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Amérique centrale

Le Panama comptabilise plus de 100 enfants atteints de coronavirus

La pédiatre Ximera Noreno a annoncé qu’environ 50 mineurs ont dû être hospitalisés en raison de leur résultat positif au covid-19. Ximena Noreno a déclaré que les mineurs ont montré une évolution légère à modérée du virus. De mars à ce jour, l’hôpital pour enfants a traité 122 mineurs atteints de coronavirus, ont ajouté les autorités sanitaires.

De son côté, le pédiatre Max Ramírez, responsable de la santé publique de la région de San Miguelito, a estimé que les enfants dont le test est positif au covid-19, ont été contaminés après avoir été en contact avec une personne adulte porteuse du virus.

Selon le médecin, à l’heure actuelle, les mineurs ne fréquentent pas les centres éducatifs et dans une large mesure, ils ne sont pas en contact avec d’autres mineurs. Le pédiatre Max Ramírez a demandé aux adultes qui présentent des symptômes de la maladie et qui vivent avec des mineurs, de s’isoler complètement pour empêcher la propagation de la maladie.

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Amérique centrale

Le Guatemala défend la souveraineté du Maroc face à une prise de position controversée

Une récente déclaration du vice-président du Groupe Parlementaire de Gauche (GPI) du PARLACEN, le Nicaraguayen José Antonio Zepeda, a suscité une vive controverse au sein de l’organisme régional, après son soutien exprimé au mouvement séparatiste du Front Polisario. Cette prise de position a été immédiatement rejetée par la délégation du Guatemala, qui a fermement défendu la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

La réponse guatémaltèque, menée par l’ancien président Alejandro Giammattei, s’est traduite par un communiqué officiel qualifiant de déplacée et idéologisée la déclaration du GPI. Les députés y ont souligné la coopération exemplaire entre le Maroc et le Parlement centraméricain, en insistant sur le rôle stratégique du royaume dans le renforcement des liens entre l’Afrique et l’Amérique centrale.

La délégation guatémaltèque a également exhorté la présidence du PARLACEN à veiller à ce que les futures déclarations institutionnelles soient le fruit d’un consensus, et non d’expressions personnelles susceptibles de compromettre la neutralité de l’organisme.

Cet incident intervient dans un contexte où le président du PARLACEN, Carlos Hernández, avait réaffirmé en mai dernier, lors d’une visite à Laâyoune, la position officielle du Parlement en faveur de l’intégrité territoriale du Maroc. À cette occasion, le PARLACEN avait renouvelé son engagement envers les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires internes des États.

Alors que le Maroc continue de rallier un soutien international à son initiative d’autonomie pour résoudre le différend sur le Sahara, certaines voix dissidentes tentent de promouvoir des positions qui ne reflètent pas le consensus du bloc centraméricain.

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Amérique centrale

Panama : manifestations tendues contre la réforme de la sécurité sociale à Bocas del Toro

Manifestations au Panama à propos d'un contrat transnational d'exploitation de mines de cuivre

Les protestations contre la réforme de la sécurité sociale au Panama se sont poursuivies ce mercredi dans la province caribéenne de Bocas del Toro, avec des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, alors que les opposants refusent tout dialogue et affirment être prêts à « donner leur sang » pour faire tomber cette loi désormais en vigueur.

« Nous ne partirons pas tant que cette loi ne sera pas abrogée. Nous ne voulons aucun dialogue. S’il faut verser notre sang pour l’abroger, nous le ferons », a déclaré à l’agence EFE un manifestant masqué, qui a préféré garder l’anonymat, depuis la zone d’Almirante, dans la province de Bocas del Toro.

Autour de lui, d’autres manifestants cachaient également leur visage, certains armés de sacs de pierres et de bâtons : « Voici l’arme du pauvre : la machette, les pierres et les bâtons », disait l’un d’eux.

Les autorités chargées du maintien de l’ordre dans cette région caribéenne, dans le cadre de l’« Opération Omega », ont déclaré ce mercredi que 52 personnes ont été arrêtées depuis le début des opérations policières, dont 38 par le ministère public (MP) et 14 par les juges de paix, selon le vice-ministre de la Sécurité, Luis Felipe Icaza. Parmi les interpellés, on compte quatre mineurs.

Icaza a précisé que lors des 20 interventions policières menées mercredi, sept agents ont été blessés. Il a indiqué que 20 points de blocage ont été levés, mais 20 autres restent fermés, avec trois barrages partiels.

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Le vice-ministre a également signalé une augmentation de l’abattage d’arbres par les manifestants pour barrer les routes, avec 153 arbres abattus à ce jour, qualifiant cela de « dommage environnemental considérable ».

D’autre part, le ministère public a ouvert une enquête sur le décès d’une personne le 17 juin, à environ 300 mètres d’un poste de contrôle de la police à Chiriquí Grande (Bocas del Toro), selon les médias locaux. L’enquête est en cours par l’autorité compétente, a précisé Icaza.

Outre les affrontements à Bocas del Toro, des incidents ont également été signalés à Arimae (Darién), près de la frontière avec la Colombie, où un groupe d’indigènes a bloqué l’axe routier principal, ainsi qu’à Panamá, où des enseignants ont manifesté.

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Amérique centrale

Le journaliste José Rubén Zamora reste en détention malgré une décision favorable de la justice

La plus haute cour de justice du Guatemala a validé ce mercredi 18 juin 2025 la mesure d’assignation à résidenceaccordée au journaliste José Rubén Zamora, mais celui-ci restera en détention en raison d’une autre affaire en cours, engagée par le ministère public contesté, a indiqué son fils.

Le journaliste de 68 ans est incarcéré depuis plus de 1 000 jours dans le cadre d’une affaire de blanchiment d’argent présumé, que de nombreuses organisations internationales de défense de la presse qualifient de tentative de le réduire au silence, en raison de ses enquêtes sur la corruption sous le gouvernement conservateur précédent.

Fondateur de l’ancien quotidien El Periódico, Zamora est également accusé d’entrave à une enquête le visant. Bien que dans les deux affaires, il ait obtenu une assignation à résidence, des cours d’appel ont annulé ces décisions.

La Cour constitutionnelle a confirmé la mesure d’assignation à résidence en rejetant un recours du parquet, a déclaré à l’AFP José Zamora, fils du journaliste.

« La Cour confirme la liberté conditionnelle de mon père », a-t-il précisé.

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« Mais il reste en prison à cause de l’accusation d’entrave à la justice », a ajouté Zamora, récemment nommé directeur régional pour les Amériques du Comité pour la protection des journalistes (CPJ).

Zamora avait été libéré en octobre, avant d’être réincarcéré en mars. Malgré la résolution favorable, il reste en détention dans l’attente d’une décision de la Cour suprême concernant un recours présenté en mars dans la deuxième affaire.

Son fils a dénoncé l’« inaction » de la Cour suprême, qui selon lui prolonge une détention arbitraire fondée sur un procès fallacieux, entaché d’irrégularités, contre un prisonnier d’opinion, selon Amnesty International.

À la fin du mois de mai, un groupe d’écrivains et de journalistes, conduit par le nicaraguayen Sergio Ramírez, a rendu visite à Zamora à la prison Mariscal Zavala à Guatemala Ciudad, pour lui témoigner leur solidarité.

En 2023, un tribunal l’avait condamné à six ans de prison pour blanchiment d’argent, mais le jugement a été annuléet le procès devra être rejoué.

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