsi aux propos de Medvedev, qui cette semaine a critiqué l’ultimatum lancé par les États-Unis à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine, avertissant qu’il pourrait mener à un affrontement direct entre les deux puissances.

« Trump joue au jeu des ultimatums avec la Russie : 50 ou 10 jours… Il devrait se rappeler de deux choses. Premièrement : la Russie n’est ni Israël ni même l’Iran. Et deuxièmement : chaque nouvel ultimatum est un pas vers la guerre. Pas entre la Russie et l’Ukraine, mais avec son propre pays », écrivait Medvedev lundi sur son compte X.

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Depuis plusieurs mois, Trump exprime sa frustration face au refus du président russe Vladimir Poutine de stopper les bombardements en Ukraine. Il a réduit à 10 jours le délai donné à Moscou pour conclure une trêve dans les combats.

Dans un autre message publié vendredi sur Truth Social, Trump a affirmé que près de 20 000 soldats russes sont morts ce mois-ci dans la guerre, portant le total depuis le début de l’année à 112 500.

« Tant de morts inutiles ! L’Ukraine, toutefois, a également beaucoup souffert. Elle a perdu environ 8 000 soldats depuis le 1er janvier 2025, et ce chiffre n’inclut pas les disparus », a-t-il ajouté.

Le républicain a conclu en soulignant que « c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu ».

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International

La radiodiffusion publique américaine amorce sa fermeture après les coupes de Trump

La Corporation for Public Broadcasting (CPB) des États-Unis a annoncé ce vendredi le début d’une fermeture progressive de ses activités, conséquence des coupes budgétaires mises en œuvre par l’administration de Donald Trump, qui a supprimé pour la première fois en près de soixante ans le financement destiné à cet organisme.

La CPB, qui soutient directement ou indirectement la radio publique NPR et la télévision publique PBS, a souligné dans un communiqué que, depuis près de 60 ans, elle remplit sa mission auprès du Congrès en « construisant et maintenant un système de médias publics fiable, qui informe, éduque et sert les communautés à travers tout le pays ».

« Malgré les efforts extraordinaires de millions d’Américains qui ont appelé, écrit et demandé au Congrès de préserver le financement fédéral de la CPB, nous faisons face à la dure réalité de devoir fermer nos opérations », a déclaré dans la note la présidente-directrice générale Patricia Harrison.

L’organisme a également informé vendredi ses employés que la majorité de leurs postes seront supprimés dans le cadre de ce démantèlement.

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International

“Procès du siècle” : Álvaro Uribe, premier ancien président colombien reconnu coupable

L’ancien président colombien Álvaro Uribe (2002-2010) a été condamné à 12 ans de prison à purger en résidence surveillée pour les délits de fraude procédurale et de subornation de témoins dans une procédure pénale, selon une décision rendue publique ce vendredi de manière anticipée.

Le document précise que la juge du 44e tribunal pénal du circuit de Bogotá, Sandra Heredia, qui lira officiellement le verdict à partir de 14 h (heure locale), a décidé d’imposer à Uribe une peine de 12 ans de prison, une amende de plus de 3,4 milliards de pesos colombiens (environ 822 000 USD) et l’interdit pendant plus de huit ans d’exercer des droits et fonctions publics.

La magistrate a également mandaté le Centre des services judiciaires de Rionegro, la commune du département d’Antioquia où réside l’ancien président, pour émettre “le mandat d’incarcération correspondant” et “procéder à son transfert immédiat à son domicile, où il purgera sa peine de résidence surveillée et sera soumis aux contrôles requis.”

Âgé de 73 ans et fondateur du parti de droite Centro Democrático, Uribe est devenu lundi le premier ancien président colombien à être condamné pénalement dans ce que l’on appelle en Colombie le « procès du siècle », même si sa défense a déjà annoncé qu’elle ferait appel de la décision devant la Cour supérieure de Bogotá.

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