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International

La Chine rejoint l’alliance COVAX contre le coronavirus

La Chine a annoncé vendredi dernier qu’elle rejoindrait l’alliance du vaccin COVID-19. Actuellement, le pays asiatique dispose de quatre vaccins candidats pour faire face au coronavirus. Ils sont au stade 3 des essais cliniques.

 

L’accord a été signé jeudi, a indiqué le ministère des Affaires Etrangères de Chine. Dans un premier temps la Chine n’avait pas accepté de rejoindre l’alliance COVAX en laissant passer le délai fixé en septembre.

 

« Nous prenons cette mesure concrète pour assurer une distribution équitable des vaccins, en particulier dans les pays en développement », a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires Etrangères Hua Chunying.

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Elle a ajouté qu’ils espèrent que davantage de pays dotés des capacités rejoindront et soutiendront également COVAX.

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Amérique centrale

Démantèlement du plus grand cartel de l’histoire du Costa Rica

Les autorités costariciennes ont démantelé mardi un puissant réseau de trafic de drogues qui exportait des stupéfiants vers les États-Unis et l’Europe. Ce groupe criminel est considéré comme le plus important cartel local jamais identifié dans le pays, ont annoncé des sources officielles.

Environ 1 200 policiers ont mené 64 perquisitions dans plusieurs provinces contre le « Cartel de la Caraïbe Sud », lors d’une opération sans précédent par son ampleur et le déploiement des forces de sécurité, a indiqué à la presse Michael Soto, sous-directeur de l’Organisme de Recherche Judiciaire (OIJ).

« Ce groupe se procurait des cargaisons de drogue pour les revendre à d’autres trafiquants déjà connus dans le pays, et exploitait en plus une route vers l’Europe et les États-Unis », a précisé le responsable.

Depuis le début de l’enquête en 2021, ouverte après le massacre de huit personnes dans une localité de la côte caraïbe, les autorités ont saisi 13,7 tonnes de cocaïne et de marijuana, selon les rapports de l’OIJ.

Mardi, 28 personnes ont été arrêtées, a annoncé le parquet. Les forces de l’ordre ont également confisqué des maisons de luxe, des véhicules et des embarcations dans le cadre d’une vaste opération menée avec le soutien de la Colombie, du Panama, de l’Espagne, du Royaume-Uni, de la France et de l’agence antidrogue américaine DEA.

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International

Washington sanctionne un réseau mondial finançant le programme nucléaire nord-coréen

Les États-Unis ont annoncé mardi de nouvelles sanctions contre un groupe de banquiers, d’institutions financières et d’autres individus accusés de blanchir des fonds issus de cybercriminalité liée à la Corée du Nord. Selon le département du Trésor, ces ressources contribuent au financement du programme d’armes nucléaires du régime de Pyongyang.

D’après l’Office of Foreign Assets Control (OFAC), les attaques par malwares et les stratagèmes d’ingénierie sociale orchestrés par des acteurs nord-coréens ont détourné plus de 3 milliards de dollars au cours des trois dernières années, principalement sous forme d’actifs numériques. Une somme sans précédent pour un acteur étranger, comme le souligne un rapport international de 138 pages publié le mois dernier.

« Les hackers parrainés par l’État nord-coréen volent et blanchissent de l’argent afin de financer le programme nucléaire du régime », a déclaré John K. Hurley, sous-secrétaire au Trésor chargé du Terrorisme et du Renseignement financier.

Washington affirme que le gouvernement de Kim Jong-un s’appuie sur un vaste réseau de représentants bancaires, d’institutions financières et de sociétés écrans établis en Corée du Nord, en Chine, en Russie et dans d’autres pays pour transférer des fonds issus de fraudes menées par des travailleurs du secteur informatique, de vols de cryptomonnaies et d’opérations d’évasion de sanctions.

En 2022, le département du Trésor avait déjà mis en garde les entreprises américaines contre l’embauche involontaire de spécialistes nord-coréens du numérique dissimulant leur identité pour infiltrer des réseaux.

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Les nouvelles sanctions ciblent huit individus et deux entreprises. Parmi eux figurent les banquiers nord-coréens Jang Kuk Chol et Ho Jong Son, accusés d’avoir géré des fonds — dont 5,3 millions de dollars en cryptomonnaies — au nom du First Credit Bank, déjà sanctionné par Washington.

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International

Scandale au Pérou : une députée enquêtée pour une séance de pédicure au Parlement

Le Congrès péruvien a ouvert une enquête pour manquement présumé à l’éthique contre une députée qui a été photographiée en train de se faire couper les ongles des pieds par un conseiller, allongée sur le canapé de son bureau, tout en parlant au téléphone portable.

La Commission d’éthique a décidé d’initier la procédure ce lundi. La diffusion de cette photo de la parlementaire Lucinda Vásquez, 67 ans, membre d’un petit parti de gauche, a provoqué un tollé la semaine dernière et déclenché un nouveau scandale au sein de la classe politique.

« À la majorité, la Commission d’éthique a approuvé une plainte d’office qui permettra d’entamer les investigations nécessaires sur les faits impliquant la députée Lucinda Vásquez », a indiqué le Parlement sur le réseau social X.

La commission dispose de 20 jours pour enquêter, puis pour débattre d’une éventuelle sanction qui pourrait entraîner sa suspension et la privation de salaire pendant une période allant jusqu’à 120 jours.

La photo controversée date du 6 novembre 2024, mais n’a été rendue publique qu’il y a huit jours par l’émission Cuarto Poder.

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Elle est rapidement devenue virale sous des hashtags tels que « la députée taille-ongles ».

Vásquez s’est présentée devant la commission et a déclaré être d’accord avec l’ouverture de l’enquête : « Que le processus suive son cours, les conclusions viendront ensuite », a-t-elle affirmé.

La semaine dernière, la députée avait estimé que le « contexte » de l’image avait été déformé et a nié toute intention « d’obliger ou d’humilier » ses collaborateurs. Elle a attribué la diffusion de la photo à une « vengeance » d’anciens employés de son bureau.

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